Masque jetable

 (casques,  baïonnettes, grenade à manche, masque à gaz…) les soldats partent pour la guerre.  On les voit de dos, ils s’avancent vers un horizon brumeux.  Panneau central​  : C’est le plus grand. Il représente des corps déchiquetés, des  cadavres, un squelette , avec au loin, un paysage ravagé(des bâtiments écroulés​ )​ .  Morts et survivants se mêlent dans un paysage ravagé de ruines et de cratères  d’obus, On voit un seul survivant portant un masque à gaz et une cape. Le paysage  est recouvert par un cadavre en décomposition

des cadavres, à droite est parsemé de pustule. Embroché au reste de la structure d’un bâtiment, on peut voir un squelette pointant d’un doigt accusateur le corps criblé de balle du cadavre de droite. On ne peut voir qu’un seul survivant portant un masque à gaz et une cape. Il se confond avec le chaos et est lui aussi privé de son humanité. Il n’a pas de visage et semble immobile. - Le panneau de droite est en réalité un autoportrait d’Otto Dix. On le voit transporter un blessé, et c’est pour cette

tableau, recouvrant tout espoir de changement. La seule figure « vivante » est celle du soldat, mais il porte un masque à gaz : il n’y a plus rien d’humain ici, Dix, devant l’horreur de la Première Guerre Mondiale, ne peut se résoudre à représenter la figure humaine. Il n’en reste que l’ombre, le fantôme inquiétant et morbide : le soldat recouvert de sa cape et caché derrière son masque.

Medieval cryptography It was probably religiously motivated textual analysis of the Qur’an which led to the invention of the frequency analysis technique for breaking monoalphabetic substitution ciphers sometime around 1000 CE (Ibrahim Al-Kadi -1992). It was the most fundamental cryptanalytic advance until WWII. Essentially all ciphers remained vulnerable to this cryptanalytic technique until the invention of the polyalphabetic cipher by Alberti (ca 1465), and many remained so thereafter. Although

Auteur : Arman (1928-2005) Titre : Home Sweet Home Année : 1960 Technique : Accumulation de masques à gaz dans une boîte fermée par un plexiglas Dimensions : 160 x 140,5 x 20 cm Localisation : MNAM, Paris    Biographie de l’auteur Artiste américain d’origine française, né à Nice en 1928, Arman, de son vrai nom Armand Fernandez, vivait et travaillait à Vence et à New-York où il décéda en 2005. Il fait des études à l’Ecole des arts décoratifs de Nice puis à l’Ecole du Louvre. Dans la filiation

Le masque de la mort rouge Maintenant, le thème de la mort, qui est constamment rappelé au début du texte par celui du temps, est structuré tout au long du récit et arrive plus particulièrement au dénouement, ce qui concrétise la menace de la «Mort Rouge». Pour illustrer toute l’angoisse que la mort inspire, l’auteur utilise une gradation reliée à la peur : «… il s’éleva de toute l’assemblée un bourdonnement, un murmure significatif d’étonnement et de désapprobation, - puis, finalement de terreur

tableaux témoignants de ce massacre ( Les joueurs de skat, 1920 ). Ce tableau est logique, à gauche les rangés de soldats montant au front, au milieu le "no man's land" avec les soldats morts ( défigurés par les obus ) et un survivant avec un masque à gaz ( gaz moutarde inventé par les allemands en 1915, utilisé pour la première fois à Ypre ). A droite, les survivants faisant demi-tour, autoportrait d'Otto Dix présenté comme un héros aidant un camarade bléssé. Sur la prédelle, des soldats enterrés

sombres, tristes et froides.Le point de vue abordé est frontal : la vision de ces trois personnages de premier plan, masqués, semblant surgir brutalement d'un monde irréel et cauchemardesque, surprend et effraie. Ils n'ont rien d'humain. Interprétation de l'œuvre La peinture représente néanmoins des Allemands jetant des grenades entre des fils de barbelés et des racines. Leurs masques font d'eux des monstres et le lieu est plutôt surréaliste (no man's land de la tranchée). Les gaz donnent à la scène

la scène, le sifflet d’un petit page, diligenté par le Prince, le blesse mortellement dans sa performance d’acteur et provoque sa fin réelle. Cette fois, réussite « à la Edgar Poe ». On nous fournit, comme inspiration probable de ce bref conte, Le Masque de la mort rouge, l’une des Nouvelles histoires extraordinaires de Poe, traduites par Baudelaire. Mais sauf le cadre formel, le surgissement de la mort au sein des fastes d’une fête, les thèmes me semblent assez éloignés, car là où Poe désigne le

nombreux cadavres aux corps mutilés sont entassés. Nous pouvons voir leurs entrailles ce qui témoigne de la violence, de l’atrocité, de la barbarie des combats. Il n’y a qu’un seul survivant dans la scène et c’est un soldat qui se tient debout, il a un masque à gaz, il porte un casque et est entouré d’une cape. Il est figé, passif et pétrifié par l’horreur dont il est témoin. Panneau de droite : L’homme qui est représenté est un sauveur transportant un soldat blessé : il lui vient en aide. C’est le