Misanthrope Acte 3 Scène 4

COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape importante

particulièrement éclairantes : la scène du Pauvre ( III,2) où Don Juan montre sont mépris pour la foi et où il proclame par défi lui préférer « l’amour de l’Humanité », dont on a vu qu’il l’a méprisait tout autant ( mépris pour les paysannes du deuxième acte, mépris pour Done Elvire, mépris pour les codes de l’honneur de sa classe sociale à travers les personnages de Don Carlos et Don Alonse, mépris pour son propre père Don Louis, mépris pour Mr Dimanche); la Scène du mausolée (III,5) où la Statue

Molière est né en 1622. Il était à la fois auteur, metteur en scène, et acteur, et il a consacré toute sa vie au théâtre. Ses débuts sont difficiles : le 13 Juin 1643, il fonde, avec neuf autres comédiens, la troupe «l'Illustre-Théâtre», mais celle-ci fait faillite. Il présente plusieurs comédies pour le public parisien et la cour. Le 18 Novembre 1659, c'est le début de la gloire ; Molière présente "Les Précieuses ridicules" sur la scène du Petit Bourdon à Paris, et cette pièce rencontre un succès

l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un héros est vaincu s'il a préféré mourir plutôt que de renoncer à ses convictions ? Certains voient dans Dom Juan, l'archétype de la démesure et la preuve d'une démesure morale. Grand seigneur espagnol, jeune[3] et beau[4], il est méchant homme d'une insolence totale, parfois violent. Dom Juan manie avec aisance l'ironie et le sarcasme, l'impertinence et l'offense, l'irrévérence et l'irrespect. Il personnifie une lutte impitoyable entre le classicisme et le baroque

succès avec Le Misanthrope et Le Médecin malgré lui . Mais Molière tente avec Panulphe un second Tartuffe qui vaudra aux spectateurs l'excommunion. En 1668, privé de théâtre, Molière tombe malade. il reprend la comédie semblant oublié ses querelles avant de prendre sa revanche avec une première représentation autorisée de Tartuffe. Molière offrira au roi des divertissements au roi, écrira notamment Le Bourgeois Gentilhomme et Les Fourberies de Scapin et trouvera la mort sur scène dans Le Malade

ils entendent inciter le lecteur à la lucidité (La Rochefoucauld (grand ami de Mme de La Fayette), la vertu ( La Fontaine, La Bruyère), à la conversion au christianisme (Pascal, mais aussi La Bruyère dans le dernier livre des Caractères(1688-1696) 3. LES PRINCIPES DU MOUVEMENT L'imitation des anciens Racine , comme La Bruyère ou La Fontaine, défend le principe de l'imitation des Anciens, fondé sur la conviction de leur excellence et sur l'idée que le bon goût est universel, éternel . Non

Séquence 4 : MOLIÈRE ; DOM JUAN Objet d’étude : Le théâtre Problématique : Dom Juan remet-elle en cause les normes du théâtre classique ? Séance 1 : Lecture complémentaire n°1 : Acte 1, scène 1 : présentation de Dom Juan par Sganarelle – Scène d'exposition : personnages et thèmes : ● Personnages : • Sganarelle : valet ; critique son maître mais lui est fidèle, peureux • Dom Elvire : épouse de Dom Juan, grande dame abandonnée • Dom Juan : maître ; « épouseur à toutes mains », séducteur, personnage

Affranchi de Cinna. • Euphorbe, Affranchi de Maxime. Résumé Acte I L’empereur Auguste a jadis fait exécuter Toranius, le père de la jeune Émilie qu’il considère désormais comme sa fille. Émilie, amoureuse de Cinna, lui demande de sauver son honneur en tuant Auguste sans quoi elle ne l’épousera pas. Cinna, aidé par son ami Maxime organise alors un grand complot contre l’empereur afin de l’assassiner... Acte II Mais Auguste, lassé d’être maître du monde romain, demande conseil

connus, C'est l'ensemble des jeux de scènes qui provoquent le rire : coups, gifles, bastonnades, chutes... Tout une multiplication de mimiques, d'habits ou d'accessoires ridicules. Par exemple, Molière dans son oeuvre « L’École des femmes » , dans la scène 2 de l’acte 1 dans laquelle Alain, le valet d Arnoplphe, qui est un bourgeois, mène une dispute avec Georgette, la servante d Arnolphe. Le valet est très fâché envers elle et tente de lui mettre une gifle, par accident cette gifle touche Arnolphe.

Fâcheux, firent de lui un écrivain à la mode. Malgré les difficultés rencontrées, les années 1660 furent exceptionnellement fertiles pour Molière, qui écrivit et fit représenter le Misanthrope, l’Avare, ainsi que des pièces avec musique créées pour les divertissements de la cour entre autres, Amphitryon ou George Dandin. De 1664 à 1671 le roi commanda en tout à Molière quinze pièces de théâtre, donnant près de deux cents représentations