Masochisme

la femme pour qu’elle fasse écrire l’homme - Écrit pour dire sa peine amoureuse - Amour = religieux > beauté esthétique - présence de femmes mortes : l’amour n’est pas consommé. - Travail d'hyperbole, antithèse, oxymore car nature de l’amour - Masochisme > La pléiade va s’approprier le pétrarquisme pour tenter de surpasser les italiens a. Un inventeur de formes et précurseurs : Clément Marot Clément Marot est un poète du XVIe siècle que la Pléiade tentera de faire oublier pour lui voler sa lumière

considérés comme des objets détruits, des déchets, l’objet est désinvesti  Phase de rétention : l’enfant découvre le plaisir au moment où il retient de façon volontaire ses matières, il découvre le plaisir de la maitrise. L’enfant expérimente le masochisme annal à valeur auto-érotique. -Face aux contraintes éducatives de propreté, l’enfant décide soit d’offrir l’expulsion témoignage d’affection ou soit de retenir par sadisme, hostilement  enfant en position de soumission ou alors de défiance, d’hostilité

recevoir un refus (ou de ne rien recevoir) sur une Lettre que de l’entendre de vive voix. Vouloir se charger de cette souffrance lorsque l’on sait qu’elle sera douloureuse, et se poster devant le fruit de notre peine, n’est que proprement dit du masochisme. Or, ce recours facilite donc la révélation tout en ne faisant point subir sur le passionné un quelque regard désapprobateur ou repoussant. Puis nous pouvons également ajouter qu’avouer son amour par le biais d’une plume et d’une feuille blanche

du cœur. Toujours en quête morbide d’un savoir sur autrui, tel un «espion de Dieu», il «fouille» pour y trouver la souillure. Fascination du mal autant que tenaillant désir de mettre à nu la terrible vérité sous les mensonges de l’apparence, masochisme ou plaisir de la destruction, l’attitude d’Octave lui procure douleur et amère satisfaction à la fois. Version nouvelle du mal du siècle: au «vague des passions» à la manière de Chateaubriand succède le scepticisme glacial. La nostalgie de l’innocence

d'un insecte...) mais qui ici fait plus allusion au désir dans le dessin " Main et fruits " où la main semble caresser les poires. Enfin, la liberté de Man Ray semble surtout être perceptible à travers la représentation du Mal, d'un certain sado-masochisme qui à une époque comme celle où il vivait est absolument révolutionnaire. S'inspirant des travaux du marqui de Sade ( représenté en fin d'oeuvre également), il rompt les liens avec toute morale et représente des situations où le désir l'emporte

m’aimant autrui a aussi le désir d’être aimé par ma liberté. L’amour est donc duperie car aimer c’est vouloir être aimé et donc vouloir que l’autre veuille que je l’aime. Ce rapport produit une insatisfaction perpétuelle. L’amour ‘abime dans le masochisme: autrui ne se démet pas de sa liberté et je me perds dans sa liberté pour me débarrasser de ma subjectivité et devenir un objet. Or, je peux devenir un objet pour autrui mais pas pour moi-même. L’amour devient un acharnement sadique: le désir fait

montre, qui met sous les yeux. Mais Hippolyte ne veut même pas la regarder (voir les vers 691 et 692) d'où la tristesse immense de Phèdre. Phèdre se dit monstrueuse dans ses actes mais aussi dans l'aveu qu'elle n'a pu retenir (vers 693 et 694). 3. Le masochisme La passion est égale à la douleur physique. L'être passionné désire avant tout un contact physique avec l'être aimé (vers 704 et 706). A défaut d'une étreinte, Phèdre veut que la mort lui soit donnée par un geste d'Hippolyte, par son "bras". A défaut

les critères du bizarre et du monstrueux. Faisant de la laideur du beau, du meurtre ou du vice des éléments poétiques, Baudelaire dissocie le beau, le bon et le bien. Enfin, le poème expose un idéal non dépourvu d'ambiguïté qui mêle fascination, masochisme et sadisme. Ce faisant, elle permet d'échapper au spleen.

transformé. Ce poème est très original : il fait coïncider une forme noble avec un thème vulgaire, le crapaud ; il allie provocation et moqueries par le fond, en représentant le poète en crapaud et par la forme. On peut parler ici d’un certain masochisme, la destruction de la forme du sonnet semble être ici l’expression d’uns souffrance sincère.

sur la pulsion de mort (Eros-Thanatos). Dans la pulsion de mort la destruction n'est pas érotisée, on est dans l'agressivité. Dans l'intrication des deux pulsions, la pulsion de mort est érotisée par la pulsion de vie. Les manifestations : Le masochisme, l'autodestruction, la compulsion de répétition, l'agressivité, la résistance thérapeutique négative. Dans la théorie kleinienne, elle va dire que cette notion participe sur l'origine de la vie dans la relation à l'objet et dans l'organisme lui