Mesure Et Gestion Du Risque De Crédit Dans Les Institutions Financières

3 I- LES DIFFERENTS RISQUES LIES AU FINANCEMENT EXTERIEUR : CAS DE CREDIT DOCUMENTAIRE 4 A-LES TYPES DE RISQUE QUE L’ON PEUT RENCONTRER SONT : 4 B-LES RISQUES COMMERCIAUX LIES AU CREDIT DOCUMENTAIRE : 4 II- GESTION DU RISQUE DU CREDIT DOCUMENTAIRE 6 A-IDENTIFICATION DES DETERMINANTS DU RISQUE DU NON PAIEMENT DANS UN CONTRAT DU CREDIT DOCUMENTAIRE : 6 B-EVALUATION DU RISQUE DE NON PAIEMENT DANS UN CONTRAT DU CREDIT DOCUMENTAIRE : 7 C- COMMENT SE PREMUNIR CONTRE LE RISQUE DE NON PAIEMENT ? 10

Définition du risque de crédit : Le risque de crédit est le risque que l’emprunteur ne rembourse pas sa dette à l’échéance fixée. Exemples: Un client utilise son compte courant pour effectuer des paiements: si la banque autorise le client à rendre son compte débiteur, il y a risque de crédit. La banque négocie une vente à terme d’EURO contre Dollar avec une autre banque. A la date de valeur, la banque émet son paiement EURO en direction de sa contrepartie. Elle s’expose au risque que la contrepartie

MEMOIRE DE MASTER2 Pour l’obtention du Diplôme de Master 2 Professionnel Option : INGEGNEURIE FINANCIERE Thème : Difficultés d’accès des P.M.I/P.M.E Sénégalaises aux financements à court terme Présenté par : Professeur de Diagnostic financier : Aude Berenice Poaty

bancaire dans l’intermédiation financière A. Intermédiation financière : cas général B. La singularité bancaire : l’opération monétaire 1. La séquence néoclassique : la « duplication monétaire » • Des ressources vers les emplois (passif vers actif) • Le multiplicateur de crédit • Les limites de la création monétaire        2. La séquence keynésienne : la « création » monétaire • Le diviseur de crédit III. Des acteurs primordiaux

la définition des produits et à l’explication des différents risques et on terminera avec des éclaircissements sur la loi des banques participatives. Si la finance dite « conventionnelle » se propose de mettre en relation les agents économiques dégageant une capacité de financement et ceux qui, à l'inverse, présentent un besoin de financement dans l'optique d'une allocation efficiente des ressources financières ; la finance islamique, quant à elle, admet une définition

face à l’énorme difficulté en particulier pour l’obtention de crédit. Dans le souci de maintenir et de promouvoir le développement des PME au Sénégal avaient mis en place un réseau de banques chargé de répondre aux besoins des PME. Il s’agit de la SOFISEDIT(société financière sénégalaise pour de le développement de l’industrie et du tourisme), la SONAGA (société nationale d’assurance et de garantie) et la CNCAS (caisse national de crédit agricole du Sénégal).Face à quasi absence de financement de la

développer au fur et à mesure, donc avant de répondre à la question principale de l’émergence et le transfert des risques dans les systèmes financiers contemporains, il faut tout d’abord savoir et avoir une idée générale sur ce qu’un système financier, donc : Qu’est-ce qu’un système financier ? Quelles sont ses fonctions et ses caractéristiques principales ? Comment naissent les risques ? Quel est leur impact sur le système financier ? Et comment gérer ces risques pour pouvoir réguler le

La Gestion Actif- Passif : ALM ISCAE 2011-2012 Elaboré par : ANTAR Wassim GHANMI Anis ABDELGHANI Nabil La Gestion Actif- Passif : ALM ISCAE 2011-2012 PLAN Introduction Chapitre 1 : La gestion des risques Section 1 : Historiques de la gestion des risques Section 2 : Les principaux risques bancaires Chapitre 2 : la gestion des risques de taux et de liquidité en ALM Section 1 : Facteurs de risque de taux et de liquidité Section 2 : Les indicateurs de gestion Section 3 : Théorie des

l’indépendance, l’Etat créa les principales institutions financières marocaines ou les transforma en vue de promouvoir le développement économique du pays. Il favorisa la concentration des banques ramenées à 26 établissements en 1961 tout en encourageant l’extension des réseaux et la bancarisation. Le décret Royal portant loi bancaire du 21 avril de 1967 introduisit de manière plus concrète la volonté de l’Etat d’assurer le contrôle de la distribution du crédit et d’orienter l’économie conformément

le ratio Bâle II ou Mc Donough. Le premier cherche à calculer un minimum de fonds propres en fonction des risques encourus par la banque, le deuxième vise le renforcement du processus de la supervision prudentielle et le troisième concerne l’amélioration de la discipline du marché. Ce ratio cherche à réaliser une certaine justice en matière d’octroi de crédit. Le procédé d’évaluation des risque implique une pondération faible pour les entreprises les moins risquées et donc les bien notées. Nous avons