Memoire Marché Interbancaire

même nature en provenance des autres états. -communiquer sans délai l’ensemble de ces listes à l’autorité des Marchés financiers. ( AMF) II) L’AMF L’AMF est une autorité publique indépendante dotée de la personnalité morale et de l’autonomie budgétaire. Instituée par la loi Sécurité Financière, elle se substitue à la commission des opérations de bourse, au conseil des marchés financiers et au conseil de discipline de la gestion financière. Missions de contrôle à priori de l’AMF : Le

sur le marché financier. Ces créances peuvent être des prêts détenus par des établissements de crédits ou par des entreprises publiques ou privées. Elles sont vendues à une entité ad-hoc appelée Fonds de Placement Collectif en Titrisation (FPCT) qui, à son tour, émet des titres qu’elle vend à des investisseurs. La titrisation s’inscrit dans une tendance lourde de la finance au niveau mondial, celle de la «marchéisation», c’est-à-dire la tendance consistant à rendre échangeable sur les marchés des

opérations de changes manuels : C’est l’échange de devise (EURO et DOLLARS) en FCFA ou de FCFA en devise. Le dit change se fait moyennant une commission de change. Ce service connaît aussi beaucoup de difficulté, il est fortement concurrencé par un marché de change informel qui propose des commissions de change douces par rapport à la banque sans beaucoup de contrainte. - La lettre de change et les cautions bancaires : La lettre de garantie est un document par lequel la banque s’engage à payer

la plus utilisée. Cette méthode rencontre vite des limites. Comment apprécier le risque d'insolvabilité lorsque l'emprunteur est un simple particulier et qu'il ne peut fournir aucun bilan ou compte de résultat ? Avec le développement du marché des particuliers, cette question s'est posée de plus en plus fréquemment et l'insuffisance des renseignements concernant ces emprunteurs a conduit les banquiers à rechercher d'autres moyens d'appréciation du risque d'insolvabilité reposant sur

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE « MOULOUD MAMMERI » DE TIZI –OUZOU Faculté des sciences économiques, de gestion et de sciences commerciales     MEMOIRE EN VUE D’OBTENTION DU DIPLOME DE MAGISTER         PRATIQUE DU CREDIT-BAIL, ANALYSE DE LA SITUATION ALGERIENNE                                                                                                                                                       Présenté

système bancaire marocain : Le secteur bancaire se caractérise par une forte concentration. Cette concentration se matérialise par la prédominance des plus grandes banques en termes de parts de marché. Les trois premiers établissements atteignent plus de 50 % en termes de part du marché en 2002. Le taux de bancarisation ne concerne encore que le quart de la population totale, mais la moitié de la population urbaine. Le Près du tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération

«  Mes remerciements les plus sincères à toutes les personnes qui ont contribué de près ou de loin à l’élaboration de ce mémoire ainsi qu’à la réussite de cette formidable année universitaire » Remerciements l’équipe enseignante : Au professeur M et à toute son équipe pour la richesse des enseignements et des échanges tout au long des modules de la licence professionnelle. Remerciements à l’équipe de travail : Au chef d’agence ainsi que le directeur général de l’agence et leurs

PLAN Introduction générale CHAPITRE PRELIMINAIRE SECTION 1: Nomenclature des risques bancaires I. LE RISQUE DE CREDIT II. LE RISQUE DE MARCHE III. LE RISQUE OPERATIONNEL SECTION 2: La gestion des risques bancaires I. LES OBJECTIFS DE LA GESTION DES RISQUES II. LES ETAPES DE LA GESTION DES RISQUES SECTION 3: La règlementation prudentielle internationale CH1: LE RATIO BALE I 1.1 Principes 1.2 Les différents piliers 1.3 Critiques et limites du ratio Cooke CH2 : LE RATIO BALE II

Internationales Tunisienne Évènement La consolidation du secteur bancaire tunisien Ridha MEFTAh Manager Ernst & Young Tunisie Services Financiers page 27 Seminar : pratiques le cas de la région Options de change, & perspectives MENA pourquoi le marché au service de Par Rami ABDELKAFI et Salim REFAS ne décolle-t-il pas? l’innovation page 11 Par Souhayel TAYEB- Juriste page 35 Financier (Paris) page 23 2 www.aiefbt.org La Newsletter électronique gratuite des décideurs financiers tunisiens

c'est-à-dire la juste valeur, et bien essayer de donner aux éléments d’actif leur juste valeur. On y trouve trois(3) cas de figures : 1er : les actifs qui s’échangent sur un marché liquide (SICAV). 2ème : les actifs qui ne s’échangent pas sur un marché, exemple : les crédits. 3ème : les produits qui s’échangent sur un marché qui n’et plus liquide. La « FAIR VALUE » s’appuie sur un modèle qui s’appelle « MARK to MARKET » c’est un modèle Pro cyclique 6) Responsabilité par rapport