Massacre De Scio

combattre en Grèce et meurt dès 1824. Cette mort suscite une certaine émotion en Europe. Sinon, plusieurs auteurs vont utiliser leur art pour faire connaître la cause grecque et la défendre. Par exemple, Delacroix peint en 1824 le tableau Les Massacres de Scio, qui fait référence à un évènement de 1822. Delacroix souhaite montrer que les Ottomans persécutent les Grecs (contraste richesse/opulence, l’Ottoman sur un cheval, etc.). Cet élan de sympathie envers les Grecs dépasse la peinture. Au niveau

vu par l’historien juif Flavius Josèphe Flavius Josèphe (37-vers 100) est né dans une famille sacerdotale. Il participe à la révolte juive de 66, avant de se rendre au général Vespasien. Lui ayant prédit qu’il deviendrait empereur, il échappe au massacre qui met fin à la révolte et devient son protégé (d’où le nom de Flavius accolé à son nom juif). Il assiste au siège de Jérusalem en 70 par Titus. Il rédige plusieurs ouvrages, dont les Antiquités juives. Ce passage célèbre constitue le seul témoignage

renouveler la peinture. À sa mort, les artistes contemporains lui rendirent de vibrants hommages, notamment Gustave Courbet. Authentique génie, il a laissé de nombreuses œuvres engagées qui étaient souvent en rapport avec l'actualité (Les massacres de Scio ou La Liberté guidant le peuple). Il exécuta aussi nombre de tableaux à thèmes religieux (crucifixion, Jacob et l'Ange, le Christ sur le lac de Génésareth, etc.), bien qu'il se soit parfois déclaré athée. Sur tous les terrains de son époque,

et tués, çà et là, dans la campagne ; quant à ceux qui s’étaient sauvés dans les fortifications, il fut encore plus facile de les joindre, et ils furent égorgés les uns après les autres à coups de baïonnette. Au milieu de cette scène de massacre, qui donna lieu, comme on doit le penser, à des épisodes variés et étranges, il y en eut un qui fixa l’attention générale : un des fuyards, au lieu de suivre ses camarades, s’élança vers un ancien puits, situé au milieu de la place, et recouvert

conflit => contentio ionis f. confrère => sodalis is m. conjecturer => conicio is ere ieci iectum conjoint => conjux ugis m. f. conjuration => conjuratio ionis f. connaissance => scientia iae f., conscientia iae f. connaître => scio is ire iui (scii) itum ; nosco is ere novi notum connu => notus a um, clarus a um consacré => sacer sacra sacrum consacrer => consecro as are avi atum, dico as are avi atum conscience => conscientia iae f., diligentia ae f. conscient

sont tombés aux mains de Han d’Islande (va devoir se battre avec lui). Les choses vont se corser : Han d’Islande vient de perdre son fils qui vient de mourir noyé (il a été éconduit par une femme, épouse d’un type de régiment). Il va se venger et massacrer tout le monde. Dénouement : heureux et tragique. Les documents qui permettront d’innocenter le vieillard sont retrouvés sur le gardien de la morgue, et Han D’Islande se laisse capturer et emprisonner, met feu à la caserne et meurt avec tout le monde

siècle porte sur la forte synergie des arts dans la mesure où les idées romantiques enflamment non seulement les écrivains (poètes, romanciers, dramaturges) mais aussi les peintres (Géricault avec Le radeau de la Méduse, 1819 ; Delacroix avec Le Massacre de Scio, en 1824, La liberté guidant le peuple, 1831), les compositeurs (Berlioz, La symphonie fantastique, 1830, Wagner) et les sculpteurs (Rodin, Bourdelle) qui donnent un coup de grâce à l’académisme et au conformisme. Par ailleurs, à la même époque

suspects de l'insurrection du 3 mai 1808 contre l'occupation napoléonienne en Espagne. Désirant se faire le témoin de ces massacres, l'artiste choisit de montrer sur chaque visage la réaction de chacun face à la mort. Jouant du contraste des couleurs, il a volontairement accentué le caractère dramatique de la scène, qui compte, au même titre que les Scènes des massacres de Scio[pic] ou La Liberté guidant le peuple[pic] de Delacroix, parmi les grands exemples du romantisme et de son combat pour la

plus désolée, plus affaissée que les autres, en qui se résument toutes les douleurs environnantes; ainsi la femme agenouillée, à la chevelure pendante, sur le premier plan des Croisés à Constantinople; la vieille, si morne et si ridée, dans Le Massacre de Scio. Cette mélancolie respire jusque dans les Femmes d’Alger, son tableau le plus coquet et le plus fleuri. [285] Baudelaire se penche sur la « douleur morale » des femmes du grand peintre en disant que presque toutes « sont malades, et

en novembre, la Chanville en décembie, la Martaine en janvier, la Desgranges en février. Les récits se terminent le dernier jour, et l'on finit en massacrant les dernières victimes. D'ailleurs, voici le Compte du lolal : dire esquissées. l>a Massacrés avant le 1" mars dans Depuis le 1" mars Kt ils s'en retournent les orgies 10 20 IG résumé d'une œuvre qui, selon l'opinion du doc- C'est là le teur Duehren, met le marquis de Sade au premier rang des écrivains du xviii' siècle, et dans laquelle