Maximilien de Robespierre

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prêtres détenus, la princesse de Lamballe, etc …), du 2 au 6 septembre 1792. Victoire de Kellermann et Dumouriez sur les Prussiens à Valmy, le 20 septembre 1792. Réunion de la Convention sous la présidence de Pétion ou Péthion (Montagne : Maximilien, Robespierre, Danton, Marat, Saint-Just, Barrère, Collot d'Herbois, Tallien, Billaud-Varennes, Legendre, Camille Desmoulins, Cambon, Carnot, Carrier, David, etc … Gironde : Vergniaux, Barbaroux, Lanjuinais, Roland, Fonfrède, Valazé, etc … Plaine : Monge

sera contrainte de quitter le territoire. La victoire française à Jemmapes n’est plus qu’un ancien souvenir mais la France reprendra possession de la Belgique au cours de la bataille de Fleurus, en 1794. {text:list-item} A l'appel de Robespierre, des sans-culottes parisiens guidés par Varlet et Roux, chef de fil des Enragés, encerclent la Convention et réclament la mise en accusation des députés de la Gironde qui gouvernent le pays. Ils leur reprochent leur incapacité à faire face à l'invasion

Montagnards beaucoup plus radicaux. Les girondins sont en fin de compte débordés par les Montagnards en juin 1793. Les parlementaires girondins sont arrêtés et exécutés, ainsi que George DANTON qui dirigeait le gouvernement. Le chef des Montagnards, Maximilien ROBESPIERRE, arrive au pouvoir. C’est dans ce contexte troublé qu’est rédigée la Constitution de 1793. La constitution du 24 juin 1793 Une nouvelle déclaration de droits des citoyens est proclamée contenant, outre des droits politiques très inspirés

beaucoup plus radicaux. Les Girondins sont en fin de compte débordés par les Montagnards en juin 1793. Les parlementaires girondins sont arrêtés et exécutés, ainsi que George Danton qui dirigeait le gouvernement. Le chef des Montagnards, Maximilien Robespierre, arrive au pouvoir. C’est dans ce contexte troublé qu’est rédigée la Constitution de 1793. La constitution du 24 juin 1793 Une nouvelle déclaration de droits des citoyens est proclamée contenant, outre des droits politiques très inspirés

le gouvernement crée un tribunal révolutionnaire avant de confier le pouvoir à Maximilien de Robespierre. Ce dernier instaure une dictature. Le calme est encore loin de revenir dans le pays. Les mois qui suivront sont marqués par des guerres menées contre les pays étrangers, des guerres internes menées contre les groupes qui ne supportent pas la dictature ainsi que par l'arrestation des Girondins. En 1793, Robespierre instaure la Loi des suspects, loi qui permet d’arrêter, de juger et de guillotiner

mort ne sera pas abrogée. Dans les années qui suivirent, la justice révolutionnaire fera exécuter entre trente et quarante mille condamnés. Au cours des débats, l'un des orateurs politiques, partisan de l'abolition, s’appelait pourtant Maximilien de Robespierre. Décidément, la question n’est pas facile. Deux phrases me reviennent soudain à l’esprit : « L’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation non de la mort mais de la vie » (Spinoza) « Tout condamné

Parlement de Paris. En 1789, il est élu député de la noblesse aux Etats généraux. Dans son discours du 31 mai 1791, il dénonce l’inutilité et le danger de la peine de mort. Source : http://www.senat.fr/evenement/archives/D22/Duport.html Maximilien ROBESPIERRE , né en 1758 à Arras, député artésien du Tiers Etat, intervint en faveur de l’abolition. Avocat, il avait écrit en 1784 un mémoire sur La Honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable. Selon lui, et selon les termes de son discours

sauveur, ce qui rend le texte plus léger, et dissimule l'accusation tout en faisant passer le message clairement, pour dénoncer les injustices sociales, de plus l'humour crée un lien de connivence entre l'auteur et le lecteur ou le spectateur. Maximilien de Robespierre, quant à lui, utilise, dans Discours sur la peine de mort des comparaisons et des métaphores choquantes comparaison entre le condamné à un enfant sans défense et métaphore sur les législateurs et les citoyens à « des maitres » et « des esclaves

Il est élu aux Etats Généraux de 1789 et est ministre de la justice en 1792. Montagnard sous la Convention, il participe à la création du Tribunal révolutionnaire de Paris et le Comité de salut public. Il est arrêté et guillotiné sous l’ordre de Robespierre le 5 avril 1794. Mirabeau : Honoré Gabriel Riqueti comte de Mirabeau est né le 9 mars 1749 à Bignon Mirabeau. Il est révolutionnaire, écrivain, journaliste, diplomate, et homme politique français. Il a écrit « essai sur le despotisme » en 1776