Merteuil Sympathie

Fayette, La Princesse de Clèves, le portrait de Melle de Chartres « Il parut alors une beauté à la cour… son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes. » 2. Laclos, Les liaisons dangereuses, l’autoportrait de la marquise de Merteuil « Entrée dans le monde… il me restait bien encore quelques observations à faire » (lettre LXXXI) 3. Zola, Le ventre de Paris, le portrait de Lisa Macquart, la charcutière « La belle Lisa resta debout … dans l'aquarium de l'étalage, continuellement

 Les Liaisons Dangereuses Pierre Choderlos de Laclos Lettre 4 Le Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil à Paris. Vos ordres sont charmants ; votre façon de les donner est plus aimable encore ; vous feriez chérir le despotisme. Ce n’est pas la première fois, comme vous savez, que je regrette de ne plus être votre esclave ; & tout monstre que vous dites que je suis, je ne me rappelle jamais sans plaisir le temps où vous m’honoriez de noms plus doux. Souvent même je désire de les

morale il est tout a fait d't'stable'; il se sert des femmes et de ses amis'; il fait preuve d'arrivisme Bel amis est l'arch'type de l'arriviste'; => liaison adultere avec la m're et 'pouse sa fille. + Laclos Les liaisons dangereuses marquise de Merteuil': elle n'a aucun principe morale et consid're l'amour comme un jeux. + le vicomte de Valmont; ils s'associent pour imaginer les pires strat'gies se personnage manipule son entourage et tire les ficelles pour arriver a ses fins'; elle d'truit tout

narre le duel pervers et libertin de deux membres de la noblesse française du siècle des Lumières, est considérée comme un chef-d’œuvre de la littérature française. resumé bref : Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue. La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, qui furent amants par le passé, se jouent de la société pudibonde et privilégiée dans laquelle ils vivent. Se livrant à la débauche, ils ne cessent, tout au long du livre, de se narrer leurs exploits au travers des lettres

séquence : 2 heures. Axe d’étude : du roman au film par les mots Fiche d’identité du film Choderlos de Laclos, Les Liaisons Dangereuses, 1782 Réalisateur : Stephen Frears, Dangerous Liaisons 1988 / Version française 1992 Interprètes : Glenn Close (Merteuil) John Malkovitch (Valmont) Michelle Pfeiffer (Tourvel) Uma Thurman (Cécile de Volanges) Scénario : Christopher Hampton Voir la fiche du film sur la base IMDB (en anglais) Introduction La littérature et le cinéma sont deux arts n’utilisant pas

personnages, cinq femmes écrivent – La marquise de Merteuil, Cécile de Volange, Mme de Volanges, Mme de Tourvel et Mme de Rosemonde – pour deux hommes – Danceny et Valmont. De plus, il est évident que le personnage clé du roman qui pourrait nous faire penser que ce roman est féministe est celui de la Marquise de Merteuil. En effet, dans la lettre 81, qui est une lettre clé du roman puisque centrale, longue et nous apportant beaucoup d’information, Merteuil se dit solidaire des autres femmes, « née pour

LIAISONS DANGEREUSES, LACLOS Introduction Laclos écrit Les Liaisons Dangereuses en 1782. Dans ce roman épistolaire, genre très prisé à l’époque, il met en scène des personnages qui se scindent en deux clans : les libertins manipulateurs (Valmont et Merteuil) face aux vertueux (Volanges, Rosemonde, Tourvel). La vertu, sous la plume de Laclos, semble n'être exigée que des jeunes femmes. D’autre part, cette vertu peut prendre dans les LDD un visage plutôt ridicule, inhumain, froid et peu épanouissant

se rendre compte du danger qu’elle encourt : « Oui, Monsieur, je vous ai écrit. »[6] A la tendre ingénuité de Mme de Tourvel s’opposent les froides manipulations du vicomte, qui dès le début confie ses diaboliques machinations à la marquise de Merteuil : (…( je vais vous confier le plus grand projet que j’aie jamais formé (…( Vous connaissez la Présidente de Tourvel, sa dévotion, son amour conjugal, ses principes austères. Voilà ce que j’attaque ; voilà l’ennemi digne de moi ; voilà le but où

cercle d'aristocrates aux moeurs dévoyées, qui se plaisent à corrompre celles d'âmes plus honnêtes. En en faisant l'objet d'un pari, la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont se posent en rivaux, et ce qui n'était qu'un jeu, deviendra un enjeu, un combat pour la supériorité avant de s'achever en guerre ouverte. Dans la lettre LXXXI, de la Merteuil à Valmont, nous nous situons au coeur de l'oeuvre, au moment où le pari devient lutte. La marquise affirme d'emblée sa supériorité sur le vicomte

passé de séducteur hors pair. Il s'affirme en tant que libertin, il tient à sa liberté et méprise le monde en général. Son talent d'écriture se manifeste par un cynisme qui fait écho à celui de la Marquise de Merteuil, sa grande complice. Le Vicomte n'accepte les défis de la marquise de Merteuil, que pour afficher une nouvelle tête à son tableau de chasse. Mais vont naître dans son coeur des sentiments qui lui coûteront la vie. Cet être en effet, serpent devant l'éternel, n'aspirera alors qu'à aimer