Merrill Lynch

par ailleurs une participation de 51% dans le capital de Mauritel, l’opérateur historique mauritanien, par le biais d’une holding dans laquelle il est associé à des partenaires mauritaniens. Intermédiaires financiers introducteurs BNP Paribas Merrill Lynch International Attijari Finances Contacts Maroc Telecom Badr Benyoussef Ali Jouahri +212 (0)37 71 50 99 +212 (0)37 71 90 12 relations.investisseurs@iam.ma Brunswick Agnès Catineau Jérôme Biscay +33 1 53 96 83 83 +33 1 53 96 83 83 Pour plus

financier mondial relie les grandes places boursières et New York est la prin- cipale étape sur l’anneau qu’elles constituent. • La métropole concentre également les sièges sociaux de firmes américaines parmi les plus puissantes (American Express, Merrill Lynch, AIG, CBS, NBC, NY Times, Time Warner, Pfizer, Colgate-Palmolive) les plus grandes agences de communication (WPP group etc.). 22 sièges des 500 premières firmes mondiales sont implantés à New York, (moins que Tokyo ou Paris, mais 3 fois plus que

expanding demand for luxury goods in emerging markets will offset losses if the U.S. and Europe fall into a prolonged recession. Profitability: "Only energy beats the luxury industry in profitability." So Merrill Lynch in 2007. "In 2007, according to an estimate made by Merrill Lynch, the net margin on the turnover of the principal high scale brands was of 18.8%, the absolute highest, except for energy which was actually about ten points higher. Luxury is ahead of cars, food, durable goods and

milliard d’euros, soit 80,5 euros par titre contre un cours moyen de 119 euros en 2010 – les analystes de Bank of America-Merrill Lynch estiment que le coût de la participation s’est fait sur la base d’un multiple de résultat de 18,8, contre un multiple moyen historique de 27,3 et un P/E 2011 de 41,2. Etudiant l’évolution des volumes et du cours de Bourse, Bank of America-Merrill Lynch estime, tout comme Exane BNP Paribas, que la position de LVMH a été probablement constituée entre 2006 et 2009, bien

pour les produits structurés adossés à ces crédits subprime, et dont une bonne partie s’est avérée détenue dans les portefeuilles des banques, d’investissement. C’est ce qui explique la faillite de Lehman Brothers ou Bear Stearns, le rachat de Merrill Lynch par Bank of America et les difficultés encore vécues par d’autres institutions financières. La détérioration de la situation sur les marchés financiers internationaux, la propagation de cette crise au système bancaire européen et la persistance

l’Etat Unis, jusqu'à la zone Euro, l’Asie et les Amérique Latin. Les grandes banques d’affaires américaines et européennes ont enregistré d’importante dépréciation d’actif, et par conséquence de nombre des banques ont annoncé la faillite comme Merrill Lynch, Lehman Brothers, le Fortis, la coopération d’assurance américaine AIG… et une longe liste des banques. Maintenance on va considérer les conséquences très graves de cette crise financière. La première conséquence de cette crise financière

les banques à prendre des mesures d'urgence. Pour bénéficier du soutien de la FED, plusieurs grandes banques d'investissement américaines se transforment en banque de dépôts. D'autres se font racheter afin de sauver leur activité : Bear Stearns, Merrill Lynch, Washington Mutual et Wachovia. Ces banques d'affaires étaient en première ligne dans la fabrication des CDS [8]et des CDO, dont elles ont gardé une grande partie dans leurs comptes, toutes n'ayant pas eu comme Goldman Sachs, l'astuce de s'en

place que la Bank of America. Le groupe des perdants est bien sur plus important et impressionnant parmi les plus gros : l’américain Citigroup, l’ancien géant financier mondial passant de 187 milliards d’euros en 2007 à 40 milliards en 2009. Merrill Lynch également a été racheté par la Bank of America, dans un contexte plutôt, qui n’a pas plus au Président des Etats Unis Barack Obama. Mais ce classement des banques peut être renversé à tout moment, car ils doivent encore réapprovisionner leurs

account for more than 90% of its $14.3 billion in consumer sales. Despite the number of headline brands, there is very little cannibalization — a feat that L'Oreal pulls off because of its extraordinary commitment to positioning and marketing. Merrill Lynch analyst Sandhya Raju estimates that L'Oreal spends about 30% of its sales revenues on advertising and promotion, against an average 25% spent by its principal competitors. Take L'Oreal's move into China, where the cosmetics market grew 14% in 2002

eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928, date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une recommandation de vente, le moment est opportun pour se libérer de ses crédits ». Ce ne sont en effet plus les dividendes