Mer de nuages

l'on regarde bien le tableau , on peut voir qu'il est divisé en trois parties horizontales : La première partie qui est la partie plus haute , semble la partie la plus réelle du tableau. On peut voir le ciel bleu avec quelques nuages. On remarque aussi une plage avec la mer et quelques vagues et au fond a droite , une falaise et des rochers. Au centre on peut observer une statue représentant sûrement un dieu tahitien, autour des femmes effectuent un rituel. Dans la deuxième parties les éléments

que l'art a le droit et le devoir de représenter la réalité sous tous ses aspects. Victor Hugo définie ainsi un nouveau genre théâtral, le drame romantique. Le romantisme entraîne aussi un élargissement des sources d'inspirations : -La nature (Mer, montagne, immensité...). -Les pays orientaux et méditerranéen, le Nouveau Monde. -Le Moyen-âge, jusqu'ici complètement oublié. -Le « moi », le lyrisme  est la source d'inspiration du romantique. Le romantisme est un mouvement très critiqué à

souvenir (brumE), répandue dans les villages éloignés (perduS). C'est un moment rare de beauté et de calme; l'allitération que l'on retrouve dans cette deuxième strophe (décline la lune lasse vers son lit de mer étalE) souligne davantage ce moment où la lune, fatiguée, va se perdre dans la mer, où les bruits, heureux (éclats de rirE) s'assourdissent (s'assoupissent - tout se préparc à dormiR), où les conteurs, si infatigables d'habitude, se laissent gagner par le sommeil (dodelinent de la tête - comparaison

derniers jours, les gens n’étaient plus les mêmes (p.63).En plus, la destruction est marqué par les changes de nature et temps : « cela ne servait à rien de regarder en arrière, tout cela avait cessé d’exister» (p.93). « Aujourd’hui, c’étaient les mêmes nuages, et pourtant ils avaient quelque chose de menaçant » (94) Si le premier voyage avance à l’inconnu en recherche de la survie, ce nouveau chemin on peut le comprendre comme la recherche de la liberté et des origines, une tentative pour récupérer l’idylle

LES ALOUETTES L’azur est scintillant De grands nuages blancs Qui vont, viennent et passent, Comme des balles dans l’espace, Le tablier mouvant des blés Projette Jusque au ciel les alouettes. Elles fusent et jaillissent si haut Vers la lumière et ses joyaux Que leur élan s’y noie Et qu’elles volent sans qu’on les voie. Mais les nuages blancs et lents Qui, tout là-haut, font route, Écoutent Leur chant Et leurs cris et leurs trilles

vers l'Afrique lointaine où nous allions. Le commandant, qui fumait un cigare au milieu de nous, reprit soudain la conversation du dîner. - Oui, j'ai eu peur ce jour-là. Mon navire est resté six heures avec ce rocher dans le ventre, battu par la mer. Heureusement que nous avons été recueillis, vers le soir, par un charbonnier anglais qui nous aperçut. Alors un grand homme à figure brûlée, à l'aspect grave, un de ces hommes qu'on sent avoir traversé de longs pays inconnus, au milieu de dangers

j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu d'acier de sang Et celui qui te serrait dans ses bras Amoureusement Est-il mort disparu ou bien encore vivant

d’appropriation. Dans Burlesque, c’est la puissance d’une main tenant une bille entre le pouce et l’index qui s’impose face à une femme qui s’efface, manquant d’assurance. La main du Tournant se fond dans le paysage. Une route escarpée de bord de mer donne une impression de fuite. La main, d’homme ou de femme semble s’agripper fermement au rocher comme pour échapper à cette fuite inéluctable. Enfin, dans la Peur l’ombre d’une main au même proportion que le corps étendu d’une femme apparaît comme

A Belle-Isle ... le terrain devint plus sec, les herbes moins hautes, et la mer tout à coup se présenta devant nous, resserrée dans une anse étroite, et bientôt sa grève faite de débris de madrépores et de coquilles se mit à crier sous nos pas. Nous nous laissâmes tomber par terre et nous nous endormîmes, épuisés de fatigue. Une heure après, réveillés par le froid, nous nous remîmes en marche, sûrs cette fois de ne pas nous perdre ; nous étions sur la côte qui regarde la France, et nous avions

que 2 ans, sa mère est morte. Ils étaient partis tout les 2 pour un séjour au bord de la méditerranée, Laurent ne pouvant se libérer pour les vacances. Tout les jours, pascal restait seul sur la plage avec ses copains et sa mère partait bronzer en mer sur un pédalo mais un jour, son pédalo revint vide et on ne retrouva jamais son corps.  Il fallut longtemps à Laurent pour surmonter cette épreuve mais grâce à cela, lui et son fils sont maintenant très proche, ils décident de tout ensemble, d'ailleurs