Maurice Boucher

|Aide à l'alimentation | Présentation de la situation J'ai effectué le premier stage de 1ère année au sein d'un hôpital psychiatrique dans une unité d'Admission. Cette unité pouvait accueillir 22 patients atteints pour la plupart de psychose. L'acte de soin qui m'a été délégué par un aide-soignant lors d'un repas est une aide alimentaire auprès d'une patiente en séjour de

pour des patients qui n’ont plus de dent. Habituellement, outre les dents prothétiques, les dentiers partiels ont un châssis et des crochets métalliques (par exemple l’or, l’acier,l’argent,etc). Les crochets se placent sur des dents restants dans la bouche et aide le dentier à stabiliser pendant les mouvements des mâchoires.Comme les crochets sont en métal, ils sont flexibles et ils peuvent saisir complètement les dents.Les dents prothétiques sont en résine.Ils ont la même couleur et la même taille

des aliments) Des glandes digestives annexes: glandes salivaires, foie et pancréas. La bouche Le palais = 2 parties    Palais osseux (palais dur) = surface rigide contre laquelle la langue écrase la nourriture durant la mastication. Palais mou, prolongé par l’uvule Palatine ou luette: ferme le nasopharynx lorsque nous avalons La langue = Organe musculaire recouvert de muqueuse, situé dans la bouche et le pharynx:  Organe de la gustation: papilles gustatives  Malaxe les aliments → mélange

intellectuel et infirmité motrice sévères qui apparaît très souvent après un développement normal. Ce syndrome est différent suivant les personnes mais on retrouve quelque caractéristique associer: gestes répétés le plus souvent avec les mains touchant la bouche, difficulté pour mâcher et déglutir, scoliose, épilepsie, mauvaise régulation thermique,... Il y a là une diminution du développement psychomoteur de l'enfant et la perte de certaine acquisition et deviendra plus ou moins dépendant par la suite.

tous les hommes ou de la plus grande partie, que le blanc et le rouge les rend affreuses et dégoûtantes; que le rouge seul les vieillit et les déguise; qu'ils haïssent autant à les voir avec de la céruse sur le visage, qu'avec de fausses dents en la bouche, et des boules de cire dans les mâchoires; qu'ils protestent sérieusement contre tout l'artifice dont elles usent pour se rendre laides; et que, bien loin d'en répondre devant Dieu, il semble au contraire qu'il leur ait réservé ce dernier et infaillible

victime d'évacuer le corps étranger. Quand on est témoin d'un tel accident, il existe une attitude univoque à tenir pour essayer d'aider la victime. La personne présente doit d'abord, essayer d'évacuer le plus rapidement possible le contenu de la bouche. Pour cela, un seul moyen est efficace, le doigt. Il faut aller chercher le plus loin possible les aliments perceptibles dans la cavité buccale. Cette opération ne doit pas durer très longtemps et doit être abandonnée au profit de la manoeuvre suivante

les entoure, permettant ainsi la construction du récif. Les polypes sont des organismes simples, il s’ouvre sur l’extérieur avec un orifice qui joue le rôle de bouche et d’anus. À l’intérieur, ils ont une cavité gastro-vasculaire ou s’effectue la digestion. Cette cavité est prolongée par un œsophage qui donne sur la bouche. Autour de la bouche, on trouve des tentacules disposés en couronne. Les polypes ne sont pas isolés au sein d’une colonie, ils sont reliés entre eux par des canaux appelé coenosarques

qui couvre la bouche, suivi de la main qui touche le nez. Avez vous déjà vu un enfant mentir ? Alors vous avez sûrement remarqué qu’il était trés mauvais menteur, et facilement repérable. Les enfants qui mentent ont souvent le réflexe de plaquer maladroitement la main sur la bouche, et c’est un geste bien trop évident pour être crédible. En grandissant, on apprend à être plus discret, mais le mouvement de base reste le même. La main s’élève, et gratte le coin de la bouche, ou frotte la

Quelle folie, mon amour. Oh, emmène moi, où tu veux, peu importe. Tue moi de tes caresses, ma tête ne tourne que par ta faute, que grâce à toi. Grâce à toi, à cause de toi j'ai peur... Que ta peau ne touche plus la mienne, oh comme j'ai peur que ma bouche ne rencontre plus tes lèvres, que mes hanches ne trouvent plus tes douces mains.. Que ton visage m'échappe peu à peu, qu'il ne m'appartienne pas à moi seule. Que tes yeux ne se posent plus sur moi en brillant tellement qu'ils en feraient pâlir les

maintenant figé dans une argile grise, la bouche s’ouvrit et, presque aussitôt, il en sortit un seul cri continu, que la respiration nuançait à peine, et qui emplit soudain la salle d’une protestation monotone, discorde, et si peu humaine qu’elle semblait venir de tous les hommes à la fois. Rieux serrait les dents et Tarrou se détourna. Rambert s’approcha du lit près de Castel qui ferma le livre, resté ouvert sur ses genoux. Paneloux regarda cette bouche enfantine, souillée par la maladie, pleine