Mayence

cas d’Erasme qui a beaucoup voyagé en Europe. Ces intellectuels forment la « République des lettres » (expression apparue au XVème siècle et désignant la communauté européenne des savants) ; - l’invention de l’imprimerie (en 1450 par Gutenberg à Mayence) permet de ne plus avoir à recopier des manuscrits pour les reproduire (le travail est donc plus rapide et permet une reproduction en grande quantité). Consigne : Analysez les documents afin de localiser les foyers de la Renaissance en Europe. Vous

l'aspect novateur ne résidait pas dans les inventions elles-mêmes, mais dans leur mise en œuvre dans un nouveau contexte. C'est comme ça que l'on pourrait qualifier l'invention de Gutenberg vers le milieu du XVem siècle. Johannes Gutenberg est né à Mayence, sur les bords du Rhin, dans la première moitié du XVe siècle. On ne connaît pas grand chose de cet homme, il n'a signé aucun livre et les informations directes que nous avons sur lui sont les notes des greffiers lors de ses mises en procès par ses

se tourna vers le droit. Il rédigea sa Thèse sur le principe d'individuation (1663) puis quitta sa ville natale pour étudier les mathématiques à Iéna. Il soutint en 1666 une thèse de doctorat en droit. Devenu, en 1670, conseiller de l'électeur de Mayence, il partit en 1672 pour une mission diplomatique à Paris, ce qui lui permit de rencontrer Malebranche, Antoine Arnauld, et de consulter les œuvres inédites de Pascal.  En Angleterre, l'année suivante, il put lire des travaux de Newton. En 1676, il

importantes dont la métropole dominante est Francfort, le pôle financier de l'Allemagne. Ce sont des villes tertiaires comme Heidelberg, ville universitaire et comme Wiesbaden, ville thermale. Ce sont des villes anciennes capitales politiques comme Mayence et des villes industrielles comme Offenbach. * La Silicon Neckar autour de Stuttgart, la grande ville tertiaire et industrielle de Mercedes, Porsche et Bosch. Cette région de 2,5 millions d'habitants est une suite d'établissements industriels

sonne Afin qu'on lui donne La drogue qu'ordonne Son vieux médecin, Tandis que sa belle Que l'amour appelle, Au plaisir fidèle, Feint d'aller au bain. Quand vers Cythère La solitaire, Avec mystère, Dirige ses pas, La diligence Part pour Mayence, Bordeaux, Florence, Ou les Pays " Adieu donc, mon père ; Adieu donc, mon frère, Adieu donc, ma mère. - Adieu, mes petits. " Les chevaux hennissent Les fouets retentissent, Les vitres frémissent Les voilà partis. Dans chaque rue Plus

d'un frère ou d'un neveu ; parfois, les points de vue de deux personnages sont présentés en alternance (c'est la pratique de "l'incidence" : le texte s'interrompt pour insérer l'autre point de vue), avec des digressions...). La Geste de Doon de Mayence Autour du thème central de luttes féodales, les chansons de ce cycle sont groupées de façon plus artificielle que dans les cycles précédents. On dit que certaines des chansons sont des "chansons rebelles". Quelques œuvres : Gormont et Isembart (XIIe siècle)

professeur de théologie allemand, s'élève contre le système des indulgences promises par le pape à tous les croyants qui donnaient de l'argent pour la basilique Saint-Pierre de Rome. Il écrit quatre-vingt-quinze thèses et les envoie à l'archevêque de Mayence. Par la suite, le conflit qui l'oppose à la papauté continue de grandir : il finit par rejeter le dogme (ce qu'il faut croire dans une religion) et la hiérarchie de l'Église catholique. • Il défend l'idée d'une religion individuelle et écrit le premier

aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles. 8-10 juillet 1828 Victor Hugo, Les Orientales Les larmes se ressemblent Dans le ciel gris des anges de faïence Dans le ciel gris des sanglots étouffés Il me souvient de ces jours de Mayence Dans le Rhin noir pleuraient des filles-fées On trouvait parfois au fond des ruelles Un soldat tué d’un coup de couteau On trouvait parfois cette paix cruelle Malgré le jeune vin blanc des coteaux J’ai bu l’alcool transparent des cerises J’ai

professeur de théologie allemand, s'élève contre le système des indulgences promises par le pape à tous les croyants qui donnaient de l'argent pour la basilique Saint-Pierre de Rome. Il écrit quatre-vingt-quinze thèses et les envoie à l'archevêque de Mayence. Par la suite, le conflit qui l'oppose à la papauté continue de grandir : il finit par rejeter le dogme et la hiérarchie de l'Église catholique. • Il défend l'idée d'une religion individuelle et écrit le premier programme de la Réforme : il est à

schisme luthérien Le 31 octobre 1517, les étudiants du moine et docteur en théologie Martin Luther réagissent à la campagne d'indulgences lancée par l'un des plus hauts dignitaires de l'Empire, Albert de Hohenzollern, prince-électeur et archevêque de Mayence : ils affichent sur la porte de l'église de Wittenberg et adressent à l'intention de celui qui fut le dernier grand maître de l'ordre Teutonique une lettre rédigée par Martin Luther constituée de 95 thèses, à la fois constat des dérives de l'Église