Michel Ier

l'ethnocentrisme (particulièrement critiqué par Montaigne). Le système féodal laisse alors place à la Monarchie absolue. La France se construit autour du pouvoir royal qui œuvre à unifier la langue française avec le rôle déterminant joué par François Ier. Sa protection des savants, des écrivains et des artistes lui vaudra le titre de Père des Lettres. Le même esprit anime l’art de la Renaissance artistique qui s’inspire de la culture italienne. Enfin les bouleversements religieux au sein de la

Napoléon Ier, né le 15 août 1769 à Ajaccio en Corse, dans le royaume de France, et mort le5 mai 1821 sur l'île Sainte-Hélène, au Royaume-Uni, est le premier empereur des Français, du 18 mai 1804 au 6 avril 1814 et du 20 mars 1815 au 22 juin 1815. Il fut, sous le nom de Napoléon Bonaparte, un général des armées de la Révolution, commandant en chef des armées d'Italie et d'Orient. Il parvient au pouvoir en 1799 par le coup d'État du 18 brumaire et est Premier consul jusqu'au 2 août 1802, puis consul

modules concentriques et carrés s’interpenetrant ne fut jamais réalisé. La reconstruction fut réalisé en grande parité par Michel Ange qui avait entrprit la monumentale voute de la chapelle sixtine en employant des techniques de plus en plus raffinées de la perspective. LA PREMIERE RENNAISSANCE FRANÇAISE Les guerres d’Italie menées par Charles VIII, Louis XII et François Ier, furent l’occasion de découvrir l’art de la Renaissance italienne. Tout de même avant ça il y avait déjà eu des échanges

modèles, les peintres Raphaël, Buonarroti et Michel-Ange (II, 2).  • La dimension mythique de la ville ne doit pas faire oublier l’aspect historique.  Florence constitue en effet un enjeu de l’intrigue car elle est au cœur de luttes de pouvoir. En1527, les Médicis sont chassés du pouvoir par une révolte du peuple. Florence est alors un enjeu dans les luttes qui opposent en Italie l’Empereur d’Allemagne, Charles Quint, et le roi de France, François Ier. La ville capitule en 1530. En 1537, elle est

et le Cinquecento (XVIe siècle). Dans son ouvrage, Vasari parle de trois âges : celui des précurseurs, Cimabue et Giotto, celui des initiateurs, Masaccio, Brunelleschi et Donatello, et enfin celui des maîtres accomplis, Bramante, Vinci, Raphaël et Michel-Ange, qui selon Vasari égalent et même dépassent ceux de l’Antiquité. Il faudra attendre le XIXe siècle pour que les historiens étendent le concept de Renaissance à l’ensemble d’une civilisation. La Renaissance remet en cause l‘ignorance du Moyen-âge

papes qui font passent des commandes auprès de Michel Ange, Raphael ou Bernin. Elle et se poursuit au XVIIème siècle avec l’essor de l’art baroque. Le Pape Jules II (1503-1513) commande la construction d’une basilique à l’emplacement du présumé tombeau de St Pierre à l’architecte Bramante. Il fait détruire les bâtiments qui dataient de l’époque de l’empereur Constantin (IVème siècle, édit de Milan en 313 tolérant le christianisme dans l’empire). Michel Ange, devenu maître d’oeuvre en 1547, termine

bourgeois ou nobles, aisés et puissants, accueillent, protègent les artistes et leur passent des commandes, stimulant ainsi l’activité culturelle et la création. On peut citer notamment le duc Federico de Montefeltro à Urbino ( doc 4 ), François Ier qui protège Léonard de Vinci, le pape Jules II qui finance les fresques de la chapelle sixtine, mais aussi et surtout Laurent de Médicis , surnommé Laurent le Magnifique. Ils font de certaines villes ou Etats, comme Florence ( doc 1 ), des espaces

transformer son centre en y perçant une croisée gigantesque. La construction de l’axe nord-sud, du boulevard de Sébastopol au boulevard Saint-Michel, fait disparaître de la carte de nombreuses ruelles et impasses. Il forme une grande croisée au niveau du Châtelet avec la rue de Rivoli : le Second Empire prolonge jusqu’à la rue Saint-Antoine cette rue que Napoléon Ier avait tracée le long des Tuileries. Haussmann complète cette grande croisée par des axes qui relient la première couronne de boulevards

vente des collections permet à l’art de se diffuser dans toute l’Europe dans les milieux aristo, princiers. Les œuvres d’art dans l’antiquité sont : Un enjeu de pouvoir : Jules II (pape), grand protecteur des artistes et des œuvres d’art vs François Ier, collectionneur d’œuvres d’art (1515-1574 - roi), se disputent des œuvres d’art mais aussi sur la politique. Jules II, plus grand réalisation La cour du Belvédère, jardin en longueur qui relie deux bâtiments : le palais du Belvédère (palais des papes)

Essais, L. II, chap. 19 « De la liberté de conscience » La Bruyère, Les Caractères, X "Du souverain ou de la République" Diderot, Encyclopédie, art. "autorité politique" Analyse d’image : Giorgio Vasari Laurent le magnifique & Titien, François Ier , p. 25. Lectures complémentaires : Castiglione, Le Livre du courtisan, (extrait) p. 32 Erasme, L'Institution du prince chrétien, (extrait) p. 31 Montaigne, Essais, L. I, Chap. VI « L’heure des parlements, dangereuse », Chap. XLI « de ne communiquer