Melancholia Dürer

– 14) Nerval (comme Novalis), proclame « l’interdépendance de l’homme et de la nature, les mystérieuses correspondances qui unissent êtres animés et êtres apparemment inanimés dans le sein de la nature… [564]. » Dans le poème A Albert Dürer (Voix Intérieures, X; 20 avril 1837), la forêt devient pour Victor Hugo un monde fantastique où des tressaillements, des regards le font frissonner et lui révèlent confusément, comme il le dira plus tard, que « tout vit, tout est plein d'âmes [565] » :

disappointed that she cannot see John again to find out why he behaved so strangely after the feely. The Arch-Community-Songster warns Bernard that he should be more careful in his criticisms of the World State. Bernard sinks back into his former melancholia now that his newfound success has evaporated. He makes John his scapegoat. Bernard is simultaneously grateful and resentful that Helmholtz gives him the friendship he needs without criticizing him for his earlier unfriendliness. Helmholtz has gotten

classique (cf. Horace que Hugo cite à deux reprises). Dans son art poétique : l’action tragique doit commencer in medias res, au milieu de la chose, au plus près de son dénouement, et les classiques vont comprendre cela sur le temps de la pièce : doit durer 24 h. Ce que Hugo voulait dans la première ébauche, c’était l’effet in medias res, mais aussi un effet de grandeur (or, le public ne le sait pas, comment la révéler au public). Si on se tourne vers le journal d’Adèle, elle fait référence à ce problème

sentiments ou des émotions : recevoir un cadeau, présenter la misère, se réconcilier et pardonner…). • Des compétences d’oral : sont proposés deux poèmes extraits des Contemplations, à mémoriser et à réciter, l’un montrant l’enfance malheureuse (« Melancholia »), l’autre l’enfance heureuse (« Elle avait pris ce pli… »). • L’évaluation en ligne permet d’évaluer l’ensemble de ces compétences (le texte choisi est extrait de la première partie, livre septième, chap. XI : M.  Madeleine dévoile sa véritable

Dist. RMN/Photographe inconnu. Activité n°5 – questions de lecture (Les Poèmes saturniens) ᕡ À qui est dédié le recueil ? Commentez ce choix. ᕢ Combien de sections comporte le recueil ? ᕣ Quelles thématiques suggère la première section, « Mélancholia » ? ᕤ À quel univers artistique renvoie la section « Eaux-fortes » ? ᕥ Quelle est la place du « je » dans les poèmes du recueil ? ᕦ Verlaine applique-t-il dans son recueil l’impassibilité parnassienne et le détachement politique des partisans

ne lui « parle plus ». ½¼ ½ ¾¼ Tu es un oisif, un somnambule, une huître. Les définitions varient selon les heures, selon les jours, mais le sens reste à peu près clair : tu te sens peu fait pour vivre, pour agir, pour façonner ; tu ne veux que durer, tu ne veux que l’attente et l’oubli. La vie moderne apprécie généralement peu de telles dispositions : autour de toi tu as vu, de tout temps, privilégier l’action, les grands projets, l’enthousiasme : homme tendu en avant, homme les yeux fixés sur

parle plus ». ½¼ ½ ¾¼ Tu es un oisif, un somnambule, une huître. Les définitions varient selon les heures, selon les jours, mais le sens reste à peu près clair : tu te sens peu fait pour vivre, pour agir, pour façonner ; tu ne veux que durer, tu ne veux que l’attente et l’oubli. La vie moderne apprécie généralement peu de telles dispositions : autour de toi tu as vu, de tout temps, privilégier l’action, les grands projets, l’enthousiasme : homme tendu en avant, homme les yeux fixés sur

que le monde ne lui « parle plus ». Tu es un oisif, un somnambule, une huître. Les définitions varient selon les heures, selon les jours, mais le sens reste à peu près clair : tu te sens peu fait pour vivre, pour agir, pour façonner ; tu ne veux que durer, tu ne veux que l’attente et l’oubli. La vie moderne apprécie généralement peu de telles dispositions : autour de toi tu as vu, de tout temps, privilégier l’action, les grands projets, l’enthousiasme : homme tendu en avant, homme les yeux fixés sur

XXI. XXII. XXIII.  Après l’hiver XXIV. XXV. XXVI.  Crépuscule XXVII.  La nichée sous le portail XXVIII.  Un soir que je regardais le ciel LIVRE TROISIÈME  LES LUTTES ET LES RÊVES I.  Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia II.  Melancholia III.  Saturne IV.  Écrit au bas d’un crucifix V.  Quia pulvis es VI.  La source VII.  La statue VIII. IX. X.  Amour XI.   ? XII.  Explication XIII.  La chouette XIV.  À la mère de l’enfant mort XV.  Épitaphe XVI.  Le maître d’études

............ 128 XXVIII. Un soir que je regardais le ciel ................................. 130 LIVRE TROISIÈME LES LUTTES ET LES RÊVES................ 133 I. Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia................ 134 –3– II. Melancholia.........................................................................135 III. Saturne ............................................................................. 145 IV. Écrit au bas d’un crucifix ..........................................