Milton Friedman

Néanmoins, le modèle de capitalisme actionnarial a longtemps été promue par les économistes classiques basées sur l'hypothèse simpliste que la motivation humaine ne peut se résumer à la poursuite rationnelle de l'intérêt (économie Homo). Ainsi, Milton Friedman, prix Nobel d'influence (conservateur) économiste à l'Université de Chicago, il ya plusieurs années a affirmé que «la responsabilité sociale de l'entreprise est d'accroître ses profits." Les entreprises capitalistes doivent se concentrer avec

la demande, la consommation augmente quand le revenu augmente. La fonction de consommation traduit la relation existant entre l’évolution de la consommation globale de l’ensemble des ménages et le revenu disponible de ces ménages. D’après Milton Friedman, Les consommateurs lient leurs dépenses non pas à leur revenu courant mais au revenu, dont ils pensent pouvoir bénéficier de manière permanente. Or selon Modigliani, la consommation évolue en fonction des périodes de la vie du ménage, chaque

monétariste à l’endroit de l’interprétation keynésienne de la courbe de Phillips. 2. La contre-interprétation monétariste Dès 1968, Milton Friedman et Edmund Phelps, figures de proue du courant monétariste, proposent une contre-interprétation de la courbe de Phillips visant à démontrer l’inefficacité de l’intervention politique prônée par l’analyse keynésienne. Friedman et Phelps introduisent une distinction entre court terme et long terme et s’attachent à démontrer qu’une politique de relance est

l'augmentation des prix en soi ne mine pas la création de la richesse réelle comme tel. D’autres économistes, tel Milton Friedman, maintiennent que si l'inflation est prévue par les producteurs et consommateurs, cela ne cause que peu de dommages. Mais le vrai le problème est celle non prévue, car elle cause une mauvaise allocation des ressources et affaiblit l'économie. Selon Friedman, une augmentation des prix peut être stabilisée par des injections monétaires fixes et ce faisant les individus adapteront

trop restrictives (visant à limiter la création de monnaie) dans un contexte de besoin de liquidités stimulé par une croissance importante et un essor des emprunts liés à la spéculation, ont été à contre-courant des besoins de l'économie. Pour Milton Friedman, toute baisse soudaine de la masse monétaire est en effet un facteur de «grave dépression» (toute hausse soudaine ayant des effets tout aussi néfastes, si l'on en croit la théorie quantitative de la monnaie développée par l'auteur, étant source

consommations acquise antérieurement. * Il évoque aussi l’effet d’imitation pour selon lequel tout citoyens d’une classe social donné tente à acquérir le comportement de la classe immédiatement au-dessus. b) La théorie du revenu permanent de Milton Friedman C’est le chef de file des monétaristes. Il est opposé au modèle Keynésien. Il pense que le comportement du consommateur n’est pas lié au revenu qu’il perçoit mais au revenu qu’il prévoit. Le consommateur anticipe donc ses gains et prend ses décisions

Les employés dans les services augmentent et la production de biens baisse. Certaines régions ont des difficultés pour baisser le chômage. L’Etat providence est beaucoup critiqué par les théories de l’école néolibérale de Chicago (économiste Milton Friedman). Ce nouveau courant est appliqué par Reagan aux USA et Thatcher au Royaume-Uni. Elle a deux objectifs : faire en sorte que l’Etat ne soit plus un régulateur économique et arrêter les distributions de richesses. Cela se traduit par une baisse

mais qui creusent le budget, relance l'inflation, et valorise le dollar, et augmente les impôts. Donc John Carter change de politique et applique une politique monétariste (doctrine préconisée par l'école de Chicago et plus particulièrement par Milton Friedman pour qui l'inflation est la cause essentielle de la dépression. Pour juguler l'inflation, il faut freiner la création de monnaie et limiter les crédits en pratiquant des taux d'intérêt élevé).     Depuis les années 1950, les états mènent une

centre que le socialisme démocratique, le planisme et le contrôle de l'économie. En 1947, il crée la société du Mont-Pèlerin, regroupement d'intellectuels libéraux qui a compté parmi ses membres plusieurs futurs Prix Nobel 7 d'économie. En 1962, Milton Friedman glorifie, dans Capitalisme et liberté, " l'extraordinaire fécondité du marché 8", à laquelle il oppose le caractère régressif des interventions publiques. Ses travaux sur le revenu permanent et la fonction de consommation 9, sur la monnaie 10

facilite la vie de bon nombre d’utilisateurs ainsi que la réduction de frais annexes. Internet facilite les échanges, les transactions et qui plus est ceux-ci est un échange économique instantané. Il y aussi l’invention de la politique monétaire de Milton Friedman qui est un modèle à la fois très simplifier et dans le but de toujours un rythme constant dans la croissance sans aucune récession et surtout sans inflation des prix. Afin de mettre en place ce modèle il voulait que le taux de croissance soit