Miroir

 envers  ni  endroit:  on  en  fait  l’expérience  de   l’intérieur  et  de  l’extérieur.  Selon  les  condi0ons  d’éclairage  du   moment,  on  peut  les  voir  comme  des  miroirs  donnant  sur  l’extérieur,   qui  donc  dissimulent  l’existance  de  spectateurs  à  l’intérieur;  on  peut   les  voir  aussi  comme  totalement  transparents  de  l’intérieur  comme

est préférable d'être et ainsi on est, en paix avec soi-même peu importe les résultats. Vivre pour soi et non pour les autres est la première règle qu'il faut comprendre et appliquer pour vivre une belle vie. Il vaut mieux être la personne devant le miroir avec des sentiments et des émotions, qui comprend et qui applique que le reflet qui veut tout simplement ne rien dire, qui n’est qu’une image, un simple dessin. C’est bien vouloir bien paraitre devant les autres, mais se connaitre est beaucoup mieux

On voit l'artiste de dos, assis sur un tabouret. Il est face à une toile et se penche pour regarder son reflet dans un miroir à sa gauche. Ce miroir doré est décoré d'un aigle ( l'aigle américain symbole des États-Unis ). La main droite du peintre est levée, elle tient un pinceau posé sur la toile, où se dessine le portrait de l'artiste en noir et blanc. L'image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder ( même taille, couleur et posture ). Il porte des lunettes qui dissimulent

Quand l’anatomie claire et divine de Narcisse se penche sur le miroir obscur du lac, quand son torse blanc plié en avant se fige, glacé, dans la courbe argentée et hypnotique de son désir, quand le temps passe sur l’horloge des fleurs du sable de sa propre chair, Narcisse s’anéantit dans le vertige cosmique au plus profond duquel chante la sirène froide et dionysiaque de sa propre image. Le corps de Narcisse se vide et se perd dans l’abîme de son reflet, comme le sablier que l’on

- Nuit Rhénane : pistes de lecture et de révision. Thématiques nombreuses et entrecroisées : les femmes (fées, filles), le vin et l’ivresse, le reflet ou le miroir, les légendes (chanson, récit), la nuit. Les sentiments évoqués. Une atmosphère de fête triste ? Paysage et état d’âme : une sorte d’interaction ? Voir principalement le dernier vers. Un discours d’ivrogne ? d’un amoureux qui veut noyer son chagrin ? - Mai : pistes de lecture et de révision. Thématiques : la nature,

le jus d’orange, puis dans un des placards, à gauche du frigo, je sors un verre et une boîte de céréales. Je mange quelques céréales et je bois un peu de jus d’orange. Puis je file dans la salle de bains, je me fixe mes yeux verts émeraude, dans le miroir, je fais glisser mon élastique sur mes cheveux un peu ébouriffés, pour les laisser se déposer délicatement sur mes épaules. Seulement, dans ma douche, la journée d’hier me revenait à l’esprit, j’étais dans mes pensées, quand la porte sonna. Je pris

Dans certains autoportrait littéraire les auteurs font souvent référence à des objets dans lequelles ils peuvent voir leur reflet comme un miroir ou bien un lac : « j'ai horreur de me voir a l'improviste dans une glace ». Ces phrases ont quelques similitudes avec un autoportrait fait grâce a la photographie car les photographes ont souvent recours à des miroirs pour pouvoirs se prendre en photo eux même. . Contrairement à l'autobiographie et l'autoportrait littéraire qui peuvent décrire plusieurs

dans le quartier riche. Les « hautes glaces en pied » dans lesquelles se mirent Duroy à chaque étage et qui forment « une longue perceptible de galerie » agrandissent le lieu. Ce qui devrait impressionner le personnage mais au contraire dans le miroir, il prend conscience de son physique avantageux et cela le rend d'autant plus entreprenant dans sa conquête. 2. Le mouvement ascensionnel du personnage Plus Duroy gravit les marches, plus il acquière de l'assurance. Au début, son manque de confiance

Huis clos de Jean Paul Sartre Oral sur texte pages 44-47 En quoi « voir » révèle l’enfer ? Voir c’est l’enfer : Voir ce que les autres voit de nous dans le miroir  cela devient une obsession (Estelle : « je me voyais comme les gens me voyaient, ca me tenait éveillée » p.45) Pour Inès, voir Estelle c’est de la torture car cela lui rappelle de Florence, la femme qu’elle aimait et qui elle aussi était blonde. Voir Estelle ca lui rappelle aussi qu’elle ne pourra jamais l’avoir car Estelle

dans un premier temps le roman comme reflet de la societe, puis, dans un second temps que le roman peut nous permettre d’echapper a la réalité en faisant appel a l’imaginaire, enfin nous nous apercevrons finalement que le roman reste tout de même un miroir infidèle de la société. On peut tout d’abord constater que le roman brosse souvent une image sincère d’une société avec ses mœurs et ses problèmes, donnant ainsi une illusion de vérité au texte et aux personnages. Il faut tout d’abord