Mel Stuart

également sociologique, démographique et linguistique. Alexis de Tocqueville publiera en 1835 le premier tome De la démocratie en Amérique (le second en 1840), œuvre fondatrice de sa pensée politique. En 1835, il est reçu en Angleterre par son ami John Stuart Mill, et publie son essai L'État social et politique de la France avant et depuis 1789 qui formera ses grandes bases de réflexions sur l'Ancien Régime et la Révolution. Grâce à son succès, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur (1837) et est

nuisent pas, ni ne déterminent l'espace de liberté d'autrui. Pour ce faire, une société démocratique définit donc un cadre moral et légal centré sur le respect de l'autre tout en accordant le maximum d'autonomie à chacun. Comme l'a bien dit John Stuart Mill : "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres". C'est pourquoi les citoyens élisent des représentants qui définissent des règles qui se veulent équitables et visent à donner les mêmes chances à chacun. Les états établissent donc

réalité afin de soulager l’esprit. Elle est manipulatrice des sentiments, elle parvient à persuader l’idée du bonheur. La joie qui accompagne l’illusion qui réconforte est superficielle, c’est un sentiment de trahison a soi-même. Comme le confirme John Stuart Mill «  Il vaut mieux être Socrate malheureux plutôt qu’un imbécile heureux ». Le fait de toujours créer des illusions qui remplacent des vérités qui dérangent pourrait parfois etre dangereux à la psychologie de la personne, comme les troubles psychiques

pas de culture, il n'apprendra donc rien sauf le fait de toujours répété ses actions tout au long de sa vie. Un philosophe renforce la thèse de Kant puisqu'il compare la vie d'un animal quantitativement supérieur a celle d'un homme. En effet, John Stuart Mill dans son texte l'utilitarisme soulève comme thèse le fait de vouloir échanger ou non sa place avec celle d'un animal. Dès le début de son texte il s'exclame « aucun être intelligent ne consentirait à être un ignorant » ; l'animal est considéré

pas là. Après-tout, le rôle de la philosophie n’est-t-il pas de comprendre l’homme ? Plus nous sommes porté à réfléchir, à s’ouvrir à de nouvelles idées, plus nous dépassons nos limites, nous somme porté à aller plus loin dans notre réflexion. John Stuart Mill, un philosophe britannique qui vécu de 1806 à 1873, a dit un jour : « L’élève auquel on ne demande jamais que ce qu’il peut faire ne fera jamais tout ce qu’il peut. »1 La philosophie nous permet donc d’aller voir plus loin que le bout de notre

une conscience de soi indépendamment de la relation à autrui ? la philosophie sentimentaliste du XVIIIè siècle a été marquée par des penseurs anglais du sentiment (pitié, compassion, self-love (amour de soi) qui ont influencé JJ Rousseau. B - John Stuart MILL "de la liberté" la conception de l'individu devient historique, l'homme est en devenir et donc tributaire de la solidarité et de la société à laquelle il appartient. C - les différentes conceptions de la liberté pour les Anciens et les Modernes

dans l’œuvre des économistes anglais comme Thomas Robert Malthus (essai sur le principe de population) et David Ricardo (principe de la politique économique et de l’impôt) pour atteindre son niveau d’attachement le plus complet dans l’œuvre de John Stuart Mill (traité d’économie politique). Le libéralisme classique à considérablement contribuée au développement de la science économique que se soit au niveau de la théorie de la valeur, au niveau de la théorie de la répartition des revenus qu’au

Bérard Julie M2 Mme L’Heuillet Exposé : De la liberté J.S Mill 2009-2010 Introduction : John Stuart Mill (1806-1873), fils de James Mill (disciple de Bentham), est un héritier de la pensée utilitariste. C’est un des auteurs de la pensée libérale anglaise qui s’illustre notamment dans l’ouvrage : Considérations sur le gouvernement représentatif. Mill écrit On liberty en 1859. Cet ouvrage marque une rupture avec ses livres précédents. En effet, dans les années trente

contrepartie de ces positions, est nécessaire au financement du capital productif et donc à la croissance. 2) Elles maximisent le bien-être collectif L’utilitarisme, doctrine introduite par Jérémy Bentham (1748-1832) et prolongée par John Stuart Mill (1806-1873), pose le principe d’utilité comme fondement de la moralité. Les utilitaristes donnent priorité au Bien sur le Juste. Selon cette doctrine, une action peut être jugée bonne ou mauvaise en fonction du bonheur qu’elle procure aux individus

riche de discussions complexes sur les problèmes économiques, de commentaires des oeuvres de chacun d'eux, et de critiques des oeuvres d'autres auteurs ; toutes ces lettres étaient écrites dans un remarquable climat de franchise et d'amitié. John Stuart Mill (1806-1873), fils d'un autre ami de Ricardo, James Mill (1773-1836), fournit des contributions éminentes à la philosophie et à l'éthique, mais fut surtout le dernier auteur libéral important de l'école classique. II apporta peu de substance à