Meursault En Prison

personnages par son importance , son parcours , afin que le narrateur (omniscient) fixe son attention sur lui seul. Le personnage romanesque a beaucoup changé au cours du temps . le héros de Stendhal (Julien sorel )est bien différent de celui de Camus ( Meursault) , par exemple .Le héros du roman obéit a la loi du changement. Il suit un itinéraire semé d’obstacles ou de conflits qui vont le modifier , voire le transformer. Le personnage du début n’est plus le même que celui de la fin. Depuis le XVIIe siècle

désir de vengeance "Belle occasion de lui rendre tous les mépris qu'elle a eus pour moi." Quant à Milady dans le texte deux l'auteur choisit de dévoiler son fort intèrieur , elle est tiraillée entre sa faiblesse et la volonté de sortir libre de la prison. Tout celà est accentué par la déshumanisation de celle-ci. On emploie le champs lexical de la tempête "gronde" "mugit" "vient se briser" "contre les rochers" "à la leur des éclairs" "orageuse" évoque sa rage. On la voit même comme une bête sauvage

dernier se nomme M. Meursault. On ne connaît pas son prénom. Le point de vue est interne. Le temps de base du récit : Les temps de base du récit sont l’imparfait et le passé composé : c’est-à-dire un système de temps du passé. Il y a également la présence du présent, pour les dialogues et certaines descriptions. Registre de langue : Il est courant/soutenu. Fréquence descriptions… : Dans ce livre, il y a beaucoup de descriptions (sur l’enterrement de sa mère, sur la prison, le jugement, les

laisse le droit de ne rapporter que l'essentiel. Au fil du roman, on va passer du journal au récit. Dans la première partie, la chronologie est assez précise, on va de jour en jour, ou éventuellement, de semaine en semaine. Épisode après épisode, Meursault raconte ce qu'il a fait, il n'a pas beaucoup de recul, on n'a pas d'allusions à l'avenir et peu de retours en arrière. On se situe peu de temps après ce qui s'est passé. Dans la deuxième partie, et même à partir du chapitre 6 de la première partie

le mouvement. Il s’est particulièrement intéressé au concept de l’absurde de l’existence après la seconde guerre mondiale. Notamment au travers du mythe de Sisyphe. Cette idée de l’absurde est aussi reprise dans l’étranger ou l’on suit la vie de Meursault, le meurtre qu’il commet, son procès et sa détention avant de se faire exécuter en Algérie où camus a d’ailleurs vécu. L’incipit A une attitude déconcertante 1) Une réaction étrange : question de la date de la mort, personnage décalé : garde

L’Étranger, Albert Camus (1942) Roman | ■ Un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir, se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé (ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas) Un dimanche, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage, et croisent un groupe d'Arabes

aussi bizarrement heureux d'être en prison comme nous le dit la fin de ce roman de la ligne 23 " Mais [...] les douceurs de la prison." Dans le texte de A.Dumas le désespoir s'installe des la première ligne avec "ses prières ferventes" et "son esprits devin sombre", "ce voile sombre" ligne 3, "une éternelle nuit" "Aucune distraction" ligne 9. Pour finir le roman de A.Camus le désespoir se présente sous forme d'une suppression son personnage Meursault arrivé en prison se voit retiré ses cigarettes et

employé de bureau nommé Meursault – le narrateur – raconte, sur un mode où prime la sensation, comment il apprend la mort de sa mère, l'enterre puis, le lendemain même, noue une relation amoureuse avec une jolie jeune femme, Marie Cardona. Meursault se lie ensuite avec son voisin de palier, Raymond Sintès, au point de prendre parti dans une vilaine affaire que ce dernier vient d'avoir avec des Arabes, parents de sa maîtresse mauresque. Invité à la plage par Raymond, Meursault est entraîné dans une

réflexion philosophique et politique. L’Étranger (1942), l’un de ses premiers ouvrages, se caractérise avant tout par un style extrêmement neutre — ce que l’on appelle une écriture «blanche» — et méthodiquement descriptif. Le héros et narrateur, Meursault, un employé de bureau, y semble «étranger» à lui-même; dépourvu de sentiments vis-à-vis des êtres et des situations, il agit comme de manière machinale. La lumière, le soleil, la chaleur semblent être la cause d’une soudaine précipitation des événements

développe ce thème dans l’Etranger, son premier roman et premier succès. Il y raconte la condamnation à mort d’un homme, Meursault, qui; sur une plage d’Alger, tue un Arabe; Or, plus que ce fait, c’est sur son apparente indifférence au monde que la justice le condamne. Camus alterne les style, tantôt froid et dépouillé, tantôt chaleureux et poétique. A la fin du roman, en prison, Meursault laisse éclater sa colère. Dans cette scène, l’écrivain montre que l’Homme ne saurait se contenter d’un monde absurde