Mescaline

240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 Lobéline (DCI) et ses sels Acide barbiturique, ses dérivés et leurs sels Mercure et ses composés, sauf exceptions reprises dans l’annexe V 3,4,5-Triméthoxyphénéthylamine (mescaline) et ses sels Polyacétaldéhyde (métaldéhyde) (Méthoxy-2 allyl-4 phénoxy)-2N,N diéthyl acétamide et ses sels Coumétarol (DCI) Dextrométhorphane (DCI) et ses sels Méthylamino-2 heptane et ses sels Isométheptène (DCI) et ses sels Mécamylamine (DCI) Guaïfénésine

fait rêver. Je ne puis vivre et revivre l'acte du premier. Mais la page du poète est à moi si seulement j'aime la rêverie. Le philosophe raisonnable excuserait nos images si elles pouvaient être données comme l'effet de quelque drogue, de quelque mescaline. Elles auraient alors pour lui une réalité physiologique. Le philosophe s'en servirait pour élucider ses problèmes de l'union de l'âme et du corps. Quant à nous, nous prenons les documents littéraires comme des réalités de l'imagination, comme les

seulement dans les plans les plus bas, les plus dégradants de l'astral. Il existe différentes drogues utilisées maintenant par la profession médicale, principalement dans les hôpitaux pour les gens mentalement malades, qui ont un effet similaire. La mescaline, par exemple, peut tellement altérer les vibrations d'une personne, que cette dernière est littéralement éjectée du corps physique et catapultée dans le monde astral. Ici encore, ce n'est pas une méthode à être recommandée. Les drogues et autres

b c d 219 Lobéline (DCI) et ses sels 90-69-7 202-012-3 220 Acide barbiturique, ses dérivés et leurs sels 221 Mercure et ses composés, sauf exceptions reprises dans l’annexe V 7439-97-6 231-106-7 222 3,4,5-Triméthoxyphénéthylamine (mescaline) et ses sels 54-04-6 200-190-7 223 Polyacétaldéhyde (métaldéhyde) 9002-91-9 224 (Méthoxy-2 allyl-4 phénoxy)-2N,N diéthyl acétamide et ses sels 305-13-5 225 Coumétarol (DCI) 4366-18-1 224-455-1 226 Dextrométhorphane (DCI) et ses sels

dit Jeu second – n. n.] favorable à la création – un état peut-être proche des « limbes »» 1109 . Il anticipe, en quelque sorte, le « dérèglement contrôlé de tous les sens » de Rimbaud ou les expériences poétiques (et graphiques) de Michaux sur la mescaline ! Notons, au passage, que la monographie que représentent Les Paradis artificiels 1110 ne manque point de termes d’essence religieuse 1111 : l’auteur « préfère considérer cette condition anormale de l’esprit comme une véritable grâce » ou « comme

d'importance mondiale, l'Opus Dei comptait quelques brebis galeuses qui jetaient le discrédit sur toute la communauté. Deux mois plus tôt, le groupe Opus Dei d'une université du Midwest américain avait été accusé d'avoir drogué ses nouvelles recrues à la mescaline, afin de provoquer chez eux un état d'euphorie que les jeunes néophytes devaient interpréter comme une expérience mystique. Un étudiant d'une autre université avait failli mourir d'une septicémie après un usage abusif de son cilice barbelé. Plus

l'environnement. Synesthésies : résonance dans un autre registre sensoriel à partir d'une perception donnée (par exemple entendre un son à partir d'une perception visuelle : audition colorée). S'observe au cours de l'expérience psychédélique (après prise de Mescaline ou Psilocybine), et dans la période hypnagogique, c'est-à-dire concernant la phase initiale du sommeil ou endormissement. Chapitre 2. Les hallucinations psychosensorielles L'hallucination a été définie comme perception sans objet (Esquirol, 1817)

ont eu dans son adhésion quelques âmes mal orientées qui ont moulé une ombre au-dessus du groupe entier. Il y a deux mois, un groupe de Dei d'opus à une université du milieu du middle-ouest avait été attrapé dopant de nouvelles recrues avec le mescaline dans un effort d'induire un déclarer euphorique que les débutants percevraient comme expérience religieuse. Un autre étudiant d'université avait utilisé sa ceinture barbelée de cilice plus souvent que les deux heures par jour recommandées et s'était

la moelle épinière89 ou encore par une commotion. Dans cette catégorie de synesthésies non idiopathiques, Cytowic (1995) ajoute certains cas dits de « pseudosynesthésie », qui incluent entre autres la consommation de drogues : le haschisch et la mescaline peuvent produire des sensations « reliées » : les plus fréquentes sont des liaisons visuo-auditives90. L’auteur présente ses travaux et ses théories sur http://cytowic.net/ 27 à 31 % des neurones dans la partie ventrale du cortex prémoteur sont