Mitrailleuse

possible grâce à la prise du Shan-Tung, navire transportant 300 pistolets destinés aux forces gouvernementales. Nous analyserons donc I- Une écriture symbolique et stylistique du passage * Répétitions : « neige » x3, « aube » x3, « mitrailleuses » x5, « éternuer » ou « éternuements » x4 * Ces répétitions permettent de donner la récurrence des images à l’approche de chaque combat (l.7) * On observe une utilisation symbolique politique des couleurs qui fait référence a une opposition

du front. En Belgique, en Alsace, en Lorraine, les meilleures troupes d'active partent à l'assaut des lignes allemandes sans appui d'artillerie, au son du clairon comme sur un terrain de manœuvres. Les Allemands retranchées et bien pourvus en mitrailleuses font face à l'assaut et provoquent une hécatombe dans les rangs adverses. Leurs canons à longue portée déciment les renforts français avant même que ceux-ci n'arrivent sur la ligne de front. En quelques jours des divisions entières sont réduites

tranchées et des ses conditions; et en suite des problèmes psychologiques des soldats. Les tranchées étaient souvent composées par deux ou trois lignes, dans la première ligne on avait les soldats qui combattaient avec des machines comme les mitrailleuses et les mortiers; dans la seconde on avait les munitions, les provisions et le matériel, ici ils pouvaient prendre un peu de repos. Les conditions de vie étaient souvent inhumaines, en effet il n’y avait pas d’espace pour dormir parce que les tranchées

accident. Il n’avait pas mis sa ceinture ont-ils affirmé. Mais Alex, lui, sait que son oncle mettait toujours sa ceinture. Alors il mène son enquête. Tout d’abord il va à la casse où est sa voiture. Là il trouve la voiture criblée de balle d’auto mitrailleuse. En voulant ressortir de la casse, Alex aperçoit 2 hommes armés. Alex les affronte. Mais les 2 hommes ne veulent pas se faire battre aussi facilement par un adolescent alors ils le menacent. Ils le conduisent aussitôt à leur QG et lui expliquent

traumatisant qu'ont laissé ces deux guerres totales. Lors de ces deux guerres mondiales de nouvelles armes industrielles sont apparues sur les champs de bataille. Pendant la première guerre mondiale, l'artillerie et la mitrailleuse sont les armes qui tuent le plus. La mitrailleuse peut tirer jusqu'à 600 balles par minute et permet de tuer par rafale les soldats adverses sortant des tranchées à découvert. Il y a des lances flammes ou encore des grenades classiques à explosion mais aussi des chimiques

Tourcoing, Lille. (…) Tous les habitants doivent se tenir prêts, on leur donne une heure et demie, ils ont droit à trente-cinq kilos de bagages, mais il faut emporter des ustensiles de cuisine. Pour les empêcher de se révolter, on installe des mitrailleuses dans les rues et, en attendant le départ, on les enferme dans l’église et les écoles. Vive émotion partout et panique dans les environs. La vie devient vraiment de plus en plus pénible sous tous les rapports. Chaue jour des soldats allemands

Un directeur court beaucoup. Après midi : Cet après-midi nous faisons la connaissance de Fatima, la chef d’atelier. Elle nous présente toutes les machines : la contre colleuse, la mitrailleuse, le massicot, le slotter, la presse portefeuille, la presse cylindre, l’agrafeuse, le portique, la mini mitrailleuse à double faces et la colleuse en ligne. Ensuite vers 15h30 elle nous a montré les ateliers de montage, de conditionnement et d’emballage. Mercredi matin : Vers 8h30 nous arrivons dans

totale. I L’expérience combattante 1. La durée et l’ampleur géographique du conflit • Dès les premières offensives de la guerre de mouvement (août-novembre 1914), les pertes sont importantes : l’utilisation sans précédent de l’artillerie et des mitrailleuses bloque toute possibilité de percer les lignes ennemies et inflige des dégâts humains considérables et aléatoires (c’est ce que les historiens appellent la " dépersonnalisation des combats "). L’offensive allemande est stoppée sur la Marne (6-13

cassées ». • Jamais les soldats n'avaient été aussi vulnérables dans les conflits précédents. Les bombardements d'artillerie occasionnent environ 75 % des pertes directes. Les éclats d'obus tuent, mutilent et défigurent. Sous le feu des canons, des mitrailleuses, des mortiers, on se terre au fond des tranchées, dans les trous d'obus. On s'enferre dans les réseaux de barbelés du no man's land. Impossible alors de se présenter le corps droit et dressé face au feu comme jadis. Responsables de souffrances

soldats sont souvent vus comme de la lâcheté ou d’une faiblesse de caractère. Les soldats vivent donc constamment dans la peur de mourir, neuf cent Français et mille trois cent Allemands sont tués chaque jour par des armes comme la baïonnette, les mitrailleuses, les lance-flammes et les obus qui sont des armes nouvelles. Cependant, il faut bien financer toutes ses nouvelles armes pour ne jamais en manquer et pour toujours innover. II. Ressources financières et matérielles A. Matériaux nécessaires