Mathurin Régnier Satires

aveugle, et qu'un homme est de chair. ELMIRE D'autres prendraient cela d'autre façon, peut-être; Mais ma discrétion se veut faire paraître. 1015 Je ne redirai point l'affaire à mon époux; Mais je veux en revanche une chose de vous. 95 Cf. Mathurin Régnier, Satire XIII, v. 121-124, où il est dit des moines: «Outre le saint vœu qui sert de couverture,/ Ils sont trop obligés au secret de nature/ Et savent, plus discrets, apporter en aimant/ Avecque moins d'éclat, plus de contentement.» Et c'est en nous

aveugle, et qu'un homme est de chair. ELMIRE D'autres prendraient cela d'autre façon, peut-être; Mais ma discrétion se veut faire paraître. 1015 Je ne redirai point l'affaire à mon époux; Mais je veux en revanche une chose de vous. 95 Cf. Mathurin Régnier, Satire XIII, v. 121-124, où il est dit des moines: «Outre le saint vœu qui sert de couverture,/ Ils sont trop obligés au secret de nature/ Et savent, plus discrets, apporter en aimant/ Avecque moins d'éclat, plus de contentement.» 61 C'est de

Roman de Renard is now seen as the reverse image of the chivalric epic. The saga sets Reynard against King Noble, the lion, and their struggle, enacted in field, farm and village, is an extended satire of feudal values. In this sense, Reynard is a rebel baron who encapsulates aristocratic corruption. But the satire is also directed elsewhere – specifically at churchmen whose gluttony, lechery and opportunism 18 THE MIDDLE AGES are regularly lampooned, and more generally at the follies and frailty

inventif, il mêle, avec une étonnante inventivité verbale, tous les registres de langue, sans craindre d'emprunter les procédés des écrits populaires - alliance du merveilleux et du réalisme, recours à l'exagération comique et au grotesque, ton de la satire, scènes de farce et gauloiseries - pour aborder les grandes questions de son temps: l'éducation, la guerre, la liberté de pensée confrontée à l'obscurantisme religieux. La liberté de ton de Pantagruel (1532) et de Gargantua (1534 ou 1535), ses écrits

inventif, il mêle, avec une étonnante inventivité verbale, tous les registres de langue, sans craindre d'emprunter les procédés des écrits populaires - alliance du merveilleux et du réalisme, recours à l'exagération comique et au grotesque, ton de la satire, scènes de farce et gauloiseries - pour aborder les grandes questions de son temps: l'éducation, la guerre, la liberté de pensée confrontée à l'obscurantisme religieux. La liberté de ton de Pantagruel (1532) et de Gargantua (1534 ou 1535), ses écrits

réagir face à une situation révoltante ou injuste. Dans Les Châtiments, par exemple, Victor Hugo attaque Napoléon III qu’il surnomme « Napoléon le petit » et stigmatise ses agissements politiques. Tout le recueil est construit de manière à faire la satire et la critique du second Empire. À d’autres périodes de l’histoire, la poésie entre en jeu et dénonce la barbarie de la guerre ou son iniquité. Pendant la première Guerre mondiale, Guillaume Apollinaire écrit une partie des Poèmes à Lou alors qu’il

cousine de Pont-l’Évêque qui occupe la chambre que Flaubert réservait à Ernest Chevalier pour les vacances. Flaubert a deux devoirs de rhétorique à faire, donnés par Magnier. Rédaction de Rome et les Césars. Flaubert termine Les Funérailles du docteur Mathurin, « conte bachique » et en fait don à Alfred Le Poittevin. Vacances et lectures : Nodier, Eschyle, de Maistre, une Histoire de l’art d’Arcisse de Caumont. Flaubert attend la visite d’Ernest Chevalier. Sa sœur Caroline est malade, comme au mois de

parmi vous, depuis la sorcière jusqu'à sa chatte, une ribaude qui veuille de ce ribaud? Holà, Colette la Charonne! Élisabeth Trouvain! Simone Jodouyne! Marie Piédebou! Thonne la Longue! Bérarde Fanouel! Michelle Genaille! Claude Ronge-Oreille! Mathurine Girorou! Holà! Isabeau la Thierrye! Venez et voyez! un homme pour rien! qui en veut?» Gringoire, dans ce misérable état, était sans doute peu appétissant. Les truandes se montrèrent médiocrement touchées de la proposition. Le malheureux les entendit

vous, depuis la sorcière jusqu’à sa chatte, une ribaude qui veuille de ce ribaud ? Holà, Colette la Charonne ! Élisabeth Trouvain ! Simone Jodouyne ! Marie Piédebou ! Thonne la Longue ! Bérarde Fanouel ! Michelle Genaille ! Claude Ronge-Oreille ! Mathurine Girorou ! Holà ! Isabeau la Thierrye ! Venez et voyez ! un homme pour rien ! qui en veut ? » Gringoire, dans ce misérable état, était sans doute peu appétissant. Les truandes se montrèrent médiocrement touchées de la proposition. Le malheureux

quand on relie les figures phares, les éclaireurs, les astres qui brillent d’une lumière particulière dans la nuit de l’esprit. Le fil rouge, la ligne ne connaissent évidemment pas les limites nationales ou linguistiques : Walpole, Radcliffe, Lewis, Mathurin, Hugo, Balzac, Baudelaire, Young, Lautréamont sont sur la même. L’oreille très subtile de Breton se guide sur des résonances. Ainsi entre Aurélia et une lettre de Baudelaire, il rebondit sur une expression, un mot commun, pour établir de ces liens