Ministre-président de Prusse

conservée. L’unité italienne est donc remise à plus tard. En Allemagne, la situation est plus compliquée. L’unité n’a en effet jamais semblé aussi proche. Les tensions se sont apaisées, et la solution d’une petite Allemagne autour de la Prusse prend forme. Mais le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume IV, refuse la couronne d’empereur d’Allemagne que lui propose le parlement de Francfort. En effet s’il envisage de prendre la tête d’une Allemagne unifiée autour de son royaume, cela doit se faire selon la volonté

congressistes n'en connaissent que la fête, car le « congrès s'amuse » dans des réceptions continuelles. Il n'y eut presque pas de séances plénières. Les discussions et les décisions se prennent ailleurs. Les quatre vainqueurs de Napoléon Ier (Autriche, Prusse, Royaume-Uni et Russie) avaient décidé de se réserver les « choses sérieuses ». La France réussit à s'imposer et faire entrer trois autres pays européens (l'Espagne, le Portugal et la Suède). Le congrès rassemble les grands diplomates de l'époque :

politicien (Diplomate, Ambassadeur, ministre des affaires étrangères). Vers 1830, il arrête la politique et, aidé de sa femme et de sa maitresse, il se consacre aux mémoires d’outre tombe jusqu'à sa mort. Alphonse Lamartine (1790-1869) mène une enfance paisible, mais se retrouve dans l’ennui et il veut écrire. Après une période de passions amoureuses, passion pour Julie Charles qui meurt d’une phtisie, il mène une carrière diplomatique et politique (Ministre des affaires étrangères). Sa politique

effet, cette éminente figure de la scène politique française et internationale, étrangement disparue de la mémoire collective de notre pays, est passée par les plus hautes fonctions de la IIIème république. Homme de loi, il sera nommé plusieurs fois ministre, élu plusieurs fois député et sénateur et sera même le seul individu a avoir présidé les deux chambres,l'assemblée et le sénat, sous la IIIème république. Son œuvre est avant tout intellectuelle. En s'inspirant des idées du philosophe Charles Renouvier

nationale sous la présidence du général Trochu (conservateur orléaniste catholique) qui est aussi aux affaires étrangères (il se doit de traiter avec l'ennemi). Gambetta lui, s’octroie le rôle du ministre de l'intérieur pour s'occuper de la France. Ce gouvernement est pour continuer le combat contre la Prusse et surtout asseoir son autorité. Il faut aussi penser à organiser de nouvelle élection pour choisir des députés se réunissant en assemblée constituante. Les événements empêchant les élections

paix avec la Prusse (proclamant son unité). France doit payer indemnités de guerre = naissance douloureuse. Les lois se mettent en place : Président élu pour 7ans, il nomme un gouvernement, élu par le parlement → Séparation des pouvoirs. Gouvernement présidé par un président du conseil (=1er ministre), il doit recevoir l'investiture de l'assemblée, ce qui entraine instabilité ministérielle. Pouvoir législatif = sénat, assemblé législative (votent lois, budget, élisent le président, peuvent retourner

aux questions qui auraient pu soulever des protestations ; il avait pris pour sujet : Des effets de la Poésie sur le génie des langues. L'Académie ne lui assura pas la sécurité qu'il avait espéré y trouver ; il voyagea en Angleterre, en Lorraine, en Prusse, en Allemagne ; il fit un séjour prolongé à la cour de Berlin en 1750 où il fut le commensal de Frédéric II qui lui fit une pension de 20 000 livres ; les soupers du roi et du philosophe sont célèbres. Il se retira ensuite dans un exil volontaire

instauré en France le 2 décembre 1852 lorsque Louis-Napoléon Bonaparte, le président de la République française devient Napoléon III, Empereur des français (son coup d'état de 1851 est un acte fondateur du Second Empire). Ce régime politique succède la Deuxieme République et précède la Troisième République. Il (le régime) se termine le 4 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan, lors de la guerre contre la Prusse (à l'époque c'était un territoire qui était composer de la Pologne et la Russie)

Puis, s'ajoute peu à peu d'autres personnes (qui formeront plus tard l'extrême gauche). Ensemble, ils vont diffuser leurs idées. Normalement, le dernier banquet, devant conclure la campagne, devait avoir lieu en février 1848 à Paris. Mais le président du Conseil, Guizot, panique et décide de faire interdire ce banquet. Les orléanistes acceptent mais pas les radicaux: ils appellent à la manifestation. Le 22 février, c'est la première journée révolutionnaire. On assiste à la manifestation d'ouvriers

deuxieme république : les députés pensent alors qu’il est préferable de confier le pouvoir exécutif à un seul homme plutot qu’a un collectif. Ainsi, les deputes de l’assemblée constituante (ceux qui redigent la constitution) définissent le futur président de la république, capable de prendre des décisions rapides en cas de crise. Dans ce contexte tendu, les partisans de la droite royaliste ( le parti de l’ordre) sont de retour sur la scene politique. Ils font pression sur le gouvernement et des mesures