Meursault Personnage Déroutant

L’Etranger, Albert Camus - Le meurtre de l’arabe « C’était le même éclatement rouge… sur la porte du malheur. » Dans ce passage, Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un d'eux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le narrateur a sur lui le révolver de son ami : il l'avait forcé à le lui remettre pour éviter tout débordement. Il rencontre par hasard l'un des deux Arabes. Ce texte est crucial car il contient certains

de voiture. II/ Étude du titre On pourrait donner trois sens à ce titre: – Meursault est un étranger car il est différent des autres hommes qui subissent leur existence sans se poser de questions. - Il est étrange, déroutant pour le lecteur. - Il est étranger à sa propre existence. Malgré la focalisation interne, le lecteur a bien du mal à comprendre les mobiles du héros. Meursault a du mal à reconnaître ses sentiments, il marque une certaine distance à leur égard ce qui lui

vient de mourir, le jeune Meursault, employé de bureau à Alger, va l'enterrer sans larmes. Il éprouve sans doute de la peine mais ne fait aucun effort pour manifester sa douleur. Le lendemain il retrouve une ancienne collègue, Marie Cardona. Ils se rendent à la plage puis au cinéma et passent la nuit ensemble. La vie reprend son cours monotone. Meursault rencontre un voisin, Raymond Sintès : celui-ci s’est montré brutal avec sa maîtresse, une Maure, et demande à Meursault de témoigner pour lui lorsqu’il

l’existence n’aurait pas de sens et serait seulement guidée par le hasard. Albert Camus inclut L’étranger dans ce cycle. Les actes et réflexions de son héros ou plutôt de son anti héros ; Meursault, nous déroutent souvent par leur manque de sens. Cela commence dès l’incipit, qui s’ouvre sur les pensées de Meursault, le narrateur, suite au décès de sa mère. Nous allons procéder à la lecture du texte… Dans ce texte on peut repérer 3 mouvements: - lignes 1 à 3: l’annonce ambiguë de la mort de la mère

publie un roman, L’Etranger, et un essai, Le Mythe de Sisyphe mais aussi 2 pièces de théâtre, Caligula et Le Malentendu en 1944 ! Nous sommes en présence du chapitre 5 de la 1ère partie du roman L’Etranger, publié en 1942. Peu de temps auparavant, Meursault a reçu une proposition de poste à Paris et a consigné sa réponse en ces termes : « J’ai dit que oui mais que dans le fond, cela m’était égal », phrase emblématique d’un héros passif sur qui tout semble glisser… Or voici qu’une autre proposition lui

le lecteur sait qu'il va avoir affaire à une voix par la focalisation interne, qu'il aura affaire à un narrateur vivant et racontant et le roman va compter moins pour les événements relatés que pour la manière dont ils sont relatés: ce qui vit Meursault est assez banal, mais ce qu'il en dit, la manière dont il le perçoit est intéressant. Ce n'est pas la première fois que cette focalisation interne est employée, mais c'est une des premières fois que la voix du roman est indicatrice de tant de choses

moment passé avec Meursault. Vous imaginerez et rédigerez ce passage du journal, en précisant les pensées, les impressions, les interrogations et les sentiments que vous prêtez à la narratrice. Recherche par mot clé: Utiliser la recherche avancée Accueil › Annales corrigées › Construire une vision du monde - Ecriture d'invention › Construire une vision du monde - Ecriture d'invention Annales corrigées : écriture d'inventionFrançais1re ES1re SLe roman et ses personnages : visions de l'homme

conscience induites par ces expériences douloureuses l'amènent à attacher son nom à une doctrine personnelle : la philosophie de l'absurde, qu'il définit dans Le Mythe de Sisyphe en 1942. Dans ce passage, extrait de L'Etranger (1942), le personnage-narrateur Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un d'eux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le narrateur a sur lui le révolver de son ami : il l'avait forcé à le lui remettre pour

dans sa correspondance, révélera son attachement particulier au personnage de Vautrin, qualifié de « mauvais double ». L’extrait proposé constitue une partie de la longue « leçon » que Vautrin donne à Rastignac, dans le jardin de la pension Vauquer, alors qu’il tente de le convaincre d’épouser Victorine Taillefer et de partager avec lui la dot. Quelle vision du monde et de la société sont proposées ici par Balzac à travers le personnage de Vautrin ? Pour répondre à cette problématique, nous verrons

L’Etranger. Meursault, narrateur et pers. principal, a tué un Algérien. Dans la seconde partie du roman, il est jugé pour ce meurtre. Le passage correspond précisément à la narration par Meursault du réquisitoire de l’avocat général qui demandera la tête de l’accusé à la fin de son argumentation. • Nous verrons en quoi Camus se livre à une satire implicite de la justice dans ce passage. • Annonce du plan : Tout d’abord, nous montrerons en quoi ce réquisitoire est reproduit par Meursault, « l’étranger