Matin Bruns

une jeune femme qui, sans être particulièrement jolie, attirait le regard. Une beauté atypique. Elle devait avoir un peu moins de trente ans. Très grande, au visage carré et régulier, ses profonds yeux noirs semblaient parler pour elle. Ses cheveux bruns étaient coupés aux épaules et son manteau de printemps blanc était ouvert sur une blouse et une jupe vintage lui descendant jusqu'aux genoux. Envoûtante. Ce fut le premier mot qui passa à l'esprit de Hodgins. Cette fille ne correspondait pas aux canons

ancienne auberge replâtrée, et l'hôtel Vidaillet, formé tout simplement par l'achat de trois maisons voisines qu'on avait perforées afin d'en faire une seule.     Puis, du même coup, deux médecins nouveaux s'étaient trouvés installés dans le pays, un matin, sans qu'on sût bien comment ils étaient venus, car les médecins, dans les villes d'eaux, semblent sortir des sources, à la façon des bulles de gaz. C'étaient : le docteur Honorat, un Auvergnat, et le docteur Latonne, de Paris. Une haine farouche avait

de te dire tout ce qui me semble qui pourrait t'intéresser et encore heureux que tu ne lit pas dans mes pensées!m'écriais-je en rougissant. Je me tournais vers lui, accoudé sur le bord de la vitre; il soupira et hocha la tête. _Où allons-nous? Le matin même Edward était venu me chercher chez Charly sans aucunes explications, ni de la part de Charly ni de celle d'Edward. _Tu verras, c’est une surprise !-il devait de mieux en mieux lire dans mes pensées parce qu'il ajouta- tu t'inquiète trop Bella

ancienne auberge replâtrée, et l’hôtel Vidaillet, formé tout simplement par l’achat de trois maisons voisines qu’on avait perforées afin d’en faire une seule. Puis, du même coup, deux médecins nouveaux s’étaient trouvés installés dans le pays, un matin, sans qu’on sût bien comment ils étaient venus, car les médecins, dans les villes d’eaux, semblent sortir des sources, à la façon des bulles de gaz. C’étaient : le docteur Honorat, un Auvergnat, et le docteur Latonne, de Paris. Une haine farouche avait

bon pain comme ça, c’est pour les occasions spéciales. — Miam, encore chaud, dis-je. (Il a dû se rendre à la boulangerie à l’aurore.) Qu’est-ce que ça t’a coûté ? — Juste un écureuil. J’ai eu l’impression que le vieux était d’humeur sentimentale, ce matin, ajoute Gale. Il m’a même souhaité bonne chance. — Oh, on se sent tous plus proches les uns des autres aujourd’hui, non ? dis-je sans même me donner la peine de lever les yeux au ciel. Prim nous a laissé un fromage. Je le sors de ma poche. Le visage

Chapitre 1: Le lendemain matin Pepper Potts se réveille chez Tony le lendemain des événements de Iron Man 2. Tout appartient à Marvel, et c'est très bien comme ça. J'ai édité pour des fautes minimes et pour une erreur majeure : la Stark Expo n'avait pas lieu à LA, mais à New York ! – Bonjour Mademoiselle Potts. Il est dix heures du matin, le temps devrait rester au beau fixe grâce à l'actuel anticyclone et la température extérieure est de 26 degrés. La voix douce et chaude de Jarvis fit

bon bain comme ça, c'est pour les occasions spéciales. — Miam, encore chaud, dis-je. (Il a dû se rendre à la boulangerie à l'aurore.) Qu'estce que ça t'a coûté ? — Juste un écureuil. J'ai eu l'impression que le vieux était d'humeur sentimentale, ce matin, ajoute Gale. Il m'a même souhaité bonne chance. — Oh, on se sent tous plus proches les uns des autres aujourd'hui, non ? dis-je sans même me donner la peine de lever les yeux au ciel. Prim nous a laissé un fromage. Je le sors de ma poche. Le visage

bon bain comme ça, c'est pour les occasions spéciales. — Miam, encore chaud, dis-je. (Il a dû se rendre à la boulangerie à l'aurore.) Qu'estce que ça t'a coûté ? — Juste un écureuil. J'ai eu l'impression que le vieux était d'humeur sentimentale, ce matin, ajoute Gale. Il m'a même souhaité bonne chance. — Oh, on se sent tous plus proches les uns des autres aujourd'hui, non ? dis-je sans même me donner la peine de lever les yeux au ciel. Prim nous a laissé un fromage. Je le sors de ma poche. Le visage

silence, dans la saison où tout est jeune, où le soleil enflamme un ciel pur. Enfin c’était un beau pays, c’était la France ! Homme de haute taille, le voyageur était entièrement vêtu de drap bleu aussi soigneusement brossé que devait l’être chaque matin son cheval au poil lisse, sur lequel il se tenait droit et vissé comme un vieil officier de cavalerie. Si déjà sa cravate noire et ses gants de daim, si les pistolets qui grossissaient ses fontes, et le portemanteau bien attaché sur la croupe de son

quelques heures, car la journée du lendemain serait lourde. Le rendez-vous de chasse aurait lieu vers la fin de la matinée, dans les bois de Fausse-Repose. Angélique, comme tous les invités du roi qui venaient de Paris, devait se mettre en route de bon matin afin de se rencontrer à l'heure dite avec les équipages venant de Versailles au carrefour des Bœufs. Il y avait en ce lieu, situé au cœur de la forêt, des écuries où les privilégiés envoyaient à l'avance leurs chevaux de selle. Ainsi les bêtes étaient