Métro de Chicago

 Jusqu’à la fin des années 1980, New  York en est le centre incontesté.   Le  mouvement  très  en  vogue  des  graffiteurs  fournit  les  contenus  visuels.  De  jeunes  artistes  renégats  bravent  les  barbelés  électrifiés  et  les  gardes  armés  du  métro  new‐yorkais  pour  y  peindre  à  la  bombe  leurs  hiéroglyphes  aux  couleurs  éclatantes.  Chaque  fois  qu’une  rame  s’arrête dans une station, le hip‐hop s’impose aux gens comme il faut, à la manière d’un geste  obscène.     A l’époque, l’a

derrière Londres, qu’elle supplante après la guerre ; Chicago, bourgade de 4000 âmes en 1836, en compte près de 2 millions en 1900. Le plan en damier et les gratte-ciel caractérisent les villes du Nouveau Monde. Deux traits singularisent l’urbanisation à partir de 1880. Elle bénéficie aux grandes cités de plus de 100 000 habitants - en Europe, leur nombre passe de 42 en 1850 à 135 en 1900. Elle donne naissance aux banlieues : le tramway, le métro, l’automobile aux États-Unis créent les « 3 villes

polycopié) : - Soit par les espaces (table ronde qui rapproche). - Soit les lieux sociopètes, c'est-à-dire des lieux agréables où la communication a sa place. - Soit les lieux sociofuges, ici pas de place pour la communication (Ex : métro). LA PERCEPTION • Les lignes de force : Les yeux balayent l’image et s’arrêtent un peu plus longtemps sur certains points. Ce sont les points forts ou dits points riches. Le rectangle au centre est le centre homothétique. [pic] Points

I] L’école de Chicago, creuset de la sociologie de la déviance La première école de Chicago, 1918 – 1940, désigne un groupe de chercheurs appartenant à l’université de Chicago. Ce groupe a été le phare de la sociologie américaine. Burgess et Park sont les principaux sociologues de cette école. Aux Etats-Unis, on privilégie les méthodes empiriques car les sociologues sont moins attachés à la science que les européens. Le terrain de recherche privilégié est l’immigration. Chicago est l’idéal type

fournissant d’autres pistes. L’idée générale est de repartir de l’impression que les élèves ont pu avoir, d’interroger leur vision du film. Un atelier pédagogique en fin de dossier vient ponctuer ce parcours. G. Bourduge/G. Jouineau / United Artists. Chicago, 1929. Joe et Jerry, musiciens de jazz, sont témoins par hasard du « massacre de la Saint-Valentin » perpétré par Spats Colombo. Seul moyen d’échapper au gangster : se faire embaucher pour une tournée en Floride dans un orchestre féminin. Travestis

376-385. Esterle-Hedibel M., 2003, Éduquer ou exclure ? Un collège pas si unique que ça, Après-demain, n°450-451, p. 14-19. Farrington D., 1986, Age and crime, in Tonry M., Morris N., eds., Crime and Justice. An Annual Review of Research, Chicago, University of Chicago Press, vol. 7, p. 189-250. Faugeron C., Kokoreff M., dir., 2002, Société avec drogues. Enjeux et limites, Toulouse, Érès. Gavray C., 1997, Trajectoire déviante à la lisière entre adolescence et âge adulte, Déviance et société, 3, p.

Charles Lang Direction artistique : Ted Haworth Montage : Arthur P. Schmidt Une production The Mirisch Corporation pour United Artists Etats-Unis - 121 mn 1959 Témoins inopinés d’un règlement de comptes perpétré par la Mafia, deux musiciens de Chicago, Joe et Jerry, se voient contraints d’intégrer un groupe de jazz féminin sous les traits de Joséphine et Daphné. Leur couverture est parfaite jusqu’à ce que « Joséphine » tombe amoureuse d’une chanteuse, Sugar, qu’un ancien playboy s’éprenne de «

a dit plus tard le Chicago Daily Nouvelles. Dans les deux ans une seconde Hyatt House a ouvert à Burlingame, près de l'aéroport de San Francisco, puis une troisième près de l'aéroport de Seattle. I l devinrent la chaine ayant la plus grand croissance aux Etats Unis jusqu'an 1972. Une de ces grande particularités fut l'ouverture du premier hôtel procédant un atrium (voir annexe 1) ouvert en 1972. Son siège ( hyatt center voir annexe 2)est situé dans un gratte-ciel a Chicago qui fut achever en 2005

ville aménage ses rues pour la circulation automobile, se dote De grandes avenues sont ouvertes pour faciliter la circulation (Paris de Haussmann), les anciens remparts sont transformés en boulevards. La ville s’équipe de transports en commun: métro, tramway. Le développement des transports permet l'extension « tentaculaire » de l'espace urbain et de ses banlieues. d'équipements publics La ville se dote d’équipements nouveaux. Des bâtiments publics fonctionnels ou prestigieux sont construits:

 Jusqu’à la fin des années 1980, New  York en est le centre incontesté.   Le  mouvement  très  en  vogue  des  graffiteurs  fournit  les  contenus  visuels.  De  jeunes  artistes  renégats  bravent  les  barbelés  électrifiés  et  les  gardes  armés  du  métro  new‐yorkais  pour  y  peindre  à  la  bombe  leurs  hiéroglyphes  aux  couleurs  éclatantes.  Chaque  fois  qu’une  rame  s’arrête dans une station, le hip‐hop s’impose aux gens comme il faut, à la manière d’un geste  obscène.     A l’époque, l’a