Miroir Surréalisme

encombrait l’air. J’ai laissé derrière moi, mon dérisoire passé. L’odeur des vagues et de son pourpre ardant embaumait mes narines d’une telle douceur que je pus à cet instant envisager la fuite. Je tremblais, j’étais vidé et à terre. Mon miroir à l’apparence enjôleur et perfide se mît à plonger dans l’embrun de ces déferlantes vagues touffues. Prisonnière d’une âme allogène et sans vie véridique, l’effluve du temps coulait à flots dans mon sang. Les tréfonds de mon cœur étaient martelés

invisible. Rappel des 3 mâts. - hors- là : hors de notre monde. Le 19 aout se situe à la fin de la nouvelle, le thème du double, narrateur = folie. Le horla empêche de vivre Maupassant, avec le miroir (puissance de l’être mystérieux), il apparait avec transparence ou lui prive de son image. Maupassant a très peur. Vocabulaire : «  affolés, n’osait plus, avait dévoré, j’eus peur, frissonner, l’épouvante » Champs lexical de la peur. Phrases

Commentaire du film à travers les miroirs : The servant. De Joseph Losey     Le motif du miroir dans le film est une thème très important ; on peut observer la quasi  omniprésence des miroirs dans les plans. ils sont plusieurs dans chaque pièce mais l’un deux semble particulièrement conséquent. Il s’agit du miroir rond qui parfois déforme légèrement les personnages.     Le miroir représente : la relation ambiguë de Barrett et son maitre : ils ne peuvent se passer l’un de l’autre . Leurs psychologies

autoportrait de Norman Rockwell en train de se peindre lui-même. On voit l’artiste de dos assis su son tabouret, il se penche pour se regarder dans le miroir qui est posé sur une chaise .Sa main est levée, tenant un pinceau à la main droite prête à peindre .Sur la toile centrale sont autoportrait commence à apparaitre .Le peintre et son reflet dans le miroir correspondent parfaitement : même taille et même. On voit je pense le peintre comme lui doit se voir lui-même. Au contraire, sur la grande toile l’autoportrait

impossible, dis-je a voix haute, c'est juste une coïncidence, rien de plus.... Et c'est là que je vis, dans le miroir, une forme blanche et ensanglantée. La fenêtre s'ouvrit et craqua, je sortis de mon lit et me précipita vers la porte, mais elle se referma en meme temps que la fenêtre.J'esseya d'ouvrir la porte mais impossible, elle était vérouillée. Je vis la forme sortir du miroir et s'approcher vers moi, J'eus beau hurler de toutes mes forces, personne ne vint a ma rescousse. La forme se

va. Salle de bain= plan fixe sur un miroir (mais plus large de façon à ce qu’on devine qu’il s’agit d’une salle de bains) plein de bué, on distingue une silhouette qui passe de gauche à droite. Bruit du pipi. Bruit de la radio en fond. La silhouette repasse devant le miroir de droite à gauche. Puis une autre silhouette arrive de la gauche et s’arrête devant le miroir (on ne sait pas s’il s’agit du jeune garçon). La personne essuie d’un geste sec la bué du miroir ce qui laisse paraitre son visage :

Le miroir Existe-t-il un objet plus banal qu’un miroir ? Objet narcissique par excellence, on le retrouve dans tous les sacs à mains de ces dames. Tout le monde se regarde au moins une fois quotidiennement dans un miroir, ne serait-ce que pour se raser le matin ou pour se maquiller. C’est un objet qu’on ne remarque plus puisqu’on ne le regarde pas en tant qu’objet. C’est ce qu’on y voit dedans qui est intéressant. Objet banal ? Pas si sûr … Ce qui nous intéresse ici n’est pas de savoir que les

l’espace un miroir reflétant sa démarche et sa beauté. À l’heure où les chiens eux-mêmes gémissent de douleur sous le soleil qui les mord, quel puissant motif fait donc aller ainsi la paresseuse Dorothée, belle et froide comme le bronze ? Pourquoi a-t-elle quitté sa petite case si coquettement arrangée, dont les fleurs et les nattes font à si peu de frais un parfait boudoir ; où elle prend tant de plaisir à se peigner, à fumer, à se faire éventer ou à se regarder dans le miroir de ses grands

la distance focale d’un miroir courbe concave. Hypothèse : Plus do  sera élevé plus di  va diminuer. De plus, la distance focale sera équivalente pour chaque distance, car le foyer d’un miroir ne se déplace pas. Matériel : -Un miroir concave -Deux règles de 1 mètre - Un support à miroir -Une lumière -Une feuille blanche - Deux supports à règle   Protocole : 1-Placer les deux supports a règle en-dessous de la règle. 2-Placer le miroir courbe concave dans le support à miroir et installer le tout sur

particulier n'est fait, la femme paraît ennuyée de poser aussi longtemps, le temps est arrêté mais semble s'éterniser dans cet espace aux couleurs chaudes, raffiné et confiné comme le peint INGRES dans ses oeuvres. Une seconde lumière est donnée par le miroir en arrière-plan, donnant une ouverture sur un autre monde, une profondeur mais très restreinte. Les coups de pinceaux sont lisses, presque imperceptibles, comme pour donner l'impression d'une photo. En comparaison, le tableau de MANET "La Prune"