Marie Et Meursault

margue • Communication de l’enterrement religieux fixé à 10heures du matin. La scène présentée dans ce passage se déroule dans le bureau du directeur à l’asile et après pendant le trajet pour aller à la margue. Les personnages : • Meursault : la lecture de ce passage nous permet de mieux comprendre son caractère et les rapports entre lui et les autre personnages. - Il est jeune :en effet, quand le directeur s’addresse à lui,il dit « vous êtes jeune » : - Avant

Camus : Meursault, le personnage principal et narrateur, est employé de bureau Algérois et recoit un télégramme lui annonçant la mort de sa mère. Il prend l'autobus pour se rendre à l'asile de vieillards près d'Alger, à Marengo. Il se rend ensuite à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa mère, a une conversation avec le concierge, accepte une tasse de café au lait et fume une cigarette. Le lendemain matin, le cortège se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault se plaint

théorie philosophique qu’il développe dans le Mythe de Sisyphe (essai, châtiment éternel : condamné à pousser un rocher le long d’une montagne => quand Sisyphe décide de faire cet acte de son propre gré et non parce qu’il est contraint, il est libre). Meursault n’a pas conscience de l’absurdité de sa vie, il la subit ; il prend progressivement conscience qu’elle n’a pas de sens : il n’a pas de principes moraux, culturels, religieux, il est lucide, il prend réellement conscience qu’à la fin du roman.

Albert Camus 1942 L’Étranger XXème siècle RÉSUMÉ DÉTAILLÉ PAR CHAPITRE Première partie : Chapitre 1 : Le narrateur, Meursault, employé de bureau vivant à Alger, vient de recevoir un télégramme de l’Asile de Marengo lui annonçant la mort de sa mère : il n’a pas de réaction spéciale, ça ne semble pas l’affecter. Il prend l’autobus pour Marengo et a une entrevue avec le directeur de l’asile : il se rend ensuite à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa

principal de son œuvre, Meursault, peint le portrait de ce héros. À travers des qualités introverties de Meursault, son attitude envers la société ainsi que le fait qu’il ne recherche aucunement la gratification des autres pour ses actions, Camus réussit à offrir une vision nouvelle de ce qu’est en réalité un héros. Dans un premier lieu, le fait que Meursault s’isole de la société est une indication sure qu’il est un héros existentialiste. Comme tout existentialiste, Meursault rejette les conventions

ce dernier, nous pouvons suivre l’histoire de Meursault, qui vit à Alger. Au début de l’ouvrage, il se rend en périphérie de la ville à l’enterrement de sa mère. Quand il revient à Alger, il revoit Marie, une dactylographe qui avait travaillé dans la même entreprise que lui. Ils continuent à se voir, et rapidement Marie tombe amoureuse de lui. Dans l’extrait étudié, Marie lui fait justement sa demande en mariage. Mais devant l’indifférence de Meursault, elle est troublée. Finalement, elle se dit

Saint-Germain des-Pres à Paris. RESUME DE L’ETRANGER PREMIERE PARTIE Meursault est un jeune et modeste employé de bureau habitant Alger.Au petit matin,il reçoit un télégramme de l’asile de vieillards de Marengo,lui annoncant son décès.Elle y séjournait depuis trois ans. Meursault obtient un congé de deux jours.Il prend l’autobus,il fait chaud.Meursault dort pendant presque toute le voyage.L’asile étant à deux kilomètres du village,Meursault termine le trajet à pied.Après les formalités,il a une entrevue

situation. En effet, Meursault est un méditerranéen et il aime bien la chaleur et la beauté du soleil dans les situations où il est totalement à l’aise. Quand Marie est arrivée chez Meursault pour aller à la plage, ce dernier a dit qu’elle était très belle, qu’il la voulait et que « le brun du soleil lui faisait un visage de fleur ». (p.55, l.11) Ici, le soleil est synonyme de beauté puisqu’il donne à Marie un «visage de fleur» qui donne goût à Meursault. Le soleil dessine ici Marie sous un voile de

personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo, près d’Alger, et assiste à la veillée funèbre, puis à la mise en bièreet aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Le héros ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre Marie, une dactylo

nommés : Marie Cardona et Raymond Sintès, qui ne sont pas les personnages les plus importants, ont un nom et un prénom. De même pour Thomas Pérez. Ce sont donc les mieux identifiés, ils n’ont pas « perdu » leur nom dans le fil du récit. Mais Céleste, Salamano, et surtout tous les personnages qui se réduisent à une fonction sont dépourvus d’identité, ou d’une identité complète. Les jurés sont même comparés à des « voyageurs anonymes » sur une « banquette de tramway ». Même Meursault ne livre