Marie de Hennezel

de position dans leurs pratiques professionnelles. Ceci dans l'intérêt de savoir si cette loi était bien intégrée par les professionnels soignant. Afin de mettre en place cette recherche-enquête les auteures se sont appuyées sur les écrits de Marie de Hennezel (psychologue clinicienne) qui suite à une enquête menée de 2005 à 2007 mettra en évidence la mauvaise connaissance de la loi Léonetti, et que les soins palliatifs ne sont pas encore intégré au sein des mœurs française. De plus, elle ajoute dans

I) Présentation de l’ouvrage L’auteur du livre « Le souci de l’autre » paru en 2001 est Marie de Hennezel. Marie de Hennezel est psychologue clinicienne et, a travaillé dix ans dans la première unité de soins palliatifs à Paris. Connue pour ses ouvrages sur l’accompagnement de fin de vie avec « la mort intime » paru en 2001 et « l’art de mourir » publié en 1997. Aujourd’hui, Marie de Hennezel anime des séminaires sur « l’art de bien vieillir » pour les seniors. Cet ouvrage est un essai

administratifs ou budgétaires: il faut que chaque patient trouve sa place et se sente accepté en tant qu'être humain par les soignants.Maternités, services d'urgence, unités de soins palliatifs, services de cancérologie, hôpitaux de province: Marie de Hennezel a visité ces lieux ou se décide notre santé et interrogé ceux qui y travaillent. Elle y a constaté la réalité d'un désarroi, chez les patients comme chez beaucoup de soignants. Elle multiplie les suggestions touchant à de nombreux domaines, depuis

FICHE DE LECTURE « LA MORT INTIME » PRESENTATION La mort intime de MARIE DE HENNEZEL des éditions ROBERT LAFONT chez POCKET. Titulaire du DESS de psychologie clinique et d’un DEA psychanalyse, MARIE DE HENNEZEL a exercé pendant 10 ans dans la première unité de soins palliatifs de France, elle anime depuis des conférences et des séminaires de formation en France et à l’étranger sur la fin de vie. Elle a été pendant 5 ans chargée de mission auprès du ministère de la santé et elle est l’auteur

Fiche de lecture 1- Présentation de l' ouvrage et de son auteur : Titre de l'ouvrage : Le souci de l'autre Identité de l'auteur : Marie De Hennezel Biographie : Marie De Hennezel est née le 5 août 1946 à Lyon. Elle est la cinquième d'une famille de onze enfants et elle est mère de trois enfants, et grand-mère de six petits enfants. Après avoir fait des études de langues, elle retourne à l'université pour y achever un DESS de psychologie clinique et un DEA de psychanalyse. 1975 :

LA MORT INTIME (ceux qui vont mourir nous apprennent à vivre) Marie de Hennezel POCKET 1995 Marie De Hennezel est psychologue clinicienne et psychanalyste ; Elle nous raconte son travail au quotidien dans la première unité de soins palliatifs créée en 1987 à l’hôpital de la cité universitaire de Paris. Au fil des pages, on pénètre dans l’univers, d’une unité de soins où les malades sont accueillis pour y vivre les derniers temps de leur existence. La mort d’autrui nous touche

trouver l’estime de soi. 2. Choisissez trois idées développées dans cet article par l’auteure  et expliquez-les en faisant des liens avec les expériences que vous avez vécues en stage. Première idée : Lors d’un soin, Marie de Hennezel cite qu’il est important d’avoir une confiance réciproque. Lors du stage IV, Mme B. atteinte de schizophrénie vivait au foyer depuis sept ans. Lorsqu’elle sonnait, l’alarme s’enclenchait automatiquement car il y avait un défaut

vraiment sens que ce jour-là. Faut-il risquer de vivre alors que l’on aurait voulu mourir, ou de mourir alors que l’on voulait vivre ? Enfin, la mort est un moment à vivre. Marie de Hennezel, pionnière des soins palliatifs en France l’illustre pleinement dans La mort intime, par la mort de Jean, la mort de Marcelle, celle de Marie-France, et ce « ciao », d’une main. Si la mort pue peut-être encore davantage que celle qu’elle raconte, si elle peut-être parfois un cri de souffrance et de solitude, elle

les apaiser. Il ne faut pas comparer l’euthanasie à un meurtre car aider un malade n’est pas un crime. Peu de soins sont prodigués aux mourants de dernier stade. Les médecins abandonnent et n’acceptent pas la mort. Comme dans la mort intime de Marie de Hennezel, les soins palliatifs ne sont pas suffisants, malgré l’aide fournie par les infirmiers. Bien que nous voulons garder nos proches le plus longtemps possible auprès de nous, un jour nous mourrons tous quoi qu’il arrive, mais si ce jour boulverse

vraiment sens que ce jour-là. Faut-il risquer de vivre alors que l’on aurait voulu mourir, ou de mourir alors que l’on voulait vivre ? 8-La mort est un moment à vivre. Marie de Hennezel, pionnière des soins palliatifs en France l’illustre pleinement dans La mort intime, par la mort de Jean, la mort de Marcelle, celle de Marie-France, et ce « ciao », d’une main. Si la mort pue peut-être encore davantage que celle qu’elle raconte, si elle peut-être parfois un cri de souffrance et de solitude, elle