Maximilien de Robespierre

de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, Tout condamné

un refus français du pluralisme religieux. Deux épisodes de notre histoire ont pu, selon Jean Baubérot, contribuer à donner à notre laïcité sa sulfureuse réputation d’intolérance. Le premier épisode réside dans la Terreur, durant laquelle Maximilien Robespierre (1758-1794) institue une religion civique et combat l’athéisme. Des catholiques pourchassés pour leurs convictions trouvent refuge en Angleterre. Le second épisode est lié aux lois de 1901 et de 1904, faites en partie pour réglementer les

     1) Les causes de l'apparition de la peine de mort De nombreuses tentatives ont eu lieu pour mettre fin à l’usage de la peine de mort. Parmi ces tentatives, citons : -3 juillet 1791 : L’Assemblée constituante refuse une suggestion de Maximilien de Robespierre qui consiste a aboliir cette peine -25 septembre 1830, un marquis dispose une pétition abolitionniste des habitants de Paris. -21 février 1851 et 3 janvier 1872, des membres de l’Assemblée Nationale propose l’abolition de la peine de mort

franc-maçon, journaliste et homme politique français. Il meurt à Paris le 2 Avril 1791, son corps fut transféré au Panthéon puis profané et ses cendres jetées aux égouts de Paris après la découverte de ses contacts avec le Roi. • Robespierre Maximilien de Robespierre est né le 6 mai 1758 à Arras dans le Pas-de-Calais. Il fut avocat et homme politique français. Il devient le chef des Montagnards (Un groupe politique de la Révolution française), il participa à l'élaboration de la Déclaration des

Révolution française, dont l’action a été à son apogée entre 1793 et 1794. Issus en majorité de la bourgeoisie et des professions libérales (avocats, journalistes), les Montagnards se reconnaissent pour la plupart derrière leur chef de file Maximilien de Robespierre. Se réclamant porte-parole des couches populaires et de la moyenne bourgeoisie, les Montagnards sont ainsi dénommés pour avoir siégé, au sein de l'Assemblée nationale constituante, dans les rangées supérieures de l'hémicycle et vont à partir

les révolutionnaires font émerger une nouvelle ère d’exercice du pouvoir, celle de la République. De puissants symboles soudent alors le peuple. à commencer par la devise républicaine « Liberté Égalité Fraternité », formulée en 1790 par Maximilien de Robespierre. Le drapeau tricolore bleu blanc rouge, dessiné par Jacques Louis David en 1794, est également emblématique de la nation. La Marseillaise, écrite par Rouget de Lisle en 1795, est l’hymne qui tisse et raffermit les liens entre les membres

Montagnards en juin 1793, qui font arrêter 29 chefs girondins : tous les pouvoirs se trouvent concentrés entre les mains d’une Assemblée devenue toute puissante. C’est le début de la Terreur. 1.3 Inventer la République : Une mission impossible ? Robespierre est renversé le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). Ses détracteurs profitent de l’impression de désordre donnée par une répression presque aveugle pour le mettre en minorité. Mais cette expérimentation institutionnelle continue : elle a pour

jusqu'à entraîner la mort dans les campagnes. - des causes sociales, qui sont la résultante des causes exposées ci-dessus : le peuple ne voulait plus de cette société injuste qui les conduisait à la famine.   3.    Grands noms de la révolution   ROBESPIERRE (1758-1794) : Député aux Etats généraux, surnommé « L’incorruptible », il s’oppose fermement à la guerre. Entré au comité de salut public, il est l’âme de la dictature, affirmant que le ressort de la démocratie est à la fois terreur et vertu ; il

la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, Tout condamné

Michel Aglieta. En effet, ce type de marché nécessite une régulation, un contrôle cependant il reste le meilleur moyen de financer les économies. Pour conclure, je vais citer Robespierre qui dans un contexte de crise financière et d’émeutes populaires au cours desquelles des foules s’appropriaient le grain, Maximilien de Robespierre s’exprima à la Convention sur les subsistances la 2 décembre 1792 : « A quoi peut servir aux spéculateurs les plus avides la liberté indéfinie de leurs odieux trafics ? A