Meurtres Pour Mémoire

escaliers dans sa maison après un incendie. Mi a été opéré et souffre d'une amnésie. Le Dr Doulin met tout en oeuvre pour lui faire revenir la mémoire: il lui montre des photos où elle apparaît avec d'autres personnes. Un jour Jeanne Murneau, une amie de sa tante Sandra Raffermi, l' a récupère et la ramène chez elle. Elle essaye de lui faire revenir la mémoire en lui racontant des histoires sur son passé. Elle lui explique qu'elle s'appelle Michèle Isola et qu'elle passait tout son temps avec Domiencia

femme, l'humilier, la chasser, la supprimer. On lui accroche pour l'éternité l'étiquette d'infanticide. Les meurtriers de ses enfants auront l'hypocrisie de rendre hommage à leurs victimes. Toute tentative pour tirer au clair les circonstances du meurtre en essayant de comprendre, d'élucidé [sic], de changer les comportements est rendue impossible. L'Histoire se met en marche.2 Pour Pierre Corneille,Médéeest sa première tragédie. Il écrit cette pièce au début de sa carrière de dramaturge et s’orienta

n’a rien de moderne ni d’humain (elle reproduit ce qui est dans la nature et n’est pas du niveau des Lois). Les exemples utilisés sont aussi très révélateurs (à chaque victime il faut un puni). Simple arithmétique : un meurtre paie un autre meurtre, à part que l’exécution est le meurtre le plus prémédité qui soit, pas d’équivalence (montre le grotesque de la situation). Douleur de l’espoir mêlé au désespoir. 2) Editorial de Combat , 8 août 1945.     Le monde est ce qu'il est, c'est-à-dire

ont instauré et légitimé l’ ordre de la violence, du fanatisme et de l’ épuration. Les pères ont failli, “et les dents des enfants ont été agacées". Les fils, privés de la protection paternelle, ”vivent en orphelins sous un ciel indifférent”. La mémoire de Si Morice, l’ ancien maquisard, est intacte : l’ assassinat était monnaie courante au maquis pour maintenir la cohésion des troupes. Si Morice, fils d’ une famille aristocratique, rallie le maquis avec sa fortune personnelle et rend compte avec

d’être écrasé par son absurdité. De ce point de vue, Meursault n’est pas encore capable de se laisser gagner par l’indifférence en se laissant aller au sentiment de l’absurde. Même dans la seconde partie du roman, après s’être marginalisé par le meurtre, Meursault n’a pas encore su s’abstraire du non-sens du quotidien par le sentiment même de l’absurde : « Quand je suis entré, le bruit des voix qui rebondissaient contre les grands murs nus de la salle, la lumière crue qui coulait du ciel sur les

II. La parodie de la justice a) Le discours du Lion Le Lion est le chef incontestable, religieux, civique et fraternel « mes chers amis » (v.15). Il semble faire preuve d'humilité « nos péchés » (v.18). Il est également le représentant de la mémoire de son peuple « histoire ». Il affiche de bonne intention et obtient un discours qui se veut sans discrimination « sans indulgence » (v.23). Il avoue avoir commit des crimes contres les innocents « J'ai dévoré force moutons ». Il semble prêts à

Cœur et de l’Esprit - R. de la sensibilité :Bernardin de St-Pierre, Paul et Virginie. - R. épistolaire : - Montesquieu, Lettres persanes (1721) - Rousseau, La Nouvelle Héloïse (1761) - Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782) - Mémoires fictifs : - Marivaux : La Vie de Marianne (1731-41) - Diderot : La Religieuse (1760) - Richardson : Pamela ou la Vertu récompensée (1740) Clarisse Harlowe (1748) (romans épistolaires) - Goethe :

pour le liquide !». « C’est certain … » soupire Claire. La conversation dévie peu à peu sur l’intrigue de la série télé de Samy qui déclare n’avoir jamais vu autant d’érythrocyte dans un seul meurtre. Claire se mord un doigt qu’elle semble vouloir aspirer. « Quelle histoire farfelue, pourquoi autant de meurtres dans les films de garçons ? » Ce genre de questionnement ne plait pas à Samy mais il ne relève pas. Ils s’embrassent tendrement lorsque le bus s’arrête de nouveau. Au dehors, un arbre malmené

accessoires et où se déroulent les scènes de 1943, c’est le passé ; – un troisième plan, le fond, où sont stockés les accessoires que l’on va chercher au fur et à mesure des besoins de la narration, représente l’espace de la mémoire. Le gris monochrome est la couleur de la mémoire, comme de la Seconde Guerre mondiale. Le dispositif scénique est donc à la fois conforme au théâtre de Sartre, qui représente mais qui n’imite pas la réalité. Il traduit aussi de manière très claire l’organisation temporelle

 (océan,  eau  douce)   Coios    (?)   Crios  (commandant)   Hypérion  (soleil)   Japet  (celui  qui  précipite)   Théia  (reine)   Rhéia  (grande  mère)   Thémis  (jus7ce)   Mnémosyne  (mémoire)   Phoibé  (brillante)   Téthys  (mère  marine)   Cronos  (temps)   Les  cyclopes  (3)   Brontès  (Tonnerre)   Stéropès(Éclair)   Argès  (Foudre)   Les  hécatonchires  (3)   Co`os