Miroir

la joue la femme qui se trouvait devant lui, et s’assis devant la table. - Je t’ai acheté les céréales que tu préfère, lui dit-elle dans un petit sourire. - Ah ! Ok merci, lui dit-elle. Elle attrapa son sac à main, et regarda son reflet dans le miroir de la cuisine. - Désolé mon choux, dit-elle, je ne vais pas pouvoir t’apporter au lycée aujourd’hui. J’ai une réunion très importante, et je ne peux pas prendre le risque d’arriver en retard. Kévin fit une grimace. - Ok, lui dit-elle, pas de problème

qu’une de ses vertèbres lombaires est fracturée. Frida sera alors contrainte de porter durant neuf long mois des corsets en plâtre. C’est alors qu’elle commence à peindre. Pour l'aider, ses proches placent un baldaquin au-dessus de son lit avec un miroir pour ciel. Elle peut alors se servir de son reflet comme modèle, ce qui est probablement l'élément déclencheur de la longue série d'autoportraits qu'elle réalisera, sur 143 tableaux, 55 sont des autoportraits. Elle doit subir de nombreuses interventions

ans. 2 : Décrire l’autoportrait La technique utilisée est celle de la peinture à l’huile sur carton. Le peintre est positionné de profil, il se représente par un reflet de son visage dans un miroir . On voit au premier plan des objet posés sur un dessus de cheminée, sur lequel repose le miroir dans lequel il se regarde. De son visage, seules apparaissent nettement les lèvres, le nez et une oreille. L’essentiel des traits et du regard restent dans l’ombre. Henri regarde son reflet, il

demanderons donc quelle image du sauvage se dessine à la lecture de cet extrait. Plan Le texte de Léry est tout d’abord un témoignage dont l’authenticité et la rigueur scientifiques ‘imposent ; puis, dans un basculement habile, Jean de Léry nous tend un miroir dans lequel notre reflet est celui, inversé, du Sauvage ; enfin, il dresse un idéal de vie proche de la nature, dont le lecteur se sent exclu. Annonce de l’axe/ I.1 Le texte de Léry a tout d’abord les caractéristiques d’un témoignage. Les procédés

un vase de cristal, répondant à droite au cristal du sablier. Tous deux sont traversés par la lumière provenant d'une fenêtre située sur le côté gauche. Le cristal nous en montre le reflet amenant nos pensées vers un autre monde, de l'autre côté du miroir vers la mort. Le crâne, figure emblématique de la mort dont les trous noirs des orbites attirent le regard, le crâne se fait masque. Dans son oeuvre, l'artiste a voulu exprimer l'allégorie de la vie humaine. Philippe de Champaigne veut représenter

normal. L’angle Ɵ1 pour lequel l’angle Ɵ2= 90 degrés c’est l’angle critique. Lorsque l’angle est plus grand que l’angle critique, on observe le phénomène de réflexion totale interne. Matériel et instrumentation * 2 iris diaphragmes * 2 miroirs plans * Laser He-Ne * Prisme en verre * Un support rotatif RSP-1T ------------------------------------------------- Manipulations 1. Monter et aligner le laser 2. Assembler le montage BSA- II 3. Déposez avec précaution

salle de bain, le miroitier est amené à préparer et poser des miroirs, monter des cabines de douche en verre décorées en atelier ou encore habiller les murs et le plafond avec des volumes de verre. Il peut aussi poser des glaces argentées anti-buée électriques. Miroirs Le travail du miroitier est aussi de poser des miroirs de toutes sortes. Les miroirs sont des verres traités avec une couche réfléchissante protégée par un vernis. Le miroir se travaille comme le verre : on peut le découper, le façonner

objectivité ? il se valorise (ex : Dürer autoportrait du christ roi) il se dévalorise (ex : Picasso se caricature) - Difficulté sur un plan technique, il se sert d’un miroir qui lui tend sa propre image. Le peintre peut-il rendre avec exactitude l’expression de son visage ? L’autoportrait est-il un miroir de son âme ? - Le peintre fige, fixe un moment de sa vie uniquement, un aspect partiel (pas comme dans l’autobiographie) - L’autoportrait est-il une quête ou une perte de soi 

de grande beauté, qui vivait dans une tour. Elle ne pouvait regarder l'extérieur (Camelot) directement. Aussi, tout ce qu'elle connaissait du monde réel n'était que son reflet dans un grand miroir. Elle passait ses journées à tisser et broder. Vous remarquerez que, dans les oeuvres proposés ici, le miroir est toujours représenté sous forme circulaire (de même que la tapisserie des oeuvres de Waterhouse est, dans les 3 cas, 3 cercles), comme un signe d'emprisonnement sans fin. Dans Trapped, The

remarque qu’une de ses vertèbres lombaires est fracturée. Frida sera contrainte de porter durant neuf longs mois des corsets en plâtre. C’est alors qu’elle commence à peindre. Pour l'aider, ses proches placent un baldaquin au-dessus de son lit avec un miroir pour ciel. Elle peut ainsi se servir de son reflet comme modèle, ce qui est probablement l'élément déclencheur de la longue série d'autoportraits qu'elle réalisera. En effet sur 143 tableaux, 55 sont des autoportraits. Elle doit subir de nombreuses