Mátyás Rákosi

populaires désignent plutôt sous le terme de « républiques bourgeoises » ou de « pays capitalistes ». L'expression de « démocratie populaire » fait rapidement partie du vocabulaire des mouvements communistes, mais n'est pas immédiatement défini Mátyás Rákosi, secrétaire général du Parti des travailleurs hongrois et dirigeant de la République populaire de Hongrie, a avoué qu'il ignorait initialement ce que signifiait au juste le terme. En décembre 1948, Georgi Mikhailov Dimitrov, dirigeant du Parti

territoires libérés du joug nazi les communistes entrent dans des gouvernements de coalition ( fronts nationaux) et s’emparent progressivement des postes stratégiques La tactique du salami est une expression inventée par l'homme politique hongrois Mátyás Rákosi, chef du Parti communiste hongrois, pour décrire l'élimination progressive des pouvoirs extérieurs au communisme (Église, autres partis...), « tranche après tranche, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien ». Cette stratégie est assurée au lendemain

Définition [modifier] L'expression de « démocratie populaire » fait rapidement partie du vocabulaire des mouvements communistes, mais n'est pas immédiatement défini Mátyás Rákosi, secrétaire général du Parti des travailleurs hongrois et dirigeant de la République populaire de Hongrie, a avoué qu'il ignorait initialement ce que signifiait au juste le terme1. En décembre 1948, Georgi Mikhailov Dimitrov, dirigeant du Parti communiste bulgare, donne la définition de la démocratie populaire comme un

etc.). Afin de conserver le pouvoir, les communistes emploient de nombreux moyens pour supprimer leurs adversaires politiques. La stratégie la plus célèbre est la « tactique du salami ». C’est le nom donné par le dirigeant communiste hongrois, Matyas Rakosi, pour désigner la technique visant à éliminer les partis opposants les uns après les autres (métaphoriquement, tranche par tranche). Tous les pays deviennent ainsi progressivement communistes, le dernier à le devenir est la Tchécoslovaquie. En

2nd Guerre mondiale sous tutelle de l’URSS (Union des Républiques Socialistes Soviétiques) avec la création d’un régime qui tire ses racines des pratiques staliniennes : la République Populaire de Hongrie. Ainsi en octobre 1956 c’est le gouvernement Rákosi (fervent émule de Staline), officiellement en place depuis 1949, qui mène une politique totalitaire. Or ces revendications donneront suite, le lendemain, le 23 octobre 1956, à l’insurrection de Budapest qui est le mouvement de contestation vis-à-vis

économique et des niveaux de vie bas. De plus, la situation économique de la Hongrie, qui est devenue un état communiste, est désastreuse pour faute d’avoir tout misé sur l’industrie lourde (source distribuée en classe, l’industrie hongroise, Matas Rákosi, Discours pub. Par le bulletin hongrois, 1953) et faute de devoir payer des lourdes réparations de guerre. Nous avons ainsi une Hongrie affaiblie tant politiquement qu’économiquement. Les changements qui vont mener la révolution de 1956 commencent

militaire alliée, un gouvernement de coalition sera constitué avec un communiste comme ministre de l’intérieur. Pour la suite, ce n’était qu’un jeu d’enfants : appliquer la technique du « salami », non pas celle de M. Vincent mais bien celle de Màtyàs Rákosi, qui consistais à neutraliser et chasser tous les éléments les plus dynamiques du camp adverse. La technique marcha à merveille et, par la suite, les soviétiques prirent la tête du pouvoir. Par contre, les hongrois ne se laissaient pas marcher

responsabilités durant et après la période de transition qui mène à la formation de la République populaire de Hongrie; il est président de l'assemblée nationale de 1947 à 1949. Le 13 juin 1953, dans le cadre de la déstalinisation, il remplace Mátyás Rákosi au poste de premier ministre. Il met en route une politique de réforme radicale et devient pour beaucoup de Hongrois celui qui portait l'espoir d'un avenir meilleur. La tendance stalinienne s'oppose radicalement aux réformes de Nagy. Il est relevé

d’édifier les bases du passage vers le développement socialiste » notamment. B. Un exemple de domination de l’URSS : le « coup de Prague ».  La tactique du salami : définition. → Expression inventée par l'homme politique hongrois Matyas Rákosi, chef du Parti communiste hongrois, pour décrire l'élimination progressive des pouvoirs extérieurs au communisme (Église, autres partis...), « tranche après tranche, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien ». → Cette stratégie est assurée au

internationale marquée par les débuts de la guerre froide, les partis non communistes des pays sous domination soviétique sont rapidement éliminés. La stratégie la plus célèbre, celle dite du salami, consiste, selon le dirigeant communiste hongrois Matyas Rakosi, à débiter, tranche par tranche, la réaction qui se dissimule dans tous les autres partis politiques. Staline fait procéder à des élections dans chacun des pays de l’Europe centrale et orientale. Entachées de fraudes, de pression, de violences