Merveille De La Guerre Apollinaire

2010-2011 Sommaire : Introduction … page 2 I. Le mouvement surréaliste    … page 3 1. Le reflet d’une poésie surréaliste … page 3 2. Où se cache une réalité … page II. Le surréalisme et la guerre …page 1. Dans la littérature … page 2. Dans la peinture … page Conclusion … page Lexique … page Annexe … page Introduction : Selon la définition donnée en 1924 par André Breton[1]

ancienne forme poétique, Aragon voulait ressusciter des traditions littéraires qui avaient existé du temps des personnages dont parle la « Plainte ». Ainsi, dès les premiers vers, Aragon nous ramène à l’époque où vivait Louise Labé. Les années de guerre qui constituèrent presque tout le règne de François ler sont évoquées avec leurs victoires et leurs défaites, leurs rêves et leurs trahisons. « L’amour survit aux revers de nos armes », et « Les diamants naissent au fond des larmes » puisque « Jeunesse

Byron se montre souvent ironique et même caustique dans ses œuvres. Il combine donc l’esprit idéaliste et le sens critique. Admiré pour son œuvre, Byron devient un mythe au moment de sa mort. Ayant décidé de rejoindre les Grecs pour les aider dans la guerre qui les oppose aux Turcs, il meurt à Missolonghi en 1824, à l’âge de 36 ans. Aussitôt la nouvelle se répand comme une traînée de poudre dans toute l’Europe. La jeunesse romantique française porte le deuil de ce poète. Les plus grands poètes lui rendront

(447432 av J-C) se passionne pour la sculpture et les arts dès son plus jeune âge. Sa première grande construction est la statue colossale d’Athéna destinée à décorer l’Acropole. Il réalisera par la suite, la statue de Zeus à Olympie, l’une des sept merveilles du monde, avant d’être choisi par Périclès (Voir Annexes) pour décorer l’intérieur du Parthénon à l’aide de magnifiques statues, mais aussi pour mettre en valeur la façade avant. Celle–ci semble contenir plusieurs fois le nombre d’or. En effet,

est parfois surprenant de voir…modèle exemplaire. ». 7 - E. de ROUX, « La passion des Français pour leur mémoire individuelle et collective », Le Monde 17660, 6 novembre 2001. A. BOURGON, « L’évolution des lieux de mémoire de la seconde Guerre mondiale en France », Les Chemins de la Mémoire 189, 2008. P. GARCIA, « Les politiques de la mémoire : exercices de mémoire ? Les pratiques commémoratives dans la France contemporaine. », Les Cahiers français, 303, 2001. P. NORA, « Les lieux de mémoire

l’inspiration poétique » : – Boileau : « Art poétique », p. 195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire : « Poèmes à Lou », p. 220 ; – Aragon : « Cantique à Elsa », p. 247 ; – Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence construite autour d’un recueil et d’une forme ou d’un registre Dans ce cas, il peut paraître

 je leur  dis:  vous n'avez pas les mêmes  raisons  évidentes de vous  engager. Pour nous, résister, c'était ne pas accepter l'occupation allemande, la défaite.  C'était relativement simple. Simple comme ce qui a suivi, la décolonisation. Puis la  guerre d'Algérie. Il fallait que l'Algérie devienne indépendante, c'était évident. Quant  à Staline, nous avons tous applaudi à la victoire de l'Armée rouge contre les nazis, en  1943. Mais déjà lorsque nous avions eu connaissance des grands procès staliniens de 

le mythe est en réadaptation. On peut citer Éric-Emmanuel Schmitt qui a remis Don Juan en scène ces dernières années. La liste est longue, mais on peut retenir quelques noms de personnes qui ont travaillé ce personnage : Lord Byron, Corneille, Apollinaire, Edmond Rostand, Baudelaire, Montherlant, Handke… Molière cependant reprend quelques invariants que l’on retrouve chez tous ces artistes ( et c’est pour cela que l’on parle du mythe de Don Juan) : un homme de la classe dominante, qui séduit une

Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. A mes yeux cette période est l'âge d'or de la poésie, elle a vécu ses plus grands moments de gloire. Pour conclure mon tracé historique je suis presque remonté jusqu'à nos jours avec Guillaume Apollinaire ou encore Liberté de Paul Eluard . Pour donner une dimension personnelle à mon anthologie j'y ai introduit quelques poèmes qui ont marqué mon curriculum scolaire. « Souvenirs... Souvenirs... » Bibliographie : L'ensemble

applicables"23 Il mettra en avant aussi les intérêts scientifiques et militaires de cette tour : « Non seulement la tour promet d’intéressantes observations pour l’astronomie, la météorologie et la physique, non seulement elle permettra en temps de guerre de tenir Paris »24 . D'autres phrases critiquant la tour resteront célèbres. -Maupassant qui, du haut de la Tour Eiffel, s’exclame : « la tour eiffel ? C'est le seul endroit où je ne la vois pas » - « ce lampadaire véritablement tragique »