Mathilde De La Mole Description Physique

EXPLICATION LINÉAIRE DE LA RENCONTRE ENTRE JULIEN ET MATHILDE, LE ROUGE ET LE NOIRPrésentation du passage Nous sommes au début de la deuxième partie du livre. Julien, en admiration devant tout ce qui l’entoure, vient de rentrer au service du marquis de La Mole, qui l’a engagé comme secrétaire. Lorsqu’il rencontre les enfants du marquis, Julien tombe immédiatement sous le charme… de son fils, alors qu’il trouve Mathilde belle mais froide. La scène qui nous concerne correspond au passage

société.Témoignage de Stendhal sur son époque : - Description de l’église : Stendhal est anticlérical et dresse un tableau sans concession d’une église divisée entre janséniste et jésuites et dominée par des ambitieux comme Frilair pour qui le procès de Julien est l’occasion d’obtenir un poste d’évêque. C’est aussi le règne de l’hypocrisie et de la cupidité (comme au séminaire de Besançon) mise en abyme de la société de la restauration.- Description de la vie politique : Mr de rénal est présenté comme

dans la société aristocratique Parisienne en devenant le lieutenant de hussards, en acquérant le nom de chevalier Julien de La Vernaye et en  conquérant Mlle. Mathilde de la Mole. Il se trouve au sommet de la gloire. Mais c’est au moment où  il voyait son ambition s’agrandir encore d’avantage  qu’il est informé par Mathilde que M. de la Mole a reçu une lettre de Mme. Rênal qui l’accuse sévèrement d’être un dangereux séducteur et qui aura pour conséquence l’annulation de tous ses projets : de réussite

n'appréhende pas moins l'arrivée du précepteur qu'elle imagine grossier et vieux, obstacle s'interposant entre elle et ses enfants. REPERES POUR LA LECTURE Le paysage : nature et culture Presque aucune notation pittoresque ne figure dans la description de Verrières à la différence de ce qu'auraient peint Balzac ou Flaubert ; Stendhal ne décrit le paysage qu'autant qu'il traduit des rapports humains : façades rebâties (signe de prospérité), terrasses des jardins du maire (signe d'un enrichissement

individu de classe sociale populaire. Julien porte un regard mauvais sur la bourgeoisie. Il juge les bourgeois comme déloyal, ne s'intéressant qu'à leurs propres intérêts. C'est notamment le regard qu'il porte envers le marquis de La Mole à Paris ainsi que sa fille Mathilde, au début de leurs relations Stendhal montre la limite de l'ascension sociale de Julien même par manipulation, Julien se retrouve alors bloqué ce qui ridiculise ce personnage montrant un objectif extravagant et qui montre à quelle

Bible , pour plaire aux membres du clergé et à la haute société qu’il fréquente. c- Des interventions du narrateur qui montrent son affection ou son jugement sévère pour ses personnages principaux (Mme de Rênal ; Mathilde de la Mole et Julien Sorel) : Le narrateur met l’accent sur les ridicules de Julien (lors de son avancée vers la chambre de Mme de Rênal), sur son orgueil «  avec un air orgueilleusement humble  » (oxymore, p 337)et

Le Rouge et le Noir Intro : -Stendhal pseudonyme d'Henri Beyle pour Stendhal : genre littéraire : cadre -« Chronique de 1830 » : date de parution réaliste , perso romantiques , description cadre historique et social classes , sociale , politiques. -plusieurs interprétations pour le titre : rouge => amour ou carrière militaire noir => la mort ou carrière ecclésiastique -Julien Sorel : héros , petit paysan ambitieux qui s'élève dans une société grâce aux femmes. Extrait 1 :

par une focalisation zéro (le narrateur donne des informations sur Julien et son enfance, sur le chirurgien-major). La progression utilisée pour décrire Julien est à thèmes dérivés (on dit aussi parfois « à thèmes éclatés ») : chaque aspect de son physique est détaillé successivement sans lien d'une phrase à l'autre. Cette impression d'éclatement du personnage confirme le mépris et la violence dont il est l'objet. INTERPRÉTATIONS 10. Situation d'énonciation. La scène se passe le matin (voir le début

« L’altière Mathilde » (page 367) est « une jeune personne, extrêmement blonde et fort bien faite», aux yeux beaux mais qui «annonçaient une grande froideur d’âme». «L’air dur, hautain et presque masculin» (page 268), ayant une « âme haute et froide » (page 349), étant fantasque et orgueilleuse, elle appartenait à un type de femme que Stendhal avait bien connu et dont il avait beaucoup souffert : certains de ses traits sont ceux de la jeune aristocrate siennoise, Giulia Rimieri de Rocchi, dont il

ce que l'abbé Pirard lui propose de devenir le secrétaire du Marquis de la Mole. Julien quitte le séminaire, puis rend, au prix d'une dangereuse escalade, une dernière visite de nuit à Mme de Rênal. Il doit abandonner à l'aube cette femme plus passionnée que jamais et s'enfuir sous les coups de fusil vengeurs de M. de Rênal. Il part pour Paris afin de prendre ses fonctions auprès du Marquis de la Mole. Le marquis de La Mole, personnalité influente du faubourg Saint-Germain, remarque très vite l'intelligence