Mátyás Rákosi

menée par l’URSS. Ainsi les communistes écartent les tous les opposants : c’est la « tactique du salami », cette dernière consiste à « éliminer tranche par tranche jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien » (expression du leader communiste hongrois Mátyás Rákosi qui a lui même utilisé cette tactique). Staline jusqu'à sa mort en 1953, entreprend une politique de terreur. Enfin en Octobre 1947 le KOMINFORM (Bureau d’information des partis communistes) est créé en Pologne. [II. … mais aussi du processus

contrôle. • Septembre 1947 vient la doctrine Jdanov, qui consacre la coupure du monde en deux blocs antagonistes et annonce la création du Kominform. L’URSS a renforcé sa mainmise sur ces pays en mettant en place la « tactique du salami (Matyas Rakosi) ». • D’autre part, les soviétiques organisent le blocus de Berlin-Ouest de juin 1948 à mai 1949 afin de riposter à l’unification monétaire des trois zones occidentales d’Allemagne. • Cette crise met les deux camps au bord de l’affrontement

arrêté pour « complot contre la sécurité de l’Armée rouge » puis suivent les arrestations de grandes personnalités politiques. Ensuite, les partis, privés de leurs principaux défenseurs, sont dissous progressivement (= « tactique du salami » – Matyas Rakosi, secrétaire général du PC hongrois), en commençant par la droite et en finissant par les sociaux-démocrates (entre 45 et 50, 5 000 sociaux-démocrates sont arrêtés en secteur soviétique allemand dont 4 000 vont mourir en détention). Enfin, le parti

est confronté à une grave crise économique. Les réformes sont urgentes, le Parti Communiste dirigé par les russes et le Parti Social Démocrate fusionnent, commence une nouvelle dictature en 1948 (une république populaire) sous la direction de Mátyás Rákosi. En 1953, avec l’arrivée de Imre Nagy au pouvoir, l’espoir renaît. Il ferme les camps d’internement et fait entrer son pays dans une logique économique libérale En octobre 1956 il proclame la neutralité du pays et son retrait du pacte de Varsovie

social-démocrates et sans parti qui ont sacrifié leur vie dans la lutte contre le fascisme". Cette phrase déclenche de vifs applaudissements. Il évoque particulièrement certains communistes emprisonnés par les fascistes "nous saluons de cette tribune Thäelmann, Rakosi, Gramsci, Antikainen...". Les applaudissements de nouveau retentissent dans la salle des Colonnes. "... Et tous les autres prisonniers du capital et du fascisme". Le 3 mars 1933 Ernst Thälmann (secrétaire général du KPD) est arrêté pour être conduit

(Zinoviev, Boukharine, Molotov puis Manouïlski) mais les cadres communistes exilés de leur propre pays occupent une place importante dans sa hiérarchie, à l'image de l'Italien Palmiro Togliatti, du Finlandais Otto Wille Kuusinen, des Hongrois Mátyás Rákosi et Béla Kun ou du Bulgare Georgi Dimitrov213. Ascension et dictature de Staline[modifier | modifier le code] Victoire politique de Staline[modifier | modifier le code] Articles connexes : Stalinisme, Histoire de l'URSS sous Staline et Marxisme-léninisme

le parti socialiste… » 6. ↑ "Le fascime est l'idéologie qui remet - de force - l'état au service des possédants, quand les élections n'y suffisent plus" Henri Guillemin, Le Fascime en France, livre-Cd, 1987, ed. Utovie, hg 7. ↑ Par exemple Mátyás Rákosi en Hongrie dans les années 1945-1950. Cette tactique consiste à diviser les partis politiques adverses en les accusant de fascisme, pour les éliminer un à un, ou à faire fusionner plusieurs partis, jusqu’à ce qu'il ne reste qu'un seul parti. Les staliniensont

et commence vers 1945 une carrière professionnelle prometteuse en jouant dans divers groupes. Quatre ans plus tard, à l’âge de 23 ans, il décide de quitter clandestinement la Hongrie car le climat y devient étouffant depuis que le dictateur Mátyás Rákosi a mis en place la République populaire hongroise. Ce régime dictatorial et stalinien n’est guère favorable ni aux Roms – l’autre appellation des Tziganes – ni plus généralement aux artistes, puisqu’écrivains et musiciens ont commencé à être

l'Empire soviétique A) La soviétisation de l'Europe de l'Est (1945-1948) 1) La tactique du salami En éliminant tranche par tranche leurs adversaires comme on découpe un saucisson (l'expression est du chef du parti communiste hongrois Matyas Rakosi) les Soviétiques et leurs collaborateurs locaux parviennent en 3 ans à prendre le contrôle de l'Europe de l'Est qui deviendra durant toute la guerre froide leur glacis (zone protectrice en avant du territoire soviétique). Après avoir épuré les

Hongrie. Nagy occupe divers postes de responsabilités durant et après la période de transition qui mène à la formation de la République populaire de Hongrie. Il est président de l'assemblée nationale de 1947 à 1949. Le 13 juin 1953, il remplace Mátyás Rákosi au poste de premier ministre. Le 14 avril 1955 ayant perdu le soutien du Politburo de Moscou, Imre Nagy est relevé de ses fonctions par la direction du parti communiste hongrois et, quelques mois plus tard, est exclu du parti. La plupart de ses