Massacre de la Saint-Barthélemy

est marqué par des difficultés dans toute l’Europe. L'Europe du Nord devient protestante et l'Angleterre anglicane (considérée comme à la fois catholique et réformée). En France, les guerres de religions persistent, avec notamment le massacre de la Saint Barthélémy le 24 aout 1572, malgré différents Edit de tolérance, tel que le colloque de Poissy en 1561 et l'Edit d’Amboise en 1563. C'est alors qu'une crise de succession va s'ouvrir à la mort d'Henri III, assassiné le 1er août 1589 par le moine

travers leur poèmes ou peintures. Ils veulent montrer que la guerre est trop facilement utilisé et à par faire de gros massacres ça ne résout souvent pas grand choses ou alors après la résolution des problèmes il y a eu beaucoup de pertes. Pendant la guerre l'homme devient fou et ne fait plus attention à qui il attaque comme le montre le tableau «Le massacre de la sainte Barthélémy» on voit qu'un homme tue une femme alors qu'a cette époque les femmes et les enfants son innocents ils ne se battent pas

la création d'une nation, et c'est ainsi que le progrès des études historiques est souvent pour la nationalité un danger ». Magie de la rhétorique (prétérition) qui affirme ce qu'elle nie : « tout citoyen français doit avoir oublié la Saint-Barthélemy, les massacres du Midi au XIIIe siècle » juste au cas où on ne s'en souviendrait plus. On reconnaîtra là purement et simplement la constitution d'une légende nationale et, une fois de plus, la limitation de l'analyse à l'affirmation de l'idéologie de

III et IVème siècle : Imposition d’une hiérarchie dans le clergé 325 ap. J-C : Concile de Nicée qui établit que Jésus est Dieu et Homme. 381 ap. J-C : Concile de Constantinople qui fixe la croyance en la Trinité (Dieu est le père, le fils et le Saint Esprit) IVème siècle : Affirmation de la primauté de Rome, car Pierre (1er apôtre) y est mort en martyr. 382 ap. J-C : Concile de Rome qui affirme que Rome est à la source de l’Eglise 440 – 461 : Règne de Léon Ier qui affirme la primauté de Rome

Il peut les admirer, les craindre ou les respecter : il n’a pas le choix puisque le destin concerne toute chose et ne peut être changée. L’Homme le subit. _ Cette réflexion de Ronsard, sur le Déterminisme, suit de quelques années le massacre de la Saint-Barthélemy. Ronsard avait tenté de raisonner ses concitoyens avec le Discours sur la misère de ce temps. Il semble réaliser dès lors que les atrocités des guerres civiles ne relèveraient pas de la conscience humaine mais seraient inscrites dans le

représentant  le  Clergé.  (Les  Sangheilis, dits Elites, et les San 'Shyuums, dits Prophètes).    Aussi,  il­y­a  beaucoup  d'actions  se  référentes  à  des  événements passés ; toutes  en relations avec les  dérives  de  la  religion :  à  l'exemple  du  massacre  des  Elites :  Lorsque  les  Prophètes,  dirigeants  politiques  et  religieux  qui  imposent  leur   théologie  pervertie  sur  l'Alliance  Covenante,  exigent  l'arrestation  et  la  mort  de  tous  les  Elites;  ces  derniers  s'éloignant  peu 

colloque de Poissy (1561). Accordant encore aux protestants l'édit d'Amboise (1563) et la paix de Saint-Germain (1570), pour sceller la réconciliation, sa fille Marguerite de Valois épousera Henri de Navarre. Mais face à l'ascendant pris par l'amiral de Coligny, chef des protestants, sur son fils Charles IX, pressée par les princes catholiques, Catherine donne son aval au massacre de la Saint-Barthélemy (1572). Aux côtés d'Henri III, elle s'efforcera ensuite de rétablir la paix intérieure. Catherine

d’un mouvement religieux de protestationDoctrine de Luther et diffusion du protestantisme :Luther doit organiser son mouvement très rapidement pour éviter les débordements⇒ 1530 : confession d’Anbsbourg qui fixe sa doctrineExemple :- pas de culte des saints, seule la foi compte- Cérémonies simple- 2 sacrements (baptême et communion)2 autres mouvements protestants se foment :- Jean Calvin, plus radical avec la doctrine de prédestination⇒ Calvinisme- Anglicanisme :Henri VIII est excommunié car il veut

questions théologiques seront désormais traitées en français. Les oppositions idéologiques entre catholiques et protestants conduiront à des oppositions armées dans un climat de guerre civile avec des implications de politique étrangère. Massacres de la saint Barthélémy Ainsi les guerres de religion (1562-1598) ternissent la fin du siècle en France et mettent à mal l’optimisme du « Premier XVIe siècle », marqué des découvertes techniques, scientifiques et géographiques déterminantes. L’affirmation des

un courant de pensée va conforter la royauté. Ce mouvement se constitue en réaction à la période troublée des guerres de religions. Ces guerres ont entrainés des révoltes contre la royauté : assassinat d’un monarque (Henri IV), nombreux massacres (Saint Barthélémy), et et donc une instabilité politique et un risque de non pérénité de l'Etat. Cette doctrine endigue l'instabilité politique nottament sous Louis XIV et sa déclaration sur son lit de mort : "Je m’en vais, mais l’état demeurera toujours"