Massacre d'Oradour-sur-Glane

les niveaux dans l’état allemand. Conduisant ainsi le monde dans une guerre idéologique caractérisée par les assassinats en masse dans les industries de la mort . La question qui subsiste est Comment ? Comment les nazi ont-ils réussi à accomplir ce massacre ? A travers ce sujet nous verrons quelles ont été les étapes qui ont conduit à l'extermination de toutes une race (juive et tsigane), les moyens qu'ils ont mis en place pour atteindre ce butte ultime : le génocide des Juifs et des Tsiganes. Enfin

la vision d’une époque compliquée. Les « malgré nous », c’est-à-dire les Alsaciens et les Lorrains contraints de servir dans l’armée allemande, ont longtemps été méprisés et ignorés, surtout que certains d’entre eux avaient pris part au massacre d’Oradour-sur-Glane. Peu à peu, leur histoire particulière s’est écrite. Le président Nicolas Sarkozy vient juste de leur rendre hommage. Si le génocide des Juifs est bien connu, celui des Tsiganes apparaît toujours comme un génocide oublié. Un film, Liberté

ainsi que l’économie, les sociétés, les esprits se mobilisent. La science connaît un grand essor, avec de nombreuses innovations techniques tels que le radar, le moteur à réaction, les chars, bombardiers, fusées V1 et V2…. La science facilite des massacres à grande échelle, surtout par la voie aérienne, atteignant son summum avec l’arme nucléaire mis au point aux EU. 2) La politique nazie d’extermination : le génocide. Définition : Solution finale : Nom donné par les Nazis à l’extermination des

ont envoyés combattre sur le front Est (contre les soviétiques), certains seront prisonnier dans le camp de Tambov en URSS. Ces « malgré-nous » on dû combattre en France et 13 d'entre eux feront parti de la division « SS das Reich » au massacre d'Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944. Le général de Gaulle a voulu conserver ce village depuis cette date tout est rester figer. La petite cité est aujourd'hui divisée en deux entités, dont le centre de la mémoire constitue en quelque sorte le trait d'union :

grand nombre de civils tués est dû aux bombardements massifs pratiqués par les aviations de l’Axe et par les aviations alliées sur les villes, la répression des civils dans les zones occupées pour punir les actes de résistance (destruction d’Oradour-sur-Glane en juin 1944) et surtout la déportation dans les camps nazis qui a causé la mort de 10 millions de personnes dont près de 6 millions de juifs. Toute l'Europe est dévastée, ainsi que le Japon et une partie de l'Asie. Les infrastructures (routes

réclament le statut de déportés mais étant soupçonnés de lâcheté, on leur refuse. Les Malgré Nous, ces alsaciens enrôlés dans la Wehrmacht du fait du rattachement de l’Alsace au Reich, sont stigmatisés et lors du procès des responsables du massacre d’Oradour sur Glane en 1953, ils seront condamnés aux travaux forcés et à la prison avant d’être amnistiés Finalement en ce 8 Mai ce n’est pas la victoire qui sera célébrée d’autant plus que la France est entrée dans un processus de rapprochement avec la

Saint-Nazaire, Royan, Rochelle, Dunkerque). Les résistants lancent des mouvements d’insurrection après le débarquement pour harceler les troupes allemandes mais certaines ont été trop précoces et donc, ils sont subis des représailles (Vercors, Oradour-sur-Glane). La libération politique est l’œuvre de la résistance et du GPRF. En juin 1943, les généraux Giraud et De Gaulle co-préside le comité français de libération puis De Gaulle pousse Giraud à se retirer en novembre 1943. Ensuite, il envoi Jean Moulin

a subit l'occupation. En france la 1ere guerre mondiale a fait deux fois plus de victimes, presques tous des militaires, que la deuxième guerre mondiale qui touche davantage les civils. En effet l'occupation provoque des massacres de civils comme celui d'Oradour sur Glane par la division Das Reich ou comme les 99 pendus de Tulle. La Collaboration accentue les pertes dues à l'occupation. L'armée n'est en guerre que 6 semaines ( du 10 mais au 17 juin ). Démographiquement, les conscéquences en sont

mesures discriminatoires sont prises dans la plupart des pays occupés , souvent traditionnellement antisémites (Pologne, Roumanie) : exclusion de certaines professions, interdiction de lieux publics, port obligatoire de l’étoile jaune. • Les massacres perpétrés par les Einsatzgruppen (« Unités spéciales ») commencent en juin 1941. Ils visent « l’anéantissement » des Juifs et des Slaves : il y a 1,5 million de mor ts environ entre 1940 et 1942. À Babi Yar, près de Kiev, 34 000 Juifs sont exécutés

1958. Déjà en 1951 et en 1953 des lois d'amnistie vident les prisons des derniers condamnés pour collaboration. Mais elles avaient fait polémique lors du procès de 21 membres de la division SS « Das Reich » jugés en France pour le massacre des 642 habitants d'Oradour-sur-Glane (10 juin 1944). Parmi les accusés, figurent 12 « Malgré-nous » (nom donné aux 150 000 Alsaciens-Lorrains incorporés de force dans l'armée allemande. Ils sont reconnus comme victime du nazisme en 2010) qui sont condamnés mais aussitôt