Mémoire morte

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neuropsychologiques FE : Évaluation des FE particulièrement importante dans le cadre du bilan NP car elles interviennent dans tous les secteurs cognitifs : Attention Tb attentionnels : Attention visuelle dirigée Attention sélective Attention soutenue Mémoire Baisse de l'efficience mnésique Tb de la MLT Défaut d'encodage Défaut de récupération Difficultés de mise en place de stratégies Tb de la MDT Langage Tb du langage Tb de l'accès au lexique s'exprimant par un manque du mot Baisse de la

LES MEMOIRES INTRODUCTION Qu’entend-on par « les mémoires » ? Qu’est-ce qu’une mémoire d’un point de vue historique ? Il faut faire attention avant tout à ne pas confondre une mémoire et l’Histoire d’une part, et une mémoire et la mémoire d’autre part. Tout d’abord, la différence entre les mémoires et l’Histoire. L’Histoire est, par définition, ce qu’il s’est réellement passé, ce qu’il s’est déroulé dans le passé et qui est donc forcément univoque. En un mot, l’Histoire est objective. A contrario

L’historien et les mémoires Seconde Guerre Mondiale Les mémoires de guerre et ici particulièrement de la Seconde Guerre Mondiale deviennent pour les historiens des objets d’histoire. Comment l’historien peut-il expliquer que l’immédiat après-guerre n’ait pas permis l’émergence des toutes les mémoires ? Comment les mémoires de la 2GM ont-elles évoluées depuis 1945 ? La Seconde Guerre Mondiale, des épisodes qui ont marqué la mémoire collective

actuel Thème 1 – Le rapport des sociétés à leur passé (9-10 heures) Question 2 - Les mémoires : lecture historique L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France (4-5h) Bibliographie Bédarida François, Histoire, critique et responsabilité, Complexe/IHTP CNRS, « Histoire du temps présent », 2003 Douzou Laurent La Résistance française, une histoire périlleuse, Seuil, 2005 Frank Robert, « La mémoire empoisonnée », dans La France des années noires, 2. De l’Occupation à la Libération

nouveaux programmes de première. En effet, ces programmes instituaient justement un nouvel objet d’étude, le biographique, lui-même mélange incertain de genres divers dont le point commun est de raconter une vie : journaux intimes, récits de vie, mémoires, autobiographies, biographies, romans autobiographiques, mais aussi romans « biographiques » (Cf. les documents d’accompagnement, qui proposent d’étudier dans ce cadre Une Vie de Maupassant ou La Légende de saint Julien l’hospitalier de Flaubert…)

 Theme 1 : Le Rapport des sociétés à leurs passés : CHAP I : L'Historien et les mémoires de la SGM en France Memoire : Ensemble de souvenirs vécus ou racontés propre à 1 individu (memo individuelle) ou a 1 grp social (memo collective). Memo est subjective et evolue en concurrence avc d'autres memo porteuse de souvenir differents Histoire ; Discipline scientifique qui connsiste à relater le passé en toute OBJECTIVIT. Pour faire recit du passé et l'epliquer, l'historien pro croise et confronte

rappeler mon mémoire et retrouver mon passé. J’aimerais retrouver mon passé parce qu’il y a beaucoup des souvenirs et mémoires qui ont la signifiance. Je voudrais parler avec une personne et raconter des petites histoires and des bêtises qui ont passe quand j’étais jeune. Je n’aimerais pas parler de ma vie et n’avais pas des choses à dire. Si je voudrais parler de ma vie, je devrai rappeler tout les souvenirs. Aussi, je ne voudrais pas demander autres personnes pour la vérité d’un mémoire. Je pense

les autres. Gide, Journal (1889-1951) ; Anne Frank, Journal (1942-1944) B)Les mémoires et le regard sur la société L'auteur fait le récit des évènements auxquels il a assisté et celui de sa propre vie 1.Les mémoires Les mémoires permettent, à celui qui a été acteur ou témoin privilégié de l'Histoire, de faire la chronique d'une époque, tout en y inscrivant son propre destin. Saint-Simon, Mémoires (1828, posth.) ; Malraux, Antimémoires (1967) 2.Le journal littéraire Proche

témoignage (comme Charles De Gaulle dans ses Mémoires) qui lui permet de influencer l'image qu’il souhaite laisser de lui-même. Cette méthode est fréquemment utilisée, notamment par des hommes d’état pour s’assurer de ne pas être oublié par les générations futures et laisser une image positive de son action. Cependant il y a alors le risque de ne pas être totalement fidèle à la vérité, involontairement d'une part lorsque l’autobiographe est trahi par sa mémoire, et volontairement d'autre part en orientant