Miroir

couleur du fond, ce qui la rend visible. Par son contenue, elle donne une dimension plus intime à l’œuvre. Placé au-dessus du miroir nous pouvons lire Johannes de eyck fuit hit 1434, ce qui signifie: Jan Van Eyck fût ici.[1] Non seulement par la date inscrite, cette phrase atteste en quelque sorte que celui ait été le témoin de la cérémonie des époux Arnolfini, mais le miroir le prouve également, et ce, par la présence de sa silhouette. Un double autoportrait Cette fois-ci, par son contenu

suit il faut regarder dans le miroir derrière lui. Un miroir qui ne laisse pas indifférent, il est situé très bas, il n'est pas accroché au mur il est juste posé sur la table ou se trouve caché Mars. Serait ce le bouclier de Mars? Daniel Arrasse reste perplexe sur la taille et le reflet tel un miroir, pourtant c'est Persée qui avait un bouclier lisse et poli. Mais il admet cependant cette thèse du bouclier miroir. Dans ce bouclier se reflète un second miroir posé au bord du lit renvoyant

l’artiste de dos, assis sur un tabouret. Il est face à une toile et se penche pour regarder son reflet dans un miroir situé sur une chaise à sa gauche.   Ce miroir doré est décoré de l’aigle américain symbole des Etats-Unis. La main droite du peintre est levée, elle tient un pinceau posé sur la toile, où se dessine le portrait de l’artiste en noir et blanc. L’image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder (même taille, couleurs et posture). Il porte des lunettes

Diogo Delgado Nunes M3D Dissertation Sujet n°2: Pour grandir, l'âme a besoin de fenêtres, pas de miroirs. Anouk Grinberg Dans notre société, tout être humain grandit. Cela permet aux personnes d'évoluer psychologiquement et physiquement. Il y a deux chemins différents pour y arriver et chacun prend donc celui qui lui plaît. Ces chemins sont les chemins de la vie, c'est grandir. Et pour grandir, certaines personnes choisissent de s'envoler tout seul, de suivre leur propre chemin

le miroir les voies de la réflexion. À l’instar des autoportraits, la glace incite le sujet à l’introspection, le confronte aux mystères de son être et de son désir, le renvoie à ses manques et à son histoire. Les artistes du XXe siècle s’efforcent d’esquisser, dans le doute et l’angoisse, des réponses qui continuent à nous questionner. Tout autoportrait, même le plus simple, le moins mis en scène, est "portrait" d'un autre. Lors de son exposition de 1944, Man Ray donne à voir un miroir encadré

Dans la nouvelle de Jean Richepin intitulée « Miroir » écrite en 1921. Le Miroir est une nouvelle fantastique. Dans cet extrait, l'auteur nous décrit un homme confronté à un doute, es-ce une hallucination ou la réalité Nous évoquerons dans un premier temps l'émotion du personnage ainsi que le doute , puis dans un second temps, nous analyserons l'émotion du narrateur. Quelles émotions et réflexions le fantastique introduit-til? Tout d abord on remarque qu'a la première strophe le personnage se rend

le tableau en son milieu de haut en bas. Au premier plan, on aperçoit une paire de chaussures et un chien, au second plan un couple se tenant par la main. A l’arrière du tableau, on peut voir un chandelier au plafond, une chaise, un fauteuil et un miroir contre le mur. Sur la droite un lit et une descente de lit, sur la gauche un petit meuble en bois sous la fenêtre. Volume : le peintre a réussi à donner l'illusion du volume et de la perspective avec des lignes qui ne convergent pas toutes vers

événement anormal m’est paru. Le matin 21 Janvier 2012 au moment où je voulu me rasé j’ai remarqué quelque chose étrange avec le miroir. Il était comme contraire, il était bleu et blanc mais maintenant il était rouge et noir ; le ver qui reflétait mon visage était trouble comme quand on touche de l’eau. Avec ma curiosité hors du commun j’eu essayé de toucher ce miroir étrange. En y mettant mon doigt je fus comme expédier dans : « Un monde parallèle ». Tout était parallèlement différent : le ciel

atténuée pas les rideaux blancs. Le canapé rose pale donne au modèle un charme et intensifie cette présence féminine dans la pièce, on aperçois aussi le reflet de son corps dans le miroir, miroir qui, semble être la signature de Bonnard dans cette série, et qui a pour rôle d'agrandir et d'approfondir l'espace. Ce miroir revoit l'image du corps de Marthe, il réfléchit également une chaise que l'on ne retrouve pas au premier plan, ce détail positionne le spectateur comme d'autant plus participant à

de droite à gauche, à l'envers, pour que ses écrits ne puissent être décryptés qu'à l'aide d'un miroir : " Ma folie des reflets a engendré mon amour des miroirs (…… Le miroir devenait ainsi le passage étroit entre le visible et l'invisible,. Je m'étais regardé dans celui de mon aïeul. Me chuchoterait-il une révélation sur l'inconnu que je me sentais être (……) . Un peu plus tard, je crus que le miroir trichait. Il inversait les clichés comme j'inverse mon écriture (…..) Ce souvenir me revint longtemps