Meursault Personnage Absurde

composée d’un roman, d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula). Dans la première partie, Meursault représente l’homme absurde. Pour lui, l’existence n’a pas de sens, la fatalité se dresse devant nous. Toutefois, ce constat ne le rend pas pessimiste, il reste positif, il accepte les choses telles qu’elles sont et ne ment pas. Dans la seconde partie du roman, Meursault devient l’homme révolté contre l’injustice, contre une mort qui arrive trop vite et en même temps il se réconcilie

présentation du personnage - très peu de dialogue - narratif - pas de notion de temps - phrases courtes : phrases nominales - in média res (directement dans l’action) Présentation, information : (dans cet incipit) I ) L'écriture de l'incipit L'écriture se fait à l'aide de la première personne du singulier, 'je". nous avons quelques marqueurs temporels et les temps utilisés sont le passé composé, le présent et le futur. L'intériorité du personnage se dévoile ainsi. il s'appelle, "Mme meursault". Le discours

l’existence. Meursault le héros de l'étranger est indifférent au monde et ne parvient pas à donner de sens à son existence. Dans la deuxième partie du roman, Meursault se trouve pris dans l’engrenage judiciaire, en effet il a tué un homme, de manière non préméditée. Le texte étudié est issu du troisième chapitre de la deuxième partie, il met en scène, lors du procès du personnage principal, le témoignage de son ami Céleste, qui va tenter en vain d’atténuer les peines que l’accusation a envers Meursault. En

DESCRIPTION DE MEURSAULT : Information sur Meursault : Le personnage principal s'appelle Meursault. On ne connait que son nom et peu d’information sur son appartenance .C'est un personnage qui vit dans une rare insensibilité et indifférence : « aujourd’hui, maman est morte ». Cette phrase est un simple constat froid et distant. Lors du décès de sa mère, il pense à l’organisation de son voyage, au nombre de jours où il partira, à prévenir son patron mais très peu à sa mère. C’est une constatation

l’absurde,il veut nous montrer ce que serait un homme absurde c’est a dire un homme qui se comporte comme si la vie n’avait aucun sens Situation initiale : Meursault vit une existence paisible à Alger quand il apprend le décès de sa mère. Élément déclencheur : Meursault rencontre homme du nom de Raymond Sintès, qui risque d’avoir des problèmes avec le frère d’une de ses maîtresses, et Marie, qui devient sa petite amie. Péripéties : Alors que Meursault et Raymond se promènent sur la plage avec unde leurs

Questions sur la lecture de l’Étranger d’Albert Camus Première partieChapitre 11. Quelle attitude adopte Meursault lorsqu’il apprend le décès de sa mère? Justifiez votre réponse.On dirait qu’il n’est pas touché par sa mort et qu’il n’en revient pas parce qu’il ne l’a pas encore vu de ses propres yeux. Il paraît être indifférent, on dirait à la limite, que cela le dérange parce qu’il doit se déplacer 2 heures pour aller voir sa bière.

livre. En effet , dès le début du livre , on découvre M. Meursault seul , sans compagnie , dans son quartier , dans sa maison , chez lui. Oui , on apprend assez vite que cette solitude a été engendrée par l’envoi de sa mère à l’Asile en Algérie , M. Meursault ne pouvant plus s’occuper d’elle par défaut de moyens financiers. Mais il n’y a pas que ça , il n’avait plus rien à lui dire . Néanmoins , cette solitude semble plaire à M. Meursault. Déjà , pour ne plus rien avoir à dire à sa propre mère ,

qualifié par le terme de cycle absurde, d'après camus. Ce roman a été traduit en quarante langues et eu une adaptation cinématographique. L'oeuvre est coupé en deux partie, en outre le roman parle d'un homme très ambigu, la mort de sa mère ne lui fait ni chaud ni froid. Un personnage très spécial. Il tue un algérien et se fait emprisonné, cependant il est indifférence face à cela, mais aussi face à tout ce qui l'entoure. Nous montrerons d'abord que le personnage principal est dans la totale aberrance

la société. Le personnage principal n’est autre qu’un « homme ordinaire » (comme le chanterait Robert Charlebois) montré à travers ses sensations physiques plutôt que mû par ses sentiments ou ses idées. Le récit est, par ailleurs, rédigé au passé composé et pratique le mélange des tons ; on y trouve, malgré la gravité du propos, un humour, certes sous-jacent, mais toujours présent. A travers le roman se déploie une triple intention chez l’auteur : proposer le portrait d’un personnage dont le nom « l’Etranger »

laisse le droit de ne rapporter que l'essentiel. Au fil du roman, on va passer du journal au récit. Dans la première partie, la chronologie est assez précise, on va de jour en jour, ou éventuellement, de semaine en semaine. Episode après épisode, Meursault raconte ce qu'il a fait, il n'a pas beaucoup de recul, on n'a pas d'allusions à l'avenir et peu de retours en arrière. On se situe peu de temps après ce qui s'est passé. Dans la deuxième partie, et même à partir du chapitre 6 de la première partie