Marie-Josèphe d'Autriche

Naissance « Du Samedy 15e janvier 1622, fut baptisé Jean, fils de Jean Pouquelin, marchant tapissier, et de Marie Cresé sa femme, demeurant rue Saint-Honoré, le parin Jean-Louis Pouquelin, porteur de grains, la marine Denise Lescacheux, veuve de Sébastien Asselin, vivant maistre tapissier. » Nul ne peut plus lire ces lignes dans le registre paroissial de l'église Saint-Eustache, car le feu les a détruites lors de l'incendie de l'Hôtel de Ville en 1871. Heureusement, le texte en avait été recueilli

charme des petites principautés italiennes: Caroline reçut la principauté de Naples et Elisa celle de Florence. Pauline, la plus belle fut installée à Turin, capital du royaume Piemont-Sardaigne Il ne traita pas ses frères avec autant d'égalité --Joseph, le plus docile, reçut Naples d'abord puis fut envoyé à Madrid, à la tête du royaume d'Espagne --Louis qui était un original, intelligent mais instable fut mis quelque temps à Amsterdam, pour gouverner la Hollande, puis fut renvoyé. --Jérome le

(Lombardie, Vénétie, Nord-Est des anciens états pontificaux) comprenant 24 départements calqués sur le modèle français où Napoléon en est le Roi (Eugène de Beauharnais le Vice-Roi), et le Royaume de Naples que Napoléon donne à son frère Joseph (puis à Murat lorsque Joseph montera sur le trône d'Espagne). 2 – L'Allemagne napoléonienne en 1812 On retrouve ici trois modes de domination : – l'annexion, avec 5 nouveaux départements (rive gauche du Rhin) ; – les états vassaux, avec le Royaume de Westphalie

pratiquées, et surtout les industries présentes, ainsi qu’une description assez précise et chiffrée de l’hydrographie du terrain. La dernière partie, intitulée « Observations pour les campements et cantonnements », nous intéressera particulièrement, 1 Joseph-Jean, comte de Ferraris (Lunéville 20 avril 1726 – 1er avril 1814 Vienne) était un noble attaché à la Maison de Lorraine. Il s’engagea en 1741 dans l’armée autrichienne où il fit toute sa carrière, notamment comme artilleur. Proche de Charles de

∗13 Jacob-Henri dit Jacques Sablet (Morges, Suisse, 1749-Paris, 1803) La salle des Cinq-Cents à Saint-Cloud dans la soirée du 18 brumaire an VIII Huile sur toile Peintre surtout de paysages et de portraits, Jacques Sablet fut élève de Joseph-Marie Vien (17161809) à Paris. La scène représente la séance du Conseil des Cinq-Cents, dans la soirée du 19 brumaire an VIII – 10 novembre 1799 (et non le 18 Brumaire) à l’Orangerie du château de SaintCloud, dans une salle faiblement éclairée par des

qui réclame plus de raison. Les souverains « éclairés » Frédéric II de Prusse et l’empereur d’Autriche Joseph II sont des tenants des Lumières surtout parce qu’ils y voient un moyen d’organiser rationnellement leur pouvoir. La situation religieuse est fort différente entre pays catholiques et pays protestants. Les Lumières font assez bon ménage avec la foi piétiste en pays protestants, alors que Joseph II s’oppose à l’Église catholique. Vienne n’est pas un pays de liberté : la censure est sévère

éclairé : Philosophie des Lumières A la 2ème moitié du XVIIIème siècle, Marie-Thérèse règne sur les Pays-Bas d’Autriche, elle y applique une réforme :  Réforme : Centraliser les pouvoirs en respectant les traditions locales. (>< Religion non tolérée : Catholicisme imposé) Joseph II, l’un des 16 enfants de Marie-Thérèse, succède à sa mère dans le règne des Pays-Bas d’Autriche, et il y applique 3 nouvelles réformes :  Réforme de Marie-Thérèse : Poursuivie mais sans respect des particularismes locaux.

empereurs qui vont prendre sa place (par élection), vont laisser des traces moins importantes, sans pouvoir éviter le morcellement féodal. Aucun empereur jusqu’au début XVIème n’a eu d’envergure. Les deux familles sont les Luxembourg, et les ducs d’Autriche (HABSBOURG), tenant jusqu’à la guerre de 1914. La première grande conséquence de cet effritement impérial est que la clé de voute a toujours été la possession de l’Italie au Moyen-âge, et début XVIème, l’Italie est un ensemble de petit Etat morcelé

(1870), le voisin allemand semble s'être apaisé (même si dans ce laps de temps le lobby militaro-industriel autour du Kaiser amasse patiemment usines et armement dont il a bien l'intention de faire usage un jour), l'Empire austro-hongrois de François-Joseph est immuablement là, la Russie est trop lointaine et les fastes des Romanov suffisamment aveuglants pour que l'on se rende compte des périls qui la guettent. Tout paraît donc aller pour le mieux, au moins pour une certaine frange favorisée de la population

détruit en 1688 par les Iroquois, alors que l'ancien fort avait été construit après négociations entre le gouverneur Frontenac et une délégation iroquoise en 1673 afin d'étendre le commerce de la fourrure dans les Pays d'en Haut et de protéger Ville-Marie contre les Anglais. Les nations autochtones s'étant fait la guerre entre elles tout au long du xviie siècle pour obtenir le privilège du commerce de la fourrure auprès des puissances européennes, la Nouvelle-France signe finalement la Paix des Braves