Mendicité Des Enfants

plus difficiles tout autour des quatre années de cette étude universitaire ainsi qu’aux travaux de recherches ce qui nous permet de réaliser ce mémoire. Un grand merci également à ma famille spécialement à ma femme Ghislaine Paul Britus à mes enfants : Garlène , Christina Odette , Gabius Samuel , Gardie Nahomie , Kerby Deduquelson Britus qui ont bien compris la portée de cette démarche et qui ont consenti de grands sacrifices pour faire de nous aujourd’hui un licencié en droit , pétri et rompus

Varville. Depuis ce temps-là, il mendiait en se traînant le long des chemins, à travers les cours des fermes, balancé sur ses béquilles qui lui avaient fait remonter les épaules à la hauteur des oreilles. Sa tête semblait enfoncée entre deux montagnes. Enfant trouvé dans un fossé par le curé des Billettes, la veille du jour des Morts, et baptisé pour cette raison, Nicolas Toussaint, élevé par charité, demeuré étranger à toute instruction, estropié après avoir bu quelques verres d'eau-de-vie offerts par

épinglé une croix de guerre et chapeau melon) dont le chariot qui lui sert de jambes roule sur un journal dont le titre est « Juden Raus ! » (Juif dehors). Il exhibe ses blessures comme preuve de sa bravoure au combat. L’autre est réduit à la mendicité. Ses vêtements sont élimés. Ses membres inférieurs et son bras gauche ne sont faits que de bois. On voit une main gantée déposer un timbre-poste dans sa main artificielle. Autour d’eux, l’agitation de la ville est pressante. Nul ne fait attention

à parler de sexualité et aux jeunes de poser des questions qu’ils ne peuvent poser chez eux (tabous familial, poids de la religion, etc.). Beaucoup de jeunes filles s’inquiètent de savoir si elles sont toujours vierges, si elles peuvent avoir des enfants (la pilule étant considérée comme rendant stérile), les garçons s’ils sont normaux. La visite est aussi l’occasion de déceler des traces de mutilations sexuelles ou d’anomalie. . Il porte un terrible secret : il souffre de peyronie, suite à une circoncision

possède des traits fins déjà un peu tirés par la rudesse de la vie mais sa peau est laiteuse et ses lèvres sont d'un joli rose pâle. La description physique de Gervaise est celle d'une femme-enfant. En effet, Zola la qualifie d'une « douceur enfantine » et lui attribue des « mains potelées » comme celles d'un enfant. Cependant, Gervaise est boiteuse de naissance ce qui lui vaut le surnom de « la Banban » par sa belle sœur. Elle a un caractère doux et a très bon cœur. Elle désire toujours aider ceux qui

dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au maire de Verrières, Monsieur de Rênal, comme précepteur de ses enfants, puis le fait entrer au séminaire. Ce sont là les débuts de Julien dans le monde de la bourgeoisie provinciale. Malgré sa timidité naturelle, il parvient peu à peu à séduire Mme de Rênal, jeune femme assez belle, mais également d'une naïve timidité

trois textes de types différents et un document iconographique, puis de confronter le matériau ainsi recueilli afin de le classer logiquement en vue d’une structure de synthèse. Thème : dans le cadre du thème « Les droits de l’enfant », Enfants abandonnés et enfants exploités dans la société française d’autrefois. Rappel : barème sur 60, note finale ramenée à 20. 1. Analyse des documents et extraction des idées à conserver (32 points) 1.1. Présentez le document 1 en quelques lignes. Dans cette première

derrière elle sa vie à Plassans, a suivi à Paris son amant Auguste Lantier, ouvrier chapelier dont elle a deux fils, Claude et Etienne. Lantier est paresseux et infidèle. Celui-ci quitte Gervaise pour Adèle, la laissant seule avec ses deux enfants, elle se retrouve dans une situation très précaire. Elle trouve alors un emploi de blanchisseuse qui lui permet de sortir de sa misère. Le jour où Lantier a abandonné Gervaise, cette dernière s'est battue au lavoir avec Virginie, la sœur d'Adèle,

familles, aux clans, aux voisins, de s’occuper des malades, des personnes âgées ou inaptes au travail. Les solitaires, ceux dont la famille fait défaut, et qui ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, trouvent faute de mieux une sorte d’issue dans la mendicité. Au début du Moyen-Age : les infirmes physiques ou mentaux pouvaient vivre au voisinage des rois et des princes. La société leur reconnaissait alors une fonction de dérision et eux seuls, en raison de leur difformité se trouvaient autorisés à

Résumé Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel