Mauthausen

les camps d’extermination de Belzec, Sobibor et Treblinka. Auschwitz est libéré le 26 janvier 1945. À l’Ouest, l’armée américaine découvre quant à elle les camps de concentration situés en territoire allemand : Buchenwald (11 avril), Dora, Dachau, Mauthausen. Elle pénètre dans le camp de Bergen-Belsen mi-avril  : 60  000 détenus y sont retrouvés vivants. L’entrée dans les camps constitue un choc psychologique et moral terrible : vision des corps réduits à l’état de squelettes, des charniers, des chambres

les camps d’extermination de Belzec, Sobibor et Treblinka. Auschwitz est libéré le 26 janvier 1945. À l’Ouest, l’armée américaine découvre quant à elle les camps de concentration situés en territoire allemand : Buchenwald (11 avril), Dora, Dachau, Mauthausen. Elle pénètre dans le camp de Bergen-Belsen mi-avril  : 60  000 détenus y sont retrouvés vivants. L’entrée dans les camps constitue un choc psychologique et moral terrible : vision des corps réduits à l’état de squelettes, des charniers, des chambres

plusieurs fois blessé, cité, décoré ! Les lieux où il a été affecté, en Allemagne, en Autriche, en France, en Pologne et ailleurs, ne m’auraient pour la plupart rien dit sans les commentaires de Rachel : Frankfurt, Linz, Grossrosen, Salzburg, Dachau, Mauthausen, Rocroi, Paris, Auschwitz, Buchenwald, Gand, Hartheim, Lublin-Majdanek. Certains sont des camps d’extermination. C’est dans ces lieux tenus secrets que les nazis faisaient disparaître les Juifs et les indésirables. Rachel parle de plusieurs centaines

No. 31/48. Vienna, 1 Oct. 1948. 10th dispatch. The Allied Commissions of Inquiry have so far established that no people were killed by poison gas in the following concentration camps: Bergen-Belsen, Buchenwald, Dachau, Flossenburg, Gross-Rosen, Mauthausen and its satellite camps, Natzweiler, Neuengamme, Niederhagen (Wewelsburg), Ravensbruck, Sachsenhausen, Stutthof, Theresienstadt. In those cases, it has been possible to prove that confessions had been extracted by torture, and that testimonies were

Marronniers, de la cité Couzy et de la Commune de Paris. Schaltzmann savait pertinemment qu'il s'agissait de camps de la mort lente, où l'on pourrissait sur place et il lui arrivait de se demander quand les détenus se révolteraient pour de bon, comme à Mauthausen ou à Sobibor. Ce soir-là, lorsque madame Dussoulier ouvrit son parapluie, elle sortait de chez elle, sur le boulevard de Stalingrad. Une petite averse, typique de cette fin septembre, commençait à asperger l'univers. Andréas roulait doucement, un