Minijupe

cools, biker, rastas, artistes, banquier – cadre supérieur, religieux, militaires, hip hop etc. Les vêtements expriment : Des émotions et des sentiments : Les couleurs vives expriment la vie, les couleurs sombres, la mort. Des messages sexuels : Les minijupes, les jeans, les décolletés, etc. Des statuts sociaux : Le costume, la blouse, la combinaison... Les accessoires: Les objets que nous portons (bijoux, sac, parfums et eaux de toilette, chaussures, chapeau, casquettes) parlent de nous, de nos valeurs

aux filles que si elles veulent être perçues comme féminines, il leur faut prendre soin des garçons, ne pas blesser leur susceptibilité, masquer toute velléité de compétition individuelle. En gros, prendre part à la course, mais tout en gardant sa minijupe et ses talons, ce qui ressemble fort à une double contrainte. De même, l’échec scolaire des garçons de milieu populaire n’est pas sans rapport avec une certaine image de la virilité, qui considère comme féminin tout travail livresque, encadré de

veste a waistcoat (GB), a vest (USA) : un gilet an anorak : un anorak a raincoat : un imperméable a coat : un manteau a pullover : un pull a sweater : un sweatshirt a dinner jacket a dress : une robe a skirt : une jupe a miniskirt : une minijupe a blouse : un chemisier a tank top : un débardeur sportswear : vêtements de sport shorts : un short slacks : un pantalon de sport trainers (GB) : des baskets a two-piece swimsuit : un maillot de bain deux pièces swimming shorts (USA), swimming

une superposition de collants troués, de la lingerie apparente souvent portée au dessus des vêtements, des longs pulls utilisé en minirobe, vêtements portés à l’envers, chemise hors du pantalon… Pour provoquer, les femmes portent souvent des minijupes avec de la résille. Nancy Spungen, ancienne compagne de Sid Vicious, connue pour ses déboires et son look extravagant et provoquant On retrouve là les attributs vestimentaires du punk: lingerie apparente, cuir, vêtements déchirés... 4

maison Chanel –, et certainement pour la luxueuse discrétion qu'offrent les grands palaces. Elle y séjournera pendant une quinzaine d'années. Mais Chanel est encore plusieurs fois confrontée à l’Histoire. Après les deux guerres mondiales, c'est la minijupe popularisée autour de 1965 par Mary Quant et Courrèges qui a fait l'effet d'une bombe et la met en colère. Rien n'y fera, « Mademoiselle » ne relèvera pas la jupe au-dessus du genou, car elle pense que les genoux sont laids. Elle continue donc de

L’homme a une allure romantique, il porte des cols à jabots et aborde les fanfreluches, il se laisse pousser les cheveux. Les hommes ont enfin leur mot à dire sur la mode. On pourrait dire que les années 1960 sont un peu la défaite de la pudeur. La minijupe apparait, on montre les cuisses les bras et le ventre sans toutefois avoir l’air vulgaire. On tourne la mode à l’excentrique en fabriquant des robes dans tous les matériaux inimaginables, mais la haute couture est mise de côté. Les «prêt-à-porter»

mais dans l’idée d’une Asie universalisée et contemporaine. Sur fond d’une projection vidéo dans laquelle défile un texte évoquant les femmes de chaque pays d’Asie, elles avaient mis en scène l’image de femmes sexy et « libérées » : habillées d’une minijupe et talons hauts, elles se déhanchaient, parlaient fort et prenaient à parti le public, tout en dévorant un énorme plat de spaghettis. Conclusion On voit donc que le butô peut, au sein d’une même compagnie, cristalliser des représentations différentes

Ces magasins sont souvent situés en périphérie des villes. 2° Décrivez la sculpture. Le personnage est-il vu positivement ? Soyez précis. Une femme vulgaire, assez corpulente, une cigarette dans la bouche, portant des bigoudis contrastant avec la minijupe, pousse un chariot rempli à ras bord de produits en conserve et gras, révélateurs de la malbouffe si décriée aujourd’hui. On ne distingue aucun produit frais. 3° Quel est le but de l’artiste ? L’effet recherché est-il réussi ? L’artiste critique

laissé émouvoir par l’histoire de Loana – son enfance difficile et sa petite fille placée en famille d’accueil –, révélée par la presse people. Quant à leur père, Richard, il n’avait d’yeux que pour la belle blonde. Les images de Loana en short, minijupe, dos-nu, maillot de bain et son sou- rire découragé le poursuivaient la nuit et parfois même la journée du lendemain. Toute la famille s’accordait 15pour rejeter Laure, qu’ils jugeaient trop bourgeoise, et Jean-Édouard, l’enfant gâté inconséquent

dirigeants officiels). Diffuser le maximum d’information. Il faut bien envoyer le message et veiller à sa bonne réception et compréhension. « Maintenir la population à l’écart de l’oisiveté. » B) Edgar Morin : la rumeur d’Orléans. Magasin, minijupe, disparition de filles : contagion. C) Shibutani. « Des nouvelles improvisées résultant d’un processus de discussions collectives. » Une rumeur vient d’un événement ambigu, interprétation collective. D) On. « On » colporte la rumeur