Meursault Et La Justice

c’est-à-dire Meursault, un jeune employé qui vient de perdre sa mère et qui se trouve dans une relation avec une femme appelé Marie. Tout est construit autours de deux évènements absurdes liés entre eux. Le premier est un assassinat sans sens : au début de l’histoire, Meursault se trouve à la plage et tout à coup, sans raison apparente, il tue un homme de nationalité arabe qu’il ne connaissait pas personnellement. Cependant, dans la deuxième partie on voit le procès absurde fait à Meursault, dans lequel

peine de mort. De plus, la poésie comme la ballade des pendus de Villon où le texte est à la fois réaliste mais il s’interroge également sur la conduite humaine puisqu’il réfléchit sur le sens de la vie, de la mort et de la justice. Ici les pendus parlent afin de persuader les vivants de changer de vie et d’intercéder auprès de Dieu pour qu’il leur pardonne. C’est un registre tragique avec des images glaçantes qui permet de dénoncer la peine de mort. Pour finir, le discours

procédés : si on se jetait à genoux ou ventre à terre, mettait les mains sur la tête ou sur le derrière, si on léchait la poussière. - Empressement enfantin, ils sautent au cou. - Sur les institutions ; posent des questions sans cesse, " cour de justice, parlement " Ecart comique qui prouve que les personnages n’ont pas de recul pour juger objectivement de la manière de respecter les convenances. Conclusion : les voyageurs n’ont qu’une vue superficielle et candide. Candeur au rôle révélateur

L’étranger, Albert Camus Roman ou journal intime ? La première partie est écrite au présent : dans chaque chapitre, Meursault semble évoquer une journée. La seconde partie récapitule les onze mois d’instruction et de procès. Entre les deux : le meurtre.   Le personnage Dans ses carnets, Camus l’avait nommé Mersault (Mer-Soleil). Il a un nom, mais pas de prénom. Pas de description physique. On sait qu’il est « brun », « jeune », employé de bureau (il s’occupe des « connaissements »)

Mersault (symbolique du nom : mer/soleil ; / Meursault : mer/soleil/mort) . Mersault, à la différence de Meursault pense accéder au bonheur par la possession de biens matériels. Pour ce faire, il décide de tuer un homme. Puis voyage, vit des aventures amoureuses, pour finir face à la mer où, comme Meursault, il accueille la mort et découvre qu’elle justifie la vie, c’est-à-dire, paradoxalement, lui donne sa raison d’être car elle en révèle, à

place dans la tétralogie que Camus nommera « cycle de l’absurde » et qui comporte Le Mythe de Sisyphe et kaligula Le Malentendu  . lhisotire ce passe dans l’alger colanise par la France en 1942 le narrateur c'est l'étranger lui-même. il s'appelle Meursault au commencement du livre il enterre sa mère et l'événement le laisse plutôt froid il détaille la cérémonie avec un regard clinique il échange avec le directeur de l'asile des propos désincarnés et le lendemain un dimanche il se baigne a la plage

algérois dans le Mythe de Sisyphe, paru la même année. Faisant partie du cycle de l’absurde complété par ce dernier ouvrage et la pièce de théâtre Caligula, ce court mais dense roman décrit la trajectoire tragique du héros absurde par excellence, Meursault. Le protagoniste-narrateur, qui vit en Algérie Française, est un personnage solitaire et mystérieux qui refuse de jouer le jeu de la morale sociale ; il assiste ainsi aux funérailles de sa mère sans émotion apparente, premier crime, et abat de façon

DEVOIR DE COMMENTAIRE LITTERAIRE d’entraînement Temps de travail conseillé: 3h00 OBJET D’ETUDE : l’argumentation (convaincre, persuader, délibérer) Niveau : 2nde Albert CAMUS, L'Étranger (1942). Sur une plage écrasée de soleil, Meursault a tué un homme ; acte nullement prémédité, conséquence d'une succession de hasards. Le personnage de ce roman va se trouver pris dans l'engrenage judiciaire.   Et j'ai essayé d'écouter encore parce que le procureur1 s'est mis à parler de mon âme. Il

effet, même si la ressemblance est parfois loin d'être véridique, il est toujours plus agréable et parfois plus simple de se trouver des points communs avec un personnage aux multiples qualités, qui brille par son dévouement, son importance de la justice et sa loyauté. Quel homme n'a pas déjà rêvé d'être, au moins une fois dans sa vie, le chevalier Lancelot ? ce personnage mythique, créé au XIIIème siècle et héros du roman Lancelot du Lac, dont la bravoure, le respect des femmes et la loyauté fascinent

technique béhavioriste (ensemble de procédés visant à décrire que le comportement) On note également un certain lyrisme dans l’expression de la nature, de la mer ou du soleil. Il mêle le pastiche et la démystification pour tourner en ridicule la justice, la morale conventionnelle et l’administration. III-ANALYSE DE L’ŒUVRE 1-Camus parle de l’Etranger Voici ce qu’il écrit en 1955 dans la préface à l’édition américaine. « J’ai résumé l’Etranger il y a très longtemps par une phrase dont je