Masques Grecs

La commedia dell’arte La Commedia dell’arte est un genre de théâtre populaire qui apparu en Italie en 1528. Il consiste à ce que tous les comédiens jouent en portant un masque expressif. Les représentations eurent d’abord lieu sur des tréteaux. Les comédiens qui jouent dans ce style de théâtre doivent être capables d'improviser, puisque les textes ne sont jamais écrits d'avance. Les acteurs se font quand même un plan, appelé canevas, pour qu'ils puissent se retrouver dans la scène qui est

COLLECTIF MASQUE PRESENTE GEORGE DANDIN de Molière dessin Etienne Champion MISE EN SCENE Mario Gonzalez Un spectacle masqué Coproduit par Le THEATRE 95 de CERGY-PONTOISE Scène Conventionnée aux écritures contemporaines et la Cie ANNIBAL et ses ELEPHANTS. Avec le soutien de l’ADAMI, La Cave à Théâtre de Colombes, la Ville de Saint Gratien (Val d’Oise), et la Cie Sara Llorca. Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National. George Dandin MISE EN SCENE Mario Gonzalez ASSISTANT

Clientèle ciblée A partir de 35 ans. Toutes peaux. Fréquence et mode d’utilisation Appliquer le soir sur une peau parfaitement nettoyée. Précaution d’emploi Eviter le contour des yeux. Conserver a température ambiante. Produits complémentaires Masque Fermeté Intense Sérum Fermeté Intense Fluide Jour Fermeté Intense Composants spécifiques Effets attendus Tensine® Tenseur d’origine végétale Raffermine ® Empêche le relâchement et la perte de fermeté de la peau Huile de germe de blé Lutte

apparu seulement à l'acte III ; elle sert à poser le personnage : un faux dévot dont le masque craque de toutes parts, un personnage à la fois égoïste, immoral et prêt à tout pour satisfaire des désirs pour le moins profanes... En même temps, cela montre la faiblesse de notre homme, et prépare la suite de l'histoire : c'est pour avoir cédé à ses passions, pour n'avoir pas su maintenir jusqu'au bout son masque que Tartuffe finira par tout perdre... ________________________________________

s’inspirant de la situation dramatique, des circonstances de temps et de lieu, faisaient de la pièce qu’ils représentaient une œuvre changeante, incessamment rajeunie. Quant aux types comiques, ce sont les mêmes que ceux de la comédie italienne : ses masques et ses bouffons s’y retrouvent. Il y a d’abord les quatre types principaux : Pantalon, le Docteur, La Capitaine, et les zannis ou valets, avec leurs variétés de fourbes ou d’imbéciles, d’intrigants ou de poltrons; puis les amoureux, les Horace, les

enfants rentraient chez eux, heureux, avec les sacs remplis de bonnes choses arriva. Enfin, on ne vit bientôt plus que des jeunes couples, comme Claire et Michel, qui se promenaient dans la grande rue silencieuse. Certains étaient masqués et d'autres pas. Un couple masqué s'avançait vers eux. Par politesse, Michel leur adressa un bonjour. Mais les étrangers ne répondirent pas. Chaque pas qu'il faisaient les rapprochaient d'eux et, en une fraction de seconde, Claire disparut. Michel se retourna

devient le dieu du théâtre à Athènes. Il était honoré par des chœurs chantant et dansant, son cortège s'assimilait à des satyres qui dansaient de façon très agitée en exhibant leur attribues et s'accompagnaient de ménades. Les fidèles revêtaient des masques barbus, portaient une queue de cheval et un phallus postiches, et avaient une calvitie (signe d'abus d'alcool et de sexe). Le théâtre est réservé à une élite sociale car il nécessite une éducation aux arts. D'un coté la tragédie reprend des hauts

importance. C'était la "fête des fous", ou "fête à l'envers". Les pauvres devenaient riches, le temps d'un jour ; les gens se moquaient les uns des autres, critiquaient les riches et les gens d'église sans complexe, protégés par leur déguisement et leur masque. Il s'agissait d'une période de licence joyeuse, où toute règle de vie normale était suspendue, où les excès étaient permis, se substituant ainsi aux interdits et autres tabous. Ripailles et licence des moeurs étaient caractérisés comme les éléments

importe, le masque est une menace sur le moi : masque-jeu, il éparpille le moi en autant de rôles ; masque-hypocrite, façonné sous le regard d’autrui, il emprisonne le moi et finit par l’étouffer. » Cette phrase d’Alain Heyvaert (La Transparence et l’indicible dans l’œuvre d’Alfred de Musset, Klincksieck, 1994) éclaire-t-elle votre lecture de Fantasio, Les Caprices de Marianne et On ne badine pas avec l’amour ? Le noyau de ce sujet est : « le masque est une menace sur le moi ». (Masque // moi)

emphatique, dialogues improvisés, interludes musicales et bouffonneries, pour satisfaire un vaste public de différentes conditions sociales et culturelles. Tous les acteurs, à l’exception du couple d’amoureux et des servantes, portaient le masque . Avec les mêmes masques très typés, chaque compagnie construisait des centaines de situations différentes. Les zanni > se présentent, sous les traits de Flautino, d’Arlequin, de Brighella, de Mezzetin, de Pierrot, de Scapinno, de Polichinelle , etc.... des caractères