Marius Pontmercy Gillenormand

ouvrent et ferment ce chapitre ? Pourquoi ces événements infimes sont-ils importants ? 2) Relevez plusieurs expressions, dans l’ensemble du texte, qui montrent que Marius ne comprend pas bien ce qui se passe en lui. 3) Dans les quatre premiers paragraphes, le narrateur utilise plusieurs métaphores pour exprimer les sentiments de Marius. Relevez-les et essayez d’expliquer pourquoi Hugo a fait appel ici à ces figures de style. 4) Le champ lexical du vêtement est particulièrement fourni dans le texte

clair. Il ne réfléchissait peut-être pas assez que le côté obscur lui échappait12. […] La lucarne mansardée laissait passer un rayon de lune entre deux grands pans d'ombre. Un de ces pans d'ombre couvrait entièrement le mur auquel était adossé Marius, de sorte qu'il y disparaissait 13. Au-delà de sa fonctionnalité narrative locale (donner au personnage une sorte de protection, faire peser en même temps sur lui une menace – poursuivants et poursuivis, comme chez Melville, cohabitent autour

principal, de mon œuvre 1». Sommaire  [masquer]  1 Le roman 1.1 Genèse 1.2 Motivation 1.3 Influences 1.4 Réception 1.5 Utilisation du langage populaire dans Les Misérables 2 Résumé 2.1 Tome I : Fantine 2.2 Tome II : Cosette 2.3 Tome III : Marius 2.4 Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis 2.5 Tome V : Jean Valjean 3 Personnages 4 Éditions 5 Ressources bibliographiques 6 Adaptations 6.1 Cinéma 6.2 Télévision 6.3 Dessins animés 6.4 Comédie musicale 6.5 Théâtre

amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire[3] ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de la littérature française dédiée à la patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit dans

hugolien, assumé par l’auteur, lui permet de s’inscrire dans la durée et de récuser la modernité destructrice et constructrice du Second Empire. Cosette et Marius de Pontmercy, les deux jeunes héros du roman, appartiennent à la génération de 1830 ; le grand événement qui traverse le roman est en 1815 la bataille de Waterloo ; le grand-père Gillenormand est un survivant – très en forme et très en verve – de l’Ancien Régime ; Jean Valjean, condamné sous le Directoire, libéré sous la Restauration, n’a pour

 Montfermeil et Paris inclus. En cinq tomes  on  nous  raconte  la vie  de  Jean Valjean, de sa sortie du pénitencier jusqu’à sa  mort.  Nous  allons   connaître  la  vie  des  personnes  à  l’entour  de  Jean   Valjean  comme Fantine,  Cosette,  Marius,  et  les  Thénardiers  entre  autres.  Ce roman  va  être témoin de  la misère de ce siècle. Le personnage principal, Jean Valjean, sort de prison où il se trouve prisonnier injustement VICTOR HUGO ­ 15 pour  avoir  volé  un  pain,  afin 

industriel respecté et aimé, maire de Montreuil-sur-Mer ; sous cette identité se cache en réalité Jean Valjean. 5- Alors que Pontmercy est laissé pour mort sur le champ de bataille, Thénardier, qui vole les morts, lui prend son alliance. Pontmercy bouge la main. Thénardier s’aperçoit qu’il est encore vivant, le dépouille puis le hisse à l’air libre, hors de l’amas de cadavres. Pontmercy ne saura rien du vol. Il restera reconnaissant envers Thénardier, qui l’a sauvé. 6- Jean Valjean aide Cosette à porter

Casse-Noisette présentant CasseNoisette en tenue de hussard illustre l’image 2 ; l’extrait de L’Homme au sable décrivant la poupée automate illustre l’image 3. 3. L’image 2 présente un ballet  : il s’agit de Casse-Noisette (1892), d’après Hoffmann, ballet de Marius Petipa, musique de Piotr Tchaïkovski, chorégraphie de Rudolf Noureev (Opéra de Paris, en 2007). On pourra visionner l’extrait de CasseNoisette correspondant à l’image  2 sur www. youtube.com (taper « casse-noisette + noureev + paris » dans le moteur

est bien entendu, par exemple, que le gendarme qui tira un coup de pistolet sur Robespierre à l’Hôtel de Ville se nommait La-garde-meurt-et-ne-serend-pas. » (II. 2, 4.) On voit que Hugo ne pardonnait pas à Lamartine d’avoir les pudeurs d’une Mlle Gillenormand aînée. 22 – 68 – battu ; l’homme qui a gagné la bataille de Waterloo, c’est Cambronne. Foudroyer d’un tel mot le tonnerre qui vous tue, c’est vaincre. Faire cette réponse à la catastrophe, dire cela au destin, donner cette base au lion