Marie Claire

88) 1 prêcheraient plus «la vraie réforme du peuple et du clergé» exigée par le Ciel pour détourner les esprits et les cœurs des erreurs et des pièges du monde et les tourner vers Dieu par la douce et puissante médiation du Cœur Immaculé de Marie (Cf. le message de Lucie aux évêques d'Espagne, supra, p. 11, sq). Non, les Pasteurs de l'Église ne feraient pas cas du message de l'Immaculée, ils ne prêcheraient pas au peuple, - ou si peu que rien -, les demandes si faciles et les promesses merveilleuses

ce travail avec une brève comparaison avec la seconde. A. Analyse technique Peinte avec de la peinture à huile sur une toile de 122cm de largeur et 199 cm de hauteur. Léonard de Vinci utilisait de l’huile de noix ou de lin aussi liquides et claires que possible. On retrouve dans cette peinture la technique du sfumato. C’est un procédé technique qu’il a inventé qui estompe les dégradés des ombres pour qu’ils se fondent dans l’ambiance et ne soient pas durs. Ainsi il passe subtilement de l’ombre

avec l’épisode historique sombre. 1-Une mère qui hurle avec son enfant dans les bras : Ses yeux sont en forme de larmes. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. La pietà représente le thème biblique de la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau (de Michel Ange en 1498-1499). 2-Le taureau : Symbole de cruauté, de force brute 3-Une femme tombe d’un immeuble en flammes. Les yeux sont aussi en forme de larmes

dédié à sa muse: Gala. - Le poème est l'avant dernier du recueil. Placé sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux. I) L'éloge des yeux a) Un blason éloge insolite>courbe des yeux et du regard, champ lexical très riche -dénotation claire de la courbe : courbe, rond, tour -connotation poétique : feuilles, gouttes de rosée, etc. b) Structure circulaire du poème: Tout dans ce poème est ondoyant. - vers 15 revient au vers 1. On remarque un chiasme entre ces 2 vers. - Beaucoup d'assonances

la vache au prêtre », Traduit de l’ancien français et adapté par P. Gaillard et f. Rachmuhl ----------------------- [1] Fête de la Vierge Marie : le 15 août, dans la religion catholique. [2] L’office : la messe. [3] Longe : corde qui sert à mener une bête. [4] Beau Sire : marque de respect. [5] Blérain : blère désigne une vache de couleur claire en ancien français. [6] Paroissiens : personnes qui habitent sur un territoire dont un curé a la charge. [7] Clerc : serviteur du curé. [8] Chanvre :

imposant et ces dimensions donne l'impression au spectateur d'être dans la scène, de la vivre. Il n'est pas une simple illustration d'un événement mais une succession d'images extrêmement complexes. Les figures représentées par Picasso sont parfois très claires dans ce qu'elles expriment ou parfois ambiguës. C'est cette complexités qui fait également la richesse de Guernica. C'est une œuvre figurative car nous pouvons reconnaître des éléments réels. Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l'effroi

III) DESCRIPTION DE L'OEUVRE La figure centrale du tableau est un cheval blessé. A gauche, une femme portant son enfant mort et hurlant de douleur. Derrière elle, un taureau semble avoir été violenté. A droite du tableau, dans la partie la plus claire des trois femmes désarticulées, pleurent ou hurlent. En bas je peux voir une tête d'homme et un bras coupé qui tient une épée brisée. La main porte une fleur. Malgré ce désordre apparent, la construction du tableau reste rigoureuse. Les lignes

misogynes ou allégoriques — émises par les hommes : des déesses de l’Antiquité (Aphrodite, Athéna, Diane, etc.) à une Jeanne d’Arc ou une Marianne incarnant la patrie ou la République française, en passant par les personnages bibliques féminins (Ève, Marie, Marie Madeleine ou Salomé) ; autant de représentations féminines fortement contrastées qui ont, au cours de l’histoire, attiré offrandes et prières, ou sarcasmes et répulsion. Cette ambivalence de l’image du « sexe faible » (tardivement désigné « deuxième

penser qu’il fait une bénédiction à l’enfant qu’on lui tend. L’enfant : Le nourrisson tient un globe de cristal surmonté d’une croix en levant la main droite et est assis sur la Vierge. Cet enfant c’est le Christ. La vierge : Une femme, la Vierge Marie, porte l’enfant sur ses genoux et semble le guider dans ses mouvements. Elle paraît être une personne importante, son visage est doux et gracieux et elle est noblement vêtue. Un ange paraît vouloir déposer une couronne sur sa tête. Tout laisse à penser

extérieure joue avec élégance et originalité, les orechionni ("grandes oreilles" en italien)sont des volutes en spirale coiffées de 125 statues qui assurent la transition entre le dôme et les façades. La façade principale, dont la structure générale, de claire inspiration palladienne, est enrichie par une profusion d’éléments décoratifs, se dresse au sommet d’un large escalier ; avec son haut portail sculpté, dont le tympan est surmonté d’une statue de la Vierge, communique un sentiment de majestueuse grandeur