Misère Ouvrier Lille 1835

Louise-Marie respecte le Roi (elle est sa cadette de 20 ans) et c’est suffisant pour un mariage. Ils ont donc des enfants, 1er : LouisPhilippe (surnommé Babochon) (1833-1834) qui succombe très rapidement. On continue les efforts, couronnés de succès. En 1835 : petit Léopold, tout rachitique, souffreteux auquel Léopold Ier ne veut pas s’attacher. C’est un enfant très mal-aimé. Léopold II admire son père mais est frustré de ne pas recevoir de considération de sa part. Il y aura aussi Philippe puis une

l’Etat. - la génération suivante est arrivée à l’age adulte, alors que l’industrie était déjà une force. Formés sous l’Empire et la Restauration, ils voient que la France est à la traîne de l’Angleterre et savent que l’industrie produit autant de misère que de richesses. Ils veulent comprendre. On rencontre dans cette génération tous les grands voyageurs du monde industriel. Le monde s’est ouvert, de nouveaux territoires sont apparus. Il faut les découvrir. Ils vont dans les villes ouvrières, en

____________________________________________________________ ________ 26/03/04 ____________________________________________________________ ___________ 5.9. Les catastrophes minières ________________________________________________________ 6.1. Livret ouvrier ____________________________________________________________ ________ 6.2. Louage d’ouvrage ____________________________________________________________ __ 6.3. Accidents de travail ____________________________________________________________

nouvelles structures commerciales L’avènement des grands magasins Le libre échange, selon R Cobden, marque la fin de la disette, parce que amène une circulation plus grande « du pain », donc une baisse de son prix, donc une baisse du salaire des ouvriers, donc une baisse des coûts des produits manufacturés et donc une hausse des ventes. Cette théorie a gain de cause au Royaume Uni, puis en France sous l’influence des Sts Simoniens. On trouve une expression du libre échange dans le zollverein allemand

théorique consiste à créer des lignes de clivages et des débats. Elle est souvent alimenté par les tensions et les animosités entre les sociologues qui écrivent les uns contre les autres. Ainsi, dans un entretien donné lors de la publication de la Misère du Monde, Pierre Bourdieu, à qui un journaliste demandait pourquoi il faisait de la sociologie, déclarait qu’il s’agissait pour lui « d’empêcher les autres d’en faire ». Allons plus loin. Il y a toujours une dimension « paranoïaque » dans l’activité

Le deuxième problème est l’assassinat du Duc de Berry qui était le fils du comte d’Artois, donc du futur Charles X, donc c’est un des successeurs potentiels du roi. Le 13 février 1820, le duc de Berry est poignardé à la sortie de l’opéra par un ouvrier, Louis Louvel. Les ultras vont profiter de l’événement pour provoquer un durcissement de la politique dans le royaume en demandant le renvoi d’Elie Decazes. Louis XVIII va céder à cette requête, à contre cœur, dans une période de fatigue, pour faire

« Toutefois, qu’on ne pense pas que Clazomène eût voulu changer sa misère pour la prospérité des hommes faibles : la fortune peut se jouer de la sagesse des gens courageux ; mais il ne lui appartient pas de faire fléchir leur courage »73. « c’est une illusion de la jeunesse de croire qu’on peut tout par ses forces et ses lumières, et de vouloir s’élever par son industrie, ou par des chemins que le seul mérite ne peut ouvrir aux hommes sans fortune »76. 73 76 « qui peindrai[ent] sur

questions sociales. Different socialistes. Principal: suffrage universel. Défendent propriété privée. Bourgeois. Idees exprimées dans journaux. Censurés régulièrement. Armand Carrel meurt en 1836 (duel) -> nouvelle génération républicains. B. A partir de 1835: le radicalisme Vient d'anglais "radical"- francais 1820. S'opposent à monarchie pour raisons intellectuelles -> idée du "droit naturel". Si égalité par essence: pas de monarchie. Radicaux dominent corps républicain à la fin de la monarchie de juillet

Hugo. En 1835, il voyagea en Italie avec sa nouvelle maîtresse, une autre comédienne, Ida Ferrier. Il publia : ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Souvenirs d'Antony’’ (1835) ____________________________________________________________ _____________________ ‘’ Chroniques de France : Isabeau de Bavière’’ (1835) ____________________________________________________________ _____________________ “Léo Burckart” (1835) Drame

dix-sept ans elle a été forcée d'abandonner à l'Assistance publique ; lourd secret qu'elle révéla certainement à Zola après leur mariage[N 5],[10]. Née le 23 mars 1839 à Paris, Alexandrine est la fille d'une petite marchande de dix-sept ans et d'un ouvrier typographe, né à Rouen. L'écrivain consacre un portrait à sa nouvelle conquête, « L'amour sous les toits », dans Le Petit Journal[N 6],[11]. On ne connaît pas l'origine de cette liaison. Peut-être est-ce le fait du hasard, puisque Émile et Alexandrine