Mencheviks

la décision définitive. Sa composition politique est nettement différente de celle du mois de juin 1917. Sur 650 délégués, le bloc réformiste (la droite des mencheviks et les S-R) en contrôle moins de 100. Les bolcheviks, de leur côté, disposent d'une majorité absolue avec environ 390 délégués. Ils sont rejoints par la gauche des mencheviks et la gauche des S-R. Les réformistes, minoritaires, quittent le Congres, basculant du coté de la contre-révolution. Un nouveau Comité Exécutif des conseils -

début du XXème siècle, et prennent possession des meilleures terres. Cette installation ne se fait pas dans le douceur et engendre de nombreux conflits, et des famines qui ont causé 100.000 morts. En 1917, apparaît un mouvement national menchévik et le Kazakhstan obtient son indépendance en 1917. Cette période séparatiste ne dura pas longtemps puisqu’avec l’arrivée de L’URSS, le pays devient une République socialiste soviétique autonome dès 1920. Les soviétiques veulent détruire

russe, le « fait le plus considérable de la guerre mondiale »[3] à propos desquels les interprétations divergent. Elle dénonce violemment « l'opportunisme » des dirigeants de la social-démocratie allemande (Eduard Bernstein, Karl Kautsky) et des mencheviks russes, leur politique de soutien à l'impérialisme[4]. Dans ce contexte, elle salue le parti bolchevik en tant que « force motrice[5] » « à qui revient le mérite historique d'avoir proclamé dès le début et suivi avec une logique de fer la tactique

qu’accélérer les révolutions d’un type nouveau. Mars 1917 : dans un gouvernement russe qui n’est pas démocratique, gouvernement de coalition. Guerres offensives allemandes, de plus en plus violentes, les russes se mutinent. Bolchéviks (Lénine) et mencheviks. Ces courants s’appuient sur l’état de l’opinion de presse donc on la mesure par la volonté d’une assemblée générale). Ces assemblées sont des assemblées d’ouvriers, de soldats. Juillet 1917 : les partisans du tsar forment un coup d’état

certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les menchevik avaient en premier parlé de léninisme pour contester le marxisme de Lénine, il restait clandestin avec une acception péjorative, visant l'ensemble des attitudes, des théories, des traits typiques de Staline. (...) Les trotzkistes impliquaient dans « stalinisme » une

révolutionnaire de la classe ouvrière, le parti doit être très structuré et constitué comme une sorte d’avant-garde chargée de propager les germes de la révolution. Elle se donne pour mot d'ordre "la dictature du prolétariat". Le courant minoritaire (les mencheviks) des partisans de Julius Martov (1873-1923) est plus modéré et souhaite orienter le parti vers l'action parlementaire. • Après la révolution de février 1917, les bolcheviks prennent le pouvoir au sein des soviets en octobre 1917 et refusent de le

certaines périodes, des situations de famine. Boris Souvarine note que « le terme de stalinisme n'a jamais eu cours en Union soviétique. Forgé par les communistes opposants pour dénier à Staline la qualité de léniniste, de même qu'autrefois les mencheviks avaient en premier parlé de léninisme pour contester le marxisme de Lénine, il restait clandestin avec une acception péjorative, visant l'ensemble des attitudes, des théories, des traits typiques de Staline. (...) Les communistes opposés à Staline

quelle situation se trouve la Russie en 1918 ? A partir de 1917, les révolutions de février et d'octobre (coup d'Etat des bolcheviks dirigés par Lénine) font sombrer la Russie dans la guerre civile entre les « blancs » (anciens partisans du Tsar, mencheviks ou socialistes modérés, alliés britanniques et français) et les « rouges » (communistes dont l'Armée Rouge commandée par Trotski). En 1921, les « rouges » l'emportent et consolident leur « dictature du prolétariat ». Texte 1 page 46 : -Lénine,

réformistes et des révolutionnaires. En Allemagne, au sein du SPD, les révolutionnaires sont majoritaires et les réformistes minoritaires. En Russie, on distingue les révolutionnaires majoritaires (les "bolcheviks") et les réformistes minoritaires (les "mencheviks"). En France, la SFIO est constitué de révolutionnaires et de réformistes jusqu'en 1920. Une scission va alors s'opérer entre les révolutionnaires qui vont constituer la SFIC (communistes) et les réformistes qui vont garder le nom de SFIO (socialistes)

parti réformiste, qui veut des réformes sociales. La Russie : anarchisme important. Marxisme introduit dans les années 1880 par Plekhanov, création d’un Parti Ouvrier Social Démocrate Russe (POSDR en 1898) très vite 2 tendances s’affirment : les Mencheviks (minoritaires) : ils respectent Marx à la lettre, alors que la Russie commence à peine à s’industrialiser -> doivent attendre que la bourgeoisie soit au pouvoir et que la Russie ait attend le stade capitaliste, et pour accélérer cet avènement les